François-Frédéric Billon

Sa vie fut un roman. Il y eut le roman de sa vie par Jean Teulé. Voici la biographie haute en couleurs du célèbre François Villon, étudiant fantasque, débauché sublime et poète maudit. Illustré de main de maître par Luigi Critone.

Engagé dans la course aux primaires chez Les Républicains, François Fillon a l’intention de publier un nouvel ouvrage, après Faire qui était sorti en 2015 aux éditions Albin Michel. Ce prochain opus devrait porter sur des problématiques essentiellement régaliennes et identitaires, rapporte RTL.

La rentrée scolaire de François Fillon

PODCAST – Le soleil brillait haut cette journée-là : logiquement, on conviait à la table deux auteurs de genre. Un mauvais, de préférence. Et de mauvais garçons, si possible. Il n’en fut rien : autour de la table, les deux romanciers discutent de leurs livres respectifs, comme s’ils avaient tout lu l’un de l’autre, et de leurs inspirations, de leurs auteurs fétiches. Moralité, un entretien bipolaire, bien polar.

Rencontres musicales / Performances - Vendredi 6 décembre 2013 à 20h00 - A la librairie

Mais enfin, quand on réécrit ce qui pourrait être la Confession d’un enfant du siècle, version XXIe siècle, on a bien le droit à quelques égards.

Après quelques assassinats entrecoupés de poèmes, pour rendre hommage à François, comme il se devait, la rédaction a finalement délibéré. Le concours Je, François Villon, de Luigi Critone, d'après le roman de Jean Teulé (Delcourt) qui proposait de gagner 5 exemplaires du titre a finalement trouvé ses 5 lauréats.

Né en 1954, François Fillon suivit une scolarité que l’on pourrait presque qualifier de chaotique. Avant d’arriver au sommet de l’Etat, d’entrer à plein dans la stature d’un Premier Ministre, il fut, lui aussi, un jeune garçon plutôt agité. Exclu à deux reprises, une première fois au collège, une seconde au lycée, il excellait déjà dans l’art de convaincre ses petits camarades pour mettre le foutoir…

C'est un « WTF » comme seule la Belgique pouvait nous en donner, probablement. Frédéric Mitterrand, ancien ministre de la Culture, a été sollicité par une chaîne de télé belge, pour s'exprimer sur l'affaire Hollande/Gayet. Frédo ne s'est pas privé pour comparer le Président de la République à Casanova, lui rendant hommage à sa façon pour ses frasques.

Un roman français, de Frédéric Beigbeder

Alors que l'ancien ministre de la Culture avait déjà commencé une nouvelle carrière, en tant que directeur de collection, ou conseiller éditorial, aux éditions Séguier, Telerama lève le voile sur une nouvelle casquette culturelle. En effet, depuis quelques jours, François Busnel a annoncé son départ de France Inter, où il occupait la tranche 17h-18h, quotidiennement. Une place à prendre, comme l'écrirait Rowling...

François Fillon annonce la fin des stages hors-cursus

La programmation d'avril s'achève à la maison de la poésie, et deux programmations seront à découvrir ces prochains jours : le chanteur Raphaël, pour une carte blanche Musique et littérature, et en duo, Olivier Cadiot et Gisèle Sapiro, qui présenteront une approche thématique, Fiction littéraire contre storytelling. 

On n’en finira jamais : si les attaques de Christine Angot ont glissé sur le sérénissime François Fillon, ce dernier s’est savonné la planche tout seul. Au sortir de l’improbable émission sur France 2, le candidat s’est donné pour mission d’attaquer François Hollande. Il réclame même « l’ouverture d’une enquête judiciaire ». Il aurait mieux fait de se casser une jambe...

On sait que naturellement que François Fillon n’est pas vraiment son chouchou. Alors quand Christine Angot débarque sur le plateau de L’émission politique, pour interpeller le candidat, venu avec sa batterie de casseroles, on s’attend à des étincelles. « Vous ne vous êtes pas retiré... Vous êtes là. » Ça démarrait bien.

Dans la course aux primaires chez Les Républicains, on se bat aussi bien à coup de discours interposés qu’à coup de livres. Et chacun y va de son ouvrage. Après Alain Juppé qui n’en finit plus d’écrire et Nicolas Sarkozy revenu avec son Tout pour la France, c’est au tour de François Fillon d’envahir les étals avec Vaincre le totalitarisme islamique (Eyrolles, 155 pages, 9 €).

L'ex-Premier ministre de Nicolas Sarkozy, François Fillon, à la tête du Groupe Gaulliste Sceaux, a présenté ce 15 avril un plan de redressement pour la France. Son projet : que le pays devienne, dans les 10 prochaines années, « la première puissance européenne ». Et au cours d'un discours prononcé à l'école Telecom Paris, il a fort logiquement parlé de numérique...

On espère que l'ex-premier ministre mettra du coeur à l'ouvrage, pour son prochain livre, parce que l'attention que lui consacrent les éditeurs doit faire chaud au coeur. Selon les informations avancées par L'Epxress, pas moins de trois maisons se sont empoignées pour obtenir de commercialiser le livre de François Fillon. 

Alors comme ça, les aventures du poète et bandit de grands chemins, emprisonnés à plusieurs reprises intéresse particulièrement la télévision... Au point de réaliser un téléfilm sur sa personne.

Montrer l’influence des ensablés, le plus souvent souterraine, sur les écrivains de leur génération ou des suivantes, tel est l’objectif de ces chroniques. Chacun d’eux a laissé une œuvre, un roman, une idée, ou même simplement une scène qui stimulera l’imagination d’autres artistes, tel Cendrars puisant dans Le mystérieux docteur Cornélius de Gustave Le Rouge, la matière poétique dont il se servira pour son recueil Du monde entier. Bien souvent les ensablés ont fourni des réponses originales, en marge, aux questions esthétiques, littéraires, intellectuelles que leur époque s’est posé et que les suivantes redécouvriront avec bonheur. L’histoire de ces rencontres de hasard qui nourrissent les romanciers à des sources inattendues, oubliées – la logique du grain de sable (1).

Selon France Info — qui a révélé l’information ce matin —, un texto signé de l’équipe de l’ancien Premier ministre demanderait aux proches ou partisans de François Fillon d’ajouter des commentaires en faveur de son dernier son livre baptisé FAIRE sur les plateformes de vente. Un petit coup de pouce qui a dérapé : l’équipe se serait en effet trompée de destinataire.

François Fillon sera donc le candidat de la droite pour Les Républicains, à l’issue de la primaire organisée. Au sortir du second tour, le candidat a été largement plébiscité par les votes, obtenant 66,5 % des voix contre 33,5 % pour Alain Juppé. Les ventes de leurs livres avaient-elles déjà fixé les résultats ?

Succès non négligeable pour un livre politique, Faire, signé François Fillon, s'est vendu à près de 122.300 exemplaires (données Edistat). À 20 € pièce, le chiffre d’affaires représentait plus de 2,4 millions € pour l'éditeur. Sorti en septembre 2015, le document allait préfigurer la campagne présidentielle du candidat, vainqueur de la primaire de droite. L'auteur est revenu sous le feu des projecteurs judiciaires, avec des hoquets quant au contrat de l'ouvrage.

Présenté comme « un phénomène de l’édition » dans tous les médias, Faire de François Fillon est classé à la 8ème place du Top 20 GFK/Livres hebdo des meilleures ventes. La maison Albin Michel annonce un tirage de 58.000 exemplaires, et à l'AFP, l'éditeur lance 52.000 ventes. On va même jusqu’à déclarer 2000 impressions – mais seulement certains jours. Des chiffres, beaucoup de chiffres, qui donnent un léger tournis. Ah, oui, l'ivresse décime. 

La maison de vente aux enchères Millon fait l'événement avec une vente de prestige, organisée entre Paris et Bruxelles, les 6 et 13 décembre, pour se sortir des régionales. La première partie de cette vente était consacrée aux originaux d'exception et au personnage de Rahan, et c'est le dessinateur François Schuiten qui décroche le record avec un projet d'affiche parti pour 51.912 €.

Bonjour tristesse, c’est le grand roman de Françoise Sagan, splendide ou haï, détesté ou adulé. Et c’est à ce livre si spécial dans la carrière de la romancière que Frédéric Rébéna s’attaque, dans une adaptation en bande dessinée. Un pari audacieux, complexe, dont ActuaLitté livre quelques premières pages. 

Après le président, c'est au tour, évidemment, du ministre de la Culture de témoigner de son hommage à Jean Dutourd, l'Académicien iconoclaste décédé hier.