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Ernst Weiss

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Histoire internationale

Louise Weiss

Femme de culture et de conviction, pacifiste de la première heure, féministe turbulente et infatigable défenseur de l'Europe, Louise Weiss (l 893-1983) fut un symbole pour plusieurs générations. Témoin passionné des deux guerres mondiales, celle qui incarna la lutte pour l'égalité politique et civique des femmes ne cessa jamais de combattre pour la démocratie. Fondatrice en 1918 de l'hebdomadaire L'Europe nouvelle, elle créa l'Ecole de la Paix dont les orateurs sont les plus illustres Européens d'alors, puis elle lança le mouvement de la Femme Nouvelle. En 1979, Louise Weiss prononça le discours d'ouverture du Parlement européen à Strasbourg. Elle avait quatre-vingt-six ans. Mais derrière le personnage public, magnifique et insaisissable, se cachait une femme vulnérable, prisonnière de ses propres contradictions. La biographie particulièrement exhaustive que lui consacre Célia Bertin va au-delà des apparences et révèle la complexité de l'auteur des Mémoires d'une Européenne. Une Européenne qui fut aussi, comme en témoigne cet ouvrage, une grande darne.

04/1999

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Photographes

Sabine Weiss

Sabine Weiss, née en 1924, a contribué de manière majeure au courant de la photographie humaniste française, qui rassemble des photographes comme Robert Doisneau, Willy Ronis ou Brassaï. Photographe de métier, elle a abordé tous les domaines de la photographie au cours de sa longue carrière : reportage, mode, publicité, portraits, travaux personnels. Le goût de la rencontre, le souci de la technique et une curiosité vive et constante pour l'observation des gens - anonymes ou personnalités publiques - dans leur environnement apparaissent comme les fils conducteurs d'une oeuvre prolifique.

06/2021

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Littérature étrangère

Cortège de démons

Trente ans, marié, Franta Zlin était ouvrier-joaillier de son métier. A l'automne 1914, il avait participé à la première bataille de Rawaruska comme ordonnance d'un général autrichien. L'engeance humaine, cette vermine, l'étudiant commençait tout juste à l'aimer ; il était certes encore effrayé par les gens qu'il connaissait ; et l'amour qu'ils manifestaient, il le ressentait comme inhumain. Edgar et Esther se connaissaient depuis déjà de nombreuses années lorsqu'ils commencèrent à s'aimer. Elle n'avait guère changé durant toutes ces années : grande, blonde, avec d'abondants cheveux. Le vingt-sept avril, jour du mémorable incendie de la grande ville, on ouvrit à six heures du soir la cellule de Hodin, l'assassin. Hodin tenait sa main malade devant sa bouche et paraissait absent. Léa s... naquit en 1870. Elle était le quatrième enfant et fut le seul qui survécut. Le père était chrétien, la mère était juive. Couple passionné, inquiet. Il y a de cela quelques années, j'entrepris un voyage en qualité de médecin à bord d'un assez gros paquebot. Ce navire était en réalité conçu pour transporter des marchandises. Eusebius était un homme d'un âge avancé qui, à part son frère et associé d'autrefois, Alexandre, n'avait que des parents assez éloignés, mais nombreux, et presque tout à fait misérables. Au cours de sa vie, Nikolaus Sered avait été toutes sortes de choses, sauf justement ce qu'il aurait voulu. Son père possédait une auberge appelée Au péage, et située aux portes de Prague.

01/1992

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Littérature française (poches)

Le témoin oculaire

Le narrateur, médecin, est affecté durant la Première Guerre mondiale à un établissement psychiatrique. Il y reçoit un jour un caporal d'un régiment bavarois, gazé, agité, qui se fait remarquer par sa haine des juifs, et est atteint de cécité hystérique. Le narrateur relève le défi médical. Il sauve le caporal. Il s'agissait d'Adolph Hitler qui, ayant recouvré la vue, allait " engendrer en Europe des souffrances incommensurables ". Celui qui aurait voulu n'être qu'un témoin oculaire rapporte ici toute son existence, depuis son enfance jusqu'à son engagement dans la guerre d'Espagne, en passant par ce " miracle " accompli par hasard sur Hitler et dont il se sentira à jamais coupable, et par son internement en camp de concentration, puis son exil à Paris.

04/1991

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Littérature française (poches)

L'aristocrate

Mon nom est Boétius Maria Dagobert vom Orlamünde, ou plus précisément, je me nomme Orlamünde. Historiquement, la maison des Orlamünde s'est éteinte au XVIe siècle. Orlamünde n'est donc ici qu'un nom. J'appartiens à une autre maison illustre que je m'abstiendrai de nommer. Mon nom à beau être éclatant, je ne suis pas grand chose. Mes parents vivaient aussi misérablement. Le savaient-ils ? S'abusaient-ils ? Quoique possédant encore quelques restes d'une splendeur passée, ils souffraient de la faim, et notre vieux domestique David avec eux. Mais au lieu de renoncer aux prérogatives de la noblesse et d'exercer une profession bourgeoise, tirant ainsi la conclusion la plus simple de la chute d'une maison autrefois puissante., ils me léguèrent, outre la pauvreté et la frugalité, le surnom proprement absurde de Boëtius. L'Aristocrate ou la fin des rêves 1913. Le jeune Boëtius va vivre ses premières expériences qui le feront passer de l'enfance à l'âge adulte. La mort, les désillusions, les catastrophes ; rien ne manque au tableau. Parce que le monde n'est pas un paradis et que la vie ne tient jamais les promesses du bonheur. Roman d'apprentissage, l'Aristocrate est aussi le livre d'une initiation au malheur. Ou, peut-être, l'un des plus délicieux flamboiements du pessimisme que nous ait offert la littérature moderne.

02/1994

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Littérature française

La folie de Weiss

L'auteur a 19 ans lorsqu'il couche sur le papier ses premières réflexions face à notre monde, le bien, le mal et la morale, si elle existe ! Sa curiosité nous amène à travers le personnage de Constant, journaliste, à explorer la folie de Gabriel, un jeune homme, qui s'est volontairement fait enfermer dans un hôpital psychiatrique et qui a demandé à le rencontrer. Quelles en sont les raisons ? Qui est Gabriel ? Quel est ce secret qui lui a été révélé et qu'il confiera peut-être à Constant ? Bienvenue dans la folie de Weiss !

11/2013

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