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Georges Valois

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Livres, actualités : tout sur George R.R. Martin

Né le 20 septembre 1948 dans le New Jersey, George R. R. Martin se destinait à devenir journaliste : faute d'un emploi, il se découvre une vocation d'auteur en signant des nouvelles de science-fiction, et se fait rapidement une bonne réputation dans le milieu. Quelques-unes de ses nouvelles sont même très remarquées, comme Les Rois des sables et Le Volcryn, qui sera bientôt adapté au cinéma, et, dans les années 2010, en série télévisée. 

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Dossier

Game of Thrones, des livres de George R.R. Martin à la série HBO

Né en 1948 aux États-Unis, George R.R. Martin écrit au départ pour créer de nouvelles histoires mettant en scène les super-héros Marvel, puis pour tuer le temps, alors qu'il peine à trouver un emploi dans le secteur du journalisme. Petit à petit, il devient un auteur confirmé de nouvelles de science-fiction. Après avoir commencé une carrière comme scénariste de séries télévisées, il commence, au début des années 1990, à rédiger une saga de type fantasy, intitulée A Song of Ice and Fire et traduite en français sous le titre Le Trône de Fer.

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Dossier

Portrait de Roselyne Bachelot en ministre de la Culture

Portrait de Roselyne Bachelot en ministre de la Culture

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Dossier

Le trône de fer : les livres de la saga A Song of Ice and Fire de George RR Martin

Le trône de fer est une immense saga d’héroïque fantasy qui s’inspire de la série des Rois maudits de Maurice Druon. C’est au début des années 1990 que Georges R.R. Martin commence à écrire Le trône de fer, le premier volume est publié en 1996. En 2007, la chaine de télévision HBO acquiert les droits d’adaptations. L’auteur lui-même participe à sa production et écrit le scénario d’un épisode par saison. 

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Dossier

Le Commissaire Maigret, figure historique de la littérature policière

Le retour du Commissaire Maigret, cette fois sous les traits de Gérard Depardieu, relance l’intérêt pour le personnage de Georges Simenon. À travers 75 romans policiers et 28 nouvelles, l’enquêteur a officié entre 1931 et 1972. Amateurs de vins — sauf le champagne — et fumeur de pipe, il aura connu bien des visages sur petit et grand écran. 

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Dossier

Aux États-Unis, une inquiétante vague de censure de livres

Bibliothèques publiques, programmes scolaires, écoles, librairies... La censure a une longue histoire aux États-Unis, et contrevient le plus souvent au Premier Amendement de la Constitution américaine. Depuis quelque temps, une nouvelle forme d'interdiction sévit envers des livres et thèmes spécifiques — écrits par des représentants de la cause LGBTQIA+, des militants antiracistes, ou simplement envers des œuvres capitales, comme 1984 de Georges Orwell.  

Extraits

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Histoire de France

Georges Valois, de l'anarcho-syndicalisme au fascisme

Ce livre n'est pas l'histoire du Faisceau, le premier parti fasciste français, créé par Georges Valois en 1925, mais celle du cheminement intellectuel de son fondateur : comment un homme élevé dans la plus stricte tradition républicaine, acquis très jeune aux idées anarchistes et convaincu de l'innocence de Dreyfus, a-t-il pu évoluer vers l'antisémitisme, le monarchisme et le fascisme ? A dix-sept ans – "l'âge, dira-t-il, où les fils de bourgeois ne voyagent qu'avec leur maman" –, Valois s'est embarqué pour Singapour. Revenu en France dix-huit mois plus tard, il est entré dans les cercles anarchistes où il a côtoyé les pionniers du syndicalisme révolutionnaire et fait la connaissance de leur théoricien, Georges Sorel. A vingt-trois ans, il est parti en Russie comme précepteur dans une famille de vieille aristocratie, dont l'ouverture d'esprit a ébranlé ses convictions. L'observation des communautés juives de Russie, la lecture de Nietzsche, la fréquentation de Sorel et la découverte de Maurras vont le métamorphoser. Rallié à l'Action française, il tente de promouvoir la monarchie auprès des syndicalistes révolutionnaires révulsés par la "république fusilleuse" de Clemenceau. En 1909 il publie une enquête sur La monarchie et la classe ouvrière et, en décembre 1911, il s'associe à Edouard Berth, ami de Sorel, pour lancer le Cercle Proudhon, tandis que Sorel lui-même, qui avait été le principal disciple de Marx en France, crée un hebdomadaire, l'Indépendance, pour dénoncer les méfaits de la démocratie. Le Faisceau sera l'aboutissement – fragile et éphémère – de cette évolution, avant que Valois ne renoue avec ses idées de jeunesse. Mort en déportation le 18 février 1945, il échappe à toutes les grilles de lecture manichéennes dont notre époque est friande.

