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Cris !

"Douce solitude As-tu connu cette douceur D'être emmené sans heurt Vers un intense silence Où s'ignore la défiance ? Sens-tu cette douce brise Qui de son sein te frise Emportant très loin l'esprit Te détachant de ce qui vit ? " Plongez dans la lecture de ces poèmes variés, s'inspirant de l'actualité et des relations humaines.

06/2022

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Cris

Douze soldats dans la confusion des tranchées. Douze hommes que les obus ont rendus sourds et qui, à défaut de pouvoir échanger, monologuent à tour de rôle pour dire la peur, la violence et l'horreur. Douze ombres qui n'ont plus que la fraternité pour appartenir encore à l'humanité. En donnant la parole à ces hommes pris dans la tourmente de l'histoire et promis à une mort certaine, Laurent Gaude les sauve de l'oubli et offre une contribution saisissante au mémorial littéraire de la Grande Guerre.

05/2021

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Cris

Ils se nomment Marius, Boris, Ripoll, Rénier, Barboni ou M'Bossolo. Dans les tranchées où ils se terrent, dans les boyaux d'où ils s'élancent selon le flux et le reflux des assauts, ils partagent l'insoutenable fraternité de la guerre de 1914. Loin devant eux, