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Daniel Mesguich, Philippe Bouret

Dossiers

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Dossier

Philippe Curval, le touche-à-tout des lettres française

Philippe Curval est né à l'aube des années trente, a côtoyé les surréalistes, a fréquenté de nombreux écrivains comme Boris Vian ou Topor, participé à la naissance de la première librairie de science- fiction, de la première revue de science-fiction. 

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Dossier

Les Forêts d'Opale : un monde à libérer

Créée en janvier 2000 dans Lanfeust Mag, la série Les Forêts d’Opale fut portée par Christophe Arleston avec les dessins de Philippe Pellet. Dans ce monde d’heroic fantasy, les forêts recouvrent l’ensemble des territoires explorés. Une fable écologique… ou l’histoire d’un destin ?

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Dossier

Rentrée littéraire 2022 : huit romans détachés du peloton

Dans le cadre d'une tournée inédite de présentation de leur rentrée littéraire, quatre éditeurs – Philippe Rey, Le Tripode, Le Passage et Bruit du Monde – vont à la rencontre de 250 libraires à travers la France. En avant première, ils nous proposent de découvrir les extraits des différents romans qui seront alors dévoilés.

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Dossier

Le Prix Eugène Dabit du roman populiste

Récompense créée en 1931 par Antonine Coullet-Tessier, le Prix Eugène Dabit du roman populiste s'est donné pour mission de saluer une œuvre romanesque qui « préfère les gens du peuple comme personnages et les milieux populaires comme décors à condition qu'il s'en dégage une authentique humanité ».

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Dossier

Livres, actualités : tout sur Edith Wharton

Née en 1862, Edith Newbold Jones, mieux connue sous le nom Edith Wharton, a résolument marqué l'histoire de la littérature : elle fut ainsi la première femme à obtenir le Prix Pulitzer du roman, pour Le temps de l'innocence, publié en 1920. Après une enfance européenne, elle retourne à New York avec sa famille, qui jouit d'une situation très aisée.

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Dossier

Livres, BD, actualités : tout sur Pénélope Bagieu

La carrière de Pénélope Bagieu a commencé de manière tout à fait personnelle, par l'intermédiaire de son blog, Ma vie est tout à fait fascinante, sur lequel elle met en dessins des anecdotes de sa vie quotidienne. En 2008, elle publie le premier volume de Joséphine, le premier d'une longue série d'albums très appréciés du public.

Extraits

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Théâtre

Reprises et transmission : autour du travail de Daniel Mesguich

Ce livre est consacré au travail de Daniel Mesguich, figure majeure de la création théâtrale française et de la réflexion moderne et contemporaine sur l'art théâtral depuis près de quarante ans. Aujourd'hui directeur du Conservatoire national d'art dramatique, mais aussi directeur de troupe et de théâtre, il est encore acteur, traducteur pour la scène, metteur en scène d'opéra, essayiste, romancier. Sollicitant une expertise universitaire transdisciplinaire (théâtre, littérature, philosophie, musique), des témoignages de maures et d'acteurs familiers de son travail, ce livre examine tour à tour les enjeux esthétiques et philosophiques de ses mises en scène et son interrogation du patrimoine théâtral, pour se pencher finalement sur le rôle de " passeur de Daniel Mesguich, en ouvrant les portes du Conservatoire où il enseigne et en examinant l'important corpus audiovisuel qui porte trace de ses mises en scènes. Un cahier photographique accompagne et illustre les textes qui lui sont ici consacrés et qui, tous, témoignent du rayonnement d'une oeuvre généreuse et multiforme.

12/2012

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Théâtre - Essais

Le spectre du théâtre

Daniel Mesguich est tout à la fois metteur en scène, comédien, acteur et professeur d'art dramatique... Il parle ici admirablement de cet art dont il est un des maîtres incontestés. " Le théâtre est rayonnement sans borne, éternellement infini dans tous les univers, mais ce rayonnement est éphémère. Il vise à l'éternité, mais ne dure chaque fois que deux heures, c'est-à-dire à peu près zéro seconde... Rien ne persiste, pas de traces, rien ne reste. La seule chose ineffaçable, absolument ineffaçable - même quand le soleil, notre étoile, ayant commencé de s'éteindre, il n'y aura plus personne dans l'univers pour s'en souvenir -, la seule chose irrattrapable, même par un dieu tout puissant, c'est le futur antérieur. C'est que ça aura eu lieu... Oui, comme la vie. " Daniel Mesguich

03/2023

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Théâtre

Cixous/Mesguich. Reprises d'amour

Ouvrage en forme de "journal de bord", par Roger-Daniel Bensky, d'une répétition de la pièce de théâtre L'Histoire qu'on ne connaîtra jamais, avec Hélène Cixous et Daniel Mesguich.