12/2017

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Histoire de France

L'homme contre l'argent. Souvenirs de dix ans (1918-1928)

Introduit par l'historien Olivier Dard, L'Homme contre l'argent. Souvenirs de dix ans 1918-1928 est un récit autobiographique de Georges Valois (1878-1945), éditeur et publiciste de premier plan de la France du premier vingtième siècle. L'ouvrage raconte dix années déterminantes de la vie d'un homme connu pour la diversité de ses engagements successifs : anarchisme, monarchisme d'Action française, fascisme, retour vers la République et la gauche, décès en déportation. L'ouvrage saisit ici sa rupture avec l'Action française, sa promotion du fascisme et son retour dans la République. Galerie de portraits (Charles Maurras, Benito Mussolini, François Coty) en même temps que fresque de milieux fort divers (Action française et ligues, sphères patronales, monde de l'édition, nébuleuse des " nouvelles équipes " etc.), le livre de Valois fourmille de détails qui font tout l'intérêt de son oeuvre de mémorialiste. L'Homme contre l'argent est aussi le récit de temps forts qui jalonnent sa propre vie en même temps qu'ils marquent la France de son temps, à commencer par sa dissidence de l'Action française et la naissance et le développement du Faisceau, premier jalon d'un fascisme français. L'Homme contre l'argent est l'exposé des idées de Valois dominées par un anticapitalisme fondé sur la dénonciation de la " dictature " de l'argent contre laquelle il recherche les voies d'une " économie nouvelle " et d'un " nouvel âge ".

09/2012

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Sciences politiques

La Révolution nationale

S'il faut lire Valois, ce n'est pas pour en tirer quelque philosophie abstraite, mais pour se gonfler de l'énergie du combattant. Que le lecteur s'y prépare : il ne tient pas là un ouvrage qui se lit avec la tête, mais avec le coeur. Qu'il vide son esprit de toutes les abstractions que la modernité libérale y a ancrées, qu'il décolonise son imaginaire du matérialisme bourgeois, des droits de l'homme et des mentions légales de son contrat de téléphonie. Contre ce qui est calculable, Valois exalte ce qui n'a pas de prix : la grandeur et l'héroïsme. Valois parle aux hommes des grandes nations. Valois écrit pour une nouvelle élite de combattants.

10/2019

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Histoire de France

Marguerite de Valois

Celle que l'on nomme la reine Margot n'est pas tout à fait cette femme de luxe et de volupté que l'on s'est plu à imaginer. Fille d'une époque de fer et de sang, celle des guerres civiles, elle endure les horreurs et la Saint-Barthélemy la marque à tout jamais. Princesse puis reine, elle croit pouvoir jouir des atouts de son rang. Comme un prince, comme un roi, elle affiche ses amours, elle déploie le luxe ostentatoire des puissants et participe aux clans politiques : vaine liberté, vains espoirs qui la renvoient sans cesse à elle-même, à cette femme qui ne peut exister ailleurs que dans le faste de la représentation. Car Marguerite subit jusque dans sa chair le joug de sa famille qui toujours l'utilise pour après la rejeter. Être la fille de Catherine de Médicis, être la sœur de Henri III distordent sa vie et sa destinée au point de la rendre misérable. Contrainte d'épouser le huguenot Henry de Navarre, futur Henry IV, premier roi Bourbon, elle ne trouve dans cette alliance qu'incompréhensions et infidélités. Marguerite de Valois, femme de scandale et de volupté, sûrement ! Mais que de courage, voire de témérité puisque, à la fin de sa vie, la dernière des Valois, sans renoncer à cette liberté qui lui a coûté si cher, appuie et favorise la nouvelle dynastie des Bourbons.

11/1994

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Histoire de France

Les derniers Valois

Comment expliquer la légende noire qui pèse sur Catherine de Médicis et sur ses enfants ? Très tôt, en effet, protestants aussi bien que catholiques ont considéré les derniers Valois comme une lignée abâtardie de rois faibles, malades, névrosés. Leurs détracteurs n'ont vu qu'hésitations et louvoiements dans leurs efforts pour pacifier une France déchirée par les tensions religieuses et civiles. A les en croire, la ténébreuse reine mère serait la responsable de tous les malheurs du royaume : n'a-t-elle pas écarté du Conseil les grandes familles pour les remplacer par des Italiens avides ? Plus grave encore, n'a-t-elle pas éliminé la noblesse par les guerres, les emprisonnements, les assassinats ? La mauvaise réputation du clan Valois a longtemps souffert des horreurs de la Saint-Barthélemy et du meurtre du duc de Guise et de son frère. Mais ces crimes spectaculaires ont été perpétrés au nom d'"une cruelle nécessité", car chaque fois les Valois ont voulu préserver la Couronne de France des ambitions des grands et des convoitises de l'Espagne. En fin de compte, montre brillamment Janine Garrisson, ils ont tenté de " rétablir la justice par la violence ". Ils n'ont sans doute pas réussi à pacifier le royaume, mais leur vision du monde, leur culture, le cadre dans lequel ils vivent sont empreints de néoplatonisme. Un néoplatonisme qui est avant tout recherche de paix et d'harmonie, laquelle apparaît dans tout son éclat lorsque les Valois se font les ordonnateurs des fêtes de cour et des entrées royales.

09/2001

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Littérature française (poches)

Georges et Georges

Après quelques années de vie commune, Marianne et Georges ne se supportent plus : elle regrette le Georges amoureux naïf des premiers temps, lui désire une femme plus pimentée. Grâce au docteur Galopin, spécialisé en électromagnétisme, ils vont chacun être mis en face de leur rêve. Et devront le cacher à l'autre ! Le cauchemar commence. D'un appartement parisien jusqu'à l'ambassade de Batavia, les portes claquent devant l'hystérie de six personnages qui se fuient et se poursuivent. Une comédie déjantée sous le signe de Feydeau où les quiproquos s'accumulent, entraînant surprises et fous rires. Dans une postface magistrale, Eric-Emmanuel Schmitt analyse sa passion pour l'oeuvre de Feydeau, la complexité et la rigueur mathématique extrême du dramaturge qui disait : «Lorsque la présence d'un personnage est indésirable, il faut immédiatement le faire entrer en scène.»

08/2014

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