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Ecrits sur l'abîme. Les derniers romans de Henry James

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Dossier

Un titan littéraire : découvrir les livres d'Henry James

Henry James est né le 15 avril 1843 à New York, au sein d'une famille aisée d'intellectuels. Son père, Henry James Sr., était un éminent théologien et philosophe, offrant au jeune James un environnement nourri de débats intellectuels dès son plus jeune âge.

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Dossier

Livres, actualités : tout sur James Baldwin

Né le 2 août 1924 à Harlem, New York, James Baldwin est l'un des écrivains américains les plus importants du XXe siècle : engagé dans la lutte pour les droits civiques aux États-Unis, Baldwin a exploré la question dans Chronique d'un pays natal (1955) et La Prochaine Fois, le feu (1963).

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Dossier

Le centenaire du chef-d’oeuvre de James Joyce, Ulysse

Précédé par une histoire éditoriale tumultueuse et légendaire, Ulysse, le chef-d’œuvre de James Joyce, fête en 2022 le centenaire de sa publication. C'est en France, à Paris, que le récit trouve en effet sa forme définitive, confié aux bons soins de Sylvia Plath.

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Dossier

Courir ou mourir : Le Labyrinthe, la saga de James Dashner

Depuis la publication du premier livre en 2009, la saga Le Labyrinthe (titre original : The Maze Runner), écrite par James Dashner, a marqué une génération d'adolescents et jeunes adultes par son intrigue captivante, ses personnages attachants et sa représentation métaphorique des défis de l'adolescence. Cette saga dystopique a séduit des millions de lecteurs à travers le monde et a inspiré une série de films à succès.

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Dossier

Les critiques de la rentrée littéraire 2017

Rentrée littéraire, le dossier complet : avec 581 romans français et étrangers en librairie, voilà des lectures à foison. La rédaction propose ses choix et ses conseils, sur les livres qu’on aime, et les autres.

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Dossier

Robots, extraterrestres, IA, humains... qui aura le dernier mot ?

Ah, l'ère technologique ! Une époque où nos téléphones sont plus intelligents que nos animaux de compagnie, où nos montres peuvent nous dire combien de pas nous avons faits (comme si cela comptait vraiment après cette pizza quatre fromages) et où nos réfrigérateurs peuvent nous rappeler d'acheter du lait. Mais attendez, ce n'est pas tout ! 

Extraits

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Critique littéraire

Ecrits sur l'abîme. Les derniers romans de Henry James

L'invisible, l'indicible, l'insaisissable : entre peur et désir, Henry James n'a cessé d'approfondir la dimension d'inconnu où s'abîme pour lui la conscience. Abîme de l'autre sous les dehors du même ; abîme du regard en son objet obscur ; abîme d'un langage qui dérobe le sens : sur la béance secrète des horizons intimes, les derniers romans tissent des intrigues de mélodrame, drapent les plis multiples d'une écriture où l'excès a partie liée avec le silence. Et, dans l'épaisseur fantasmatique de leur texture, la "folie de l'art" ouvre sur l'Autre Scène. Ecrits sur l'abîme, tels sont, dans l'éclat même de leurs surfaces, Les Ambassadeurs, Les Ailes de la colombe, La Coupe d'or.

10/1996

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Littérature française

Le roman cassé et derniers écrits

René Crevel aux Editions Pauvert Mon corps et moi, préface de Jean Frémon. La mort difficile, préface de Salvador Dali. Les pieds dans le plat, préface de Ezra Pound. Babylone. Détours, préface de Michel Carassou. L'Esprit contre la Raison et autres écrits surréalistes, préface de Annie Le Brun. à la Librairie Arthème Fayard René Crevel, biographie de Michel Carassou.

02/1989

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Littérature française

Henri ou Henry. Le roman de mon père

"Je lui aurais obéi. Je lui ai toujours obéi. Même le soir où on l'a retrouvé allongé sur le tapis chinois de son bureau, le cœur presque arrêté. Le médecin était là avant moi, il m'a chuchoté d'aller lui dire adieu parce qu'il n'arriverait pas vivant à la clinique, il allait mourir dans l'ambulance. Quand je me suis accroupi pour l'embrasser, papa m'a dit de lui servir un whisky sec, bien tassé. Ne fais pas ça, m'a dit maman, tu vas tuer ton père. Je l'ai fait quand même, toujours obéir à papa, j'ai soulevé sa tête pour qu'il soit bien à l'aise pour boire son whisky, qu'il en profite à fond, je n'avais pas lésiné sur la dose, j'ai senti les boucles de sa nuque ma caresser la paume, ça faisait comme un chat un peu lourd et qui semblait avoir froid, je lui ai demandé de ne pas mourir, pas comme ça, pas couché sur le tapis, alors il m'a dit laisse-moi finir ce putain de whisky et tu m'aideras à me relever, ne le bougez surtout pas a dit l'ambulancier, c'est mon père, j'ai dit, j'ai aidé papa à se redresser, à se mettre debout, il ne tenait pas très bien sur ses jambes mais il n'est pas tombé, il s'est appuyé sur moi pour marcher jusqu'à la porte palière où l'attendait la civière pour l'enfourner dans l'ambulance où il devait mourir, et il n'est pas mort, ni dans l'ambulance ni à la clinique, il n'est pas mort ce soir-là, le scotch y fut peut-être pour quelque chose, c'est la preuve en tout cas qu'une fois de plus j'avais bien fait d'obéir à mon père. Et ce livre est tout le contraire, une désobéissance. " Des années et des années après Abraham de Brooklyn et John l'Enfer, Didier Decoin raconte enfin la vie du plus beau de ses héros, Henri Decoin, son père.

