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Ferdynand Ossendowski

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Récits de voyage

Rencontre avec le roi du monde

Ce livre est paru en français pour la première fois en 1924. Il est passionnant à deux titres : tout d'abord par la personnalité de son auteur, ensuite par son contenu. Ferdinand Ossendowski, né en 1878, participa à la révolution de 1905 et devint même président, deux mois durant, de l'éphémère "gouvernement révolutionnaire" d'une république sibérienne. Condamné à mort, gracié par le tsar, relégué en Sibérie, il soutint les forces contre-révolutionnaires, dites "blanches", de l'amiral Koltchak qui le nomma Ministre des finances de son gouvernement. C'est après l'effondrement de celui-ci, sous les coups de boutoirs des bolcheviks, que débute Rencontre avec le Roi du Monde qui relate sa fuite devant les armées rouges jusqu'en Chine. Quant au contenu du livre, il relève, pour une part de la littérature d'aventure vécue et pour une autre de l'ésotérisme et de l'initiation. De ce fait Rencontre avec le Roi du Monde, qui a inspiré Corto Maltese en Sibérie, passionnera tant les amateurs de récit d'aventure que ceux qui s'intéressent au bouddhisme et au lamaisme tibétain.

05/2018

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Esotérisme

Bêtes, hommes et dieux. L'énigme du roi du monde

En 1920, dans une Russie toujours déchirée par la guerre civile entre les Bolcheviques et les Blancs, l'auteur, brillant ingénieur géologue polonais au service de la Russie tsariste, va être arrêté par un détachement de l'Armée rouge voulant le fusiller. Pour sauver sa vie, il décide de traverser à pied la Sibérie, la Mon­golie et le Tibet pour atteindre l'Inde anglaise ; ce périple lui fait traverser une nature hostile, à cheval et bien armé avec des compagnons de voyage tout aussi menacés. Son récit n'est pas une simple his­toire de fuite et de survie : il rend hommage à la beauté âpre de l'Asie. Après de nombreuses péripéties – comme la débâcle de l'Iénisséi : les énormes blocs de glace qui partent à la dérive dans des cla­quements assourdissants entraînent derrière eux les cadavres encore frais des innombrables victimes de l'automne précédent – qui le conduise à Pékin, après une tentative manquée pour s'échapper par le Tibet. Grand amateur de mystères, Ferdinand Ossendowski donne en­fin une di­men­sion ésotérique à son odyssée lorsqu'il évo­que ses expériences chamaniques et sa révélation du mythe du Roi du monde : en Mongolie, il rencontre ainsi des personnage historiques, tel le Bouddha vivant, le " roi du monde ", le Bogdo Khan, des cha­mans visionnaires, des lamas em­poison­neurs, le baron von Ungern-Sternberg un mon­de de magie et de folie mystique... Remarquable notamment est l'évocation faite de l'Agarttha (sanctuaire souterrain caché sous la chaîne de l'Himalaya où officieraient les Maîtres du Monde) : " Le roi du Monde apparaîtra devant tous les hom­mes quand le temps sera venu pour lui de conduire tous les bons dans la guerre contre les méchants ; mais ce temps n'est pas encore venu. Les plus mauvais de l'humanité ne sont pas encore nés. "

02/2019

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Littérature française

Le brig "Le Terreur". Suivi de La lutte à venir

"Maintenant, l'humanité et moi allons nous livrer à un dernier combat, à mort. Le commandant du brig "le Terreur" lui a déclaré la guerre ! ". Il siffla brusquement, et les flambeaux s'éteignirent aussitôt. Seuls les voiles et les mâts du brig qui ressemblait à un horrible et gigantesque fantôme, se profilaient dans les épaisses ténèbres. Des gens invisibles enlevèrent sans bruit les crocs qui le maintenait au "Griffon", et léger comme une vision, noir et sans feux, le voilier s'élança rapidement... On le sait peu de nos jours, mais avant de fuir l'URSS naissante, Ferdynand Ossendowski fut un écrivain de langue russe, auteur d'une poignée de récits d'aventure et d'anticipation, dans la lignée de Jules Verne et d'Herbert George Wells. Démocrate, féministe et progressiste, il était l'ardent partisan d'une science au service de tous, et non d'une poignée d'aristocrates et de nantis.

01/2015

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Récits de voyage

Esclaves du soleil

Grand voyageur, Ferdynand Ossendowski part dans les années vingt découvrir l'Afrique. Du Sénégal à la Côte d'Ivoire, en passant par le fleuve Niger et la Haute-Volta (Burkina Faso), il explore le passé du continent et ses croyances anciennes, fruits d'influences lointaines et surprenantes. Il analyse et esquisse les enjeux futurs du colonialisme. En interaction avec les habitants et leur milieu naturel, il évoque leur lutte quotidienne contre la puissance implacable du soleil qui, sans distinction de couleur de peau ou de religion, écrase tout.

09/2016

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Généralités

Ossendowski, le menteur sans honneur

Ossendowski, le menteur sans honneur / par le Dr George Montandon Date de l'édition originale : 1924 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

07/2021

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Littérature française

Ferdinand

Ferdinand, nous le connaissons tous. Les plus chanceux l'ont rencontré dans la vie, les autres dans leurs rêves. C'est lui qui nous cajole quand nous sommes tristes, qui nous encourage quand tout le monde nous lâche, qui nous apprend sans rien dire, qui nous accompagne quand personne ne comprend. C'est pour lui aussi que nous sommes là. Jusqu'au bout, parce que l'amour d'une grand-père ça n'a pas de prix... Heureusement. L'écriture de Lucie Braud est subtile. Ferdinand est approché à partir des yeux que sur lui pose sa petite-fille. Seuls quelques épisodes nous éclairent sur cette relation sans qu'ils ne rendent compte de détails triviaux : refus de l'anecdote, refus de l'image d'Epinal, du décor et du subterfuge facile. Refus aussi de l'épanchement dans cette écriture, et voilà ce qui donne force à un récit où le personnage central, c'est le lien d'amour entre ces deux êtres. Aucun pathos, seules l'intensité et la pudeur.

02/2012

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