01/1994

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Théâtre

Vie d'artiste

Les auteurs qu'il monte, d'Euripide à Cixous, sont les classiques d'hier (Racine, Tchekhov, Claudel) ou d'aujourd'hui (Duras, Brisville, Dubillard). On lui doit la mise en scène d'une quinzaine d'opéras aussi différents que Le Grand Macabre de Ligeti, Le Ring de Wagner ou La Flûte enchantée de Mozart. Il a dirigé, outre sa compagnie, deux grands théâtres nationaux et, depuis 2007, le Conservatoire national supérieur d'art dramatique. Au théâtre, au cinéma ou à la télévision, il a été Napoléon, Berlioz, Léon Blum, Descartes et même Billy the Kid... Acteur viscéral, metteur en scène effervescent, auteur et récitant, Daniel Mesguich est tout cela. Au fil de ces entretiens, il évoque son enfance dans l'Alger de Camus, les années sans le sou à Marseille, la découverte simultanée de Sartre, Dylan, Ferré, Marx et Gérard Philipe, l'arrivée à Paris et l'amitié d'Antoine Vitez, ses premières mises en scène de Kafka et Marivaux, les années de triomphe et de scandale d'Avignon à Pékin. Mais aussi son travail avec François Truffaut, Romy Schneider ou Bernard Rapp et la rencontre sans cesse répétée, sur la route d'Elseneur, d'un certain Hamlet, prince de Danemark... Plus qu'un iconoclaste, animé par la passion de "faire penser le texte", Daniel Mesguich se révèle un amoureux du verbe, des acteurs et de leurs rêves. Un artiste, avant tout.

11/2012

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Critique littéraire

Estuaires

Len jour où le professeur Stella Spriet est remontée de ma cave, mille feuilles de toutes dimensions dans les bras, et m'a affirmé qu'elle voyait, en ce drôle de tas, matière à un véritable livre, j'ai dit d'abord : non. Et puis j'ai relu cet amas de textes. Comme ça, pour rire, quarante années en quatre heures. Et voilà que j'ai été frappé de l'existence têtue d'une ligne qui ne se donnait pas tout entière en chacun des textes, mais se faisait éclatante, par recoupement, si on les lisait tous ensemble. Ces textes, à la teneur polémique, politique, philosophique, critique, "artistique", écrivaient et décrivaient ma vie, mes actions, mieux, beaucoup mieux, que ne l'aurait fait quelque dissertation homogène et continue. J'ai pu penser aussi qu'ils pouvaient "servir" : que des jeunes gens, ou de plus vieux, qu'ils se destinent à l'art dramatique ou pas, pouvaient retirer quelque chose de ce qui aura pourtant été si singulier, si personnel... Car ces écrits sont aussi, avaient toujours été, textes de partage vivant. D. M.

05/2017

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Théâtre - Pièces

Fracasse

Il n'y a qu'au théâtre qu'on pleure sans raison autre que celle de pleurer au théâtre, et "mieux" même que "dans la réalité" . Les pleurs de l'actrice sont, disons-le pour aller vite, les pleurs d'un spectre en elle (en nous), et non ceux d'une femme qui en imiterait une autre. J'ai laissé le plaisir, et l'effort, chaque fois récompensé par de nouvelles surprises, de seulement lire et relire Le Capitaine Fracasse pour un texte, plus aventureux, plus solitaire, plus acide aussi sans doute, d'écrire moi-même en ses trames et ses marges ! ... Et j'ai voulu, infidèle, que le spectre qui lentement se profilait dans l'encre et la brume, et qui, visible enfin, se présentait presque tout entier cousu, comme au théâtre, d'étranges dialogues, gardât mémoire, et célébrât, comme par une manière de politesse, quelque chose de ce qu'il devait à ce qui donc l'avait permis : quelque chose, précisément, de l'histoire du théâtre, d'une certaine histoire du théâtre. Celle, par leur art, qu'ont "écrite sur le sable" , comme disait le metteur en scène Antoine Vitez, les plus grands acteurs français depuis le XVIIe siècle. Et c'est ainsi que la troupe de comédiens du roman a tourné, ici, à l'Association de spectres... J'ai voulu aussi - surtout - qu'on entendît, avec la fiction - sous elle, derrière elle, et peut-être en elle - quelque chose qu'on pourrait dire une philosophie du théâtre. Qui n'est, je le crains, que la mienne, et bien loin, sans doute, d'être aujourd'hui majoritaire... Pire : deux fois infidèle, j'ai écrit en me laissant séduire, dès qu'elles se mettaient à chanter à mes oreilles, c'est-à-dire souvent, par d'aussi brèves qu'irrésistibles réminiscences d'autres chefs-d'oeuvre : depuis les fictions de Shakespeare l'incontournable - qui m'a ici tenu la main pour deux scènes au moins - à celles d'Hélène Cixous - que je lis et relis depuis si longtemps déjà -, en passant par, que sais-je, les textes de Racine, Artaud, Montaigne, Baudelaire, Claudel, Proust, Aragon, Verlaine, Rimbaud ou Borges... De tous ces textes, les traces, certes, ne sont plus ici, elles aussi, que spectrales, et presque toujours maquillées ou gauchies, mais un lecteur ludique, amoureux - et obstiné - parviendrait sans doute, à de certaines lumières, à en faire chatoyer les formes et les reflets... D. M.

10/2022

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