05/2006

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Critique littéraire

La muse démocratique. Henry James ou les pouvoirs du roman

Subtil analyste de l'ambiguïté des sentiments humains, excellant à multiplier les points de vue sur les êtres et à susciter la perplexité du lecteur, Henry James figure, à côté de Woolf, Proust, Joyce, Musil, dans le panthéon des très grands écrivains qui ont renouvelé le roman moderne. Ses livres les plus célèbres - Portrait de femme, Le Tour d'écrou, L'Image dans le tapis, Les Bostoniennes - composent d'inoubliables variations sur le thème de l'insondable mystère qu'est la vie de chacun. " On ne peut dire le tout de rien ", écrivait-il volontiers. Mais cet Américain qui avait adopté l'Angleterre comme patrie, cet inconditionnel de la démocratie du Nouveau Monde qui ne se sentait bien que dans l'Ancien, est aussi un témoin particulièrement lucide de l'époque qui finit et de celle qui commence. Avant les autres, il a vu que le mouvement de l'égalisation dans les sociétés modernes, irréversible et d'ailleurs souhaitable, préparait un monde qui verrait la confusion des rôles, le règne tout-puissant de la richesse, la religion triviale de la normalité ; il a pressenti que les sociétés de demain seraient inamicales à l'art, élitiste et hiérarchique par essence. C'est cette face jusqu'à présent cachée de l'œuvre de James qu'explore ici Mona Ozouf, que sa connaissance de l'histoire de l'idée démocratique rend singulièrement apte à entendre, dans ces textes célèbres, un écho nouveau. La muse démocratique a-t-elle devant elle de beaux jours ? Le spectacle d'une humanité grégaire la rebute, le déclin de la vie privée la fait trembler ; les relations entre hommes et femmes la désespèrent. Pour éclairer son inspiration désenchantée, il y a, heureusement, la littérature.

07/1998

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Philosophie

Lettres philosophiques ; Derniers écrits sur Dieu

Face à la production de Diderot, Montesquieu ou encore Rousseau, l'œuvre philosophique de Voltaire ne semble pas peser lourd. On connaît Voltaire conteur, poète, dramaturge, historien, politique... qu'en est-il de Voltaire philosophe ? Les textes réunis dans ce volume, depuis son premier ouvrage polémique - les célèbres Lettres philosophiques - jusqu'à ses derniers écrits sur Dieu, moins connus, invitent à découvrir la singularité de la pensée voltairienne. Ecrites en Angleterre, les Lettres philosophiques (1 734) sont " la première bombe lancée contre l'Ancien Régime " (Gustave Lanson) : avant d'éclater au visage de la royauté de droit divin, elles condamnèrent leur auteur à l'exil. Remettant en cause les certitudes dont étaient pétris les Français d'alors, Voltaire y fustige les autorités en place nourri des théories de Newton et de Locke, il bat en brèche 1e cartésianisme ; attaquant Pascal, il tire à boulets rouges sur l'institution religieuse. Cette hostilité à l'esprit de système ne l'a plus jamais quitté. Farouchement opposé aux articles de la foi, il le fut aussi à l'athéisme, ainsi qu'en témoignent les brochures rédigées vers la fin de sa vie, de Tout en Dieu (1 769) à Il faut prendre un parti (1 775) en passant par Dieu (1 770) et les Lettres de Memmius à Cicéron (1 771), dans lesquelles 1e déisme voltairien se précise en une étonnante synthèse des idées de Leibniz, Malebranche et Spinoza.

01/2006

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Beaux arts

Le musée intérieur de Henry James

Cet essai (illustré d'une quarantaine de reproductions en couleurs dans deux cahiers) sur les rapports de James avec la peinture, à travers son oeuvre imaginaire et son oeuvre critique, est l'occasion d'analyser l'oeuvre du maître américain et aussi sa vie. En effet, intimement lié à des artistes, James était fasciné par la création artistique qu'il comparait constamment à la littérature. Il a analysé de très près la technique des peintres et leur univers, qu'il s'agisse de peintres académiques ou novateurs. Ses nombreux voyages en Italie l'avaient amené, par ailleurs, à s'attarder sur les grands maîtres vénitiens. Son frère, le philosophe William James, peignait, si bien que la peinture faisait partie intégrante de son univers psychique et quotidien. Le livre est divisé en deux parties : un essai en cinq chapitres et un choix de traductions de textes de James sur l'art, correspondant à ces cinq sujets : Venise, les peintres londoniens, les caricatures de Daumier, les lettres et les tableaux de Delacroix et l'oeuvre de John Singer Sargent (qui, par le cosmopolitisme et la haute société, était en quelque sorte son jumeau en peinture). C'est donc aussi un voyage dans l'intimité de James, dans sa conception de la création artistique, du visible et de l'invisible, du dicible et de l'indicible, du mystère. L'essentielle question jamesienne sur les indices d'une réalité cachée est au coeur de cet essai. Profondément européen, et particulièrement tourné vers la France, James était en constant dialogue, explicite ou secret, avec Baudelaire, Delacroix, Zola, sur la question de l'art, et se trouve être, en ce domaine, un précurseur de Proust.

11/2016

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