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Fortune

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Littérature française

Fortune

Franz Cimballi, le héros de Money et de Cash ! désire cette fois-ci accéder à la Fortune, la vraie, l'immense. Le New Jersey ayant pris la décision d'autoriser les jeux à Atlantic City, Cimballi décide d'y fonder " son " casino : l'Eléphant-Blanc. Mais, comment faire naître un casino ? Comment en faire un des plus grands de la planète, le plus original ? Où et comment recruter le très indispensable casino-manager qui aura presque droit de vie ou de mort sur 25 000 employés ? Et, surtout, comment éviter les pièges parfois mortels du milieu le plus fermé du monde ? Cimballi se jette à l'eau et le résultat ne se fait pas attendre. Il sera victime d'une arnaque incroyable, glacée, cynique. Sa contre-attaque sera monumentale, hilarante, nourrie d'un formidable suspense. L'enjeu : probablement la liberté, peut-être la vie... et sûrement plus d'un milliard et demi de dollars, le Pouvoir, la Fortune !

07/1996

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Poésie

Fortune

Fortune n'est pas un simple recueil de poèmes, mais plutôt une "suite" ou un ensemble de "variations" au même titre que les deux précédents ouvrages de l'auteur. Ici, une narration fragmentée reprend une traversée ferroviaire d'un personnage, Etienne, surnommé "Leblanc" , d'une côte à une autre, d'une mer à une autre. Ce qu'il perçoit ainsi que ce qu'il a laissé, ce qui le traverse dans les instants de torpeur ainsi que ce qu'il projette pour son arrivée influent musicalement sur la composition du livre aussi bien que sur ses rythmes. Par ailleurs, ce dernier opus prend ses distances avec les précédents qui s'inscrivaient tous dans la composition et le prolongement des Motets de l'auteur - ne serait-ce que par la récurrence des personnages. Un lien demeure toutefois avec son dernier, Variations de Jan, en ce que la Guerre de Troie en constitue l'arrière-plan lancinant. L'histoire fait retour sans cesse, percutant l'intime et provoquant les heurts métriques, ses syncopes, autant que l'allongement du vers parfois quand il s'agit de faire retour, ou tenter une synthèse de cette multiplicité d'approches. Les échos sont multiples : Conrad et Joyce, Maïakovski et Khlebnikov, Henry James et Homère. Mais surtout, les temps présents - avec leurs révoltes, leurs exils et leurs luttes - agitent un corps entre précipitation (panique) et méditation (pensée). Sans trame narrative, sans les sens sollicités sans cesse et sans l'invention en chemin, ce qui s'approche ici de l'élégie ne semblerait pouvoir trouver de voix chez cet auteur.

10/2022

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Romans policiers

Fortune

Au printemps 1976, s'arrachant à sa retraite jamaïquaine, Cimballi a une idée : il ne s'agit plus de gagner quelques millions de dollars, mais d'accéder à la Fortune, la vraie. Une nouvelle vient d'éclater comme un coup de tonnerre dans le ciel bleu de Las Vegas. A l'autre bout des Etats-Unis, le New Jersey autorise les jeux à Atlantic City. Et Cimballi décide d'y fonder " son " casino : l'Eléphant-Blanc. Il entre dans le monde des maîtres du jeu, monde infiniment dangereux et secret. Quelles sont les lois à respecter ? Qui sera le casino-manager, qui aura presque droit de vie ou de mort sur des milliers d'employés ? Et surtout, comment éviter les pièges parfois mortels du milieu le plus fermé du monde ? Ces dangers, Cimballi ne les esquive pas : il se jette à l'eau et tombe dans une arnaque incroyable, glacée, cynique. Sa contre-arnaque sera monumentale, hilarante, nourrie d'un formidable suspense. L'enjeu : probablement la liberté, peut-être la vie... et plus d'un milliard et demi de dollars, le Pouvoir, la Fortune ! Une course désopilante, dramatique, rythmée par un étonnant chassé-croisé entre Las Vegas et les brumes menaçantes d'Atlantic City.

06/2010

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Littérature étrangère

Fortune

Le Ferndale est bien le navire le plus inquiétant qui soit, dans le sens où notre planète est inquiétante, avec son atmosphère trouble de passions, de jalousie, d'amour, de haines, avec la calamité des bonnes volontés transcendantes. Et il a fallu que le hasard choisisse le Ferndale, entre tous les navires alors dans le port de Londres, pour assurer au jeune Powell son premier pas dans la vie. Le voilà désormais sous le coup du funeste enchantement qu'exercent sur lui l'énigmatique capitaine Anthony, Flora De Barral, pâle jeune femme qui semble vouée au malheur, et le père de celle-ci, vieux financier mis en prison pour banqueroute frauduleuse. Le plus grand, le plus beau des romans de Conrad. Nouvelle traduction établie par Roger Hibon.

05/1952

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Littérature anglo-saxonne

Fortune

" Vous avez compris" ? " Elle le regarda en silence. " "Que je vous aime", acheva-t-il. " Elle hocha très légèrement la tête. " "Vous ne me croyez pas ? lui demanda-t-il dans un murmure irrité. " -Personne ne peut m'aimer, répondit-elle très calmement. Personne." " Il resta coi un moment, complètement abasourdi, ce qui n'est pas surprenant. Il doutait d'avoir bien entendu. Il était outragé. " "Quoi, que dites-vous ? Personne ne peut vous aimer ? Qu'en savez-vous ? C'est mon affaire, non ? Et vous osez dire une chose pareille à un homme qui vient de vous confesser son amour ! Il faut que vous soyez folle ! " -Presque", dit-elle avec un accent de sincérité contenue, soulagée de pouvoir dire une chose qu'elle sentait être vraie, car depuis quelques jours, elle avait plusieurs fois eu l'impression d'être aux confins de cette sorte de folie qui n'est que l'intolérable lucidité de l'angoisse du lendemain. " Paru en 1913, Fortune est de ces romans qui jettent un regard perçant et sans complaisance sur la nature humaine et ses passions illusoires, sur l'ambition héroïque qui conduit à la mort, sur la vanité des échappatoires face au destin. C'est surtout l'histoire d'une femme autour de laquelle ce même regard s'enroule, s'accroche, se suspend. Mais plus cette femme est proche et plus on croit la tenir, plus son être se dérobe et on reste là, conquis, épris, envoûté... amoureux.

05/2003

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Littérature anglo-saxonne

Fortune

Le Ferndale est bien le navire le plus inquiétant qui soit, dans le sens où notre planète est inquiétante, avec son atmosphère trouble de passions, de jalousie, d'amour, de haines, avec la calamité des bonnes volontés transcendantes. Et il a fallu que le hasard choisisse le Ferndale, entre tous les navires alors dans le port de Londres, pour assurer au jeune Powell son premier pas dans la vie. Le voilà désormais sous le coup du funeste enchantement qu'exercent sur lui l'énigmatique capitaine Anthony, Flora De Barral, pâle jeune femme qui semble vouée au malheur, et le père de celle-ci, vieux financier mis en prison pour banqueroute frauduleuse. Le plus grand, le plus beau des romans de Conrad. Nouvelle traduction établie par Roger Hibon.

12/1989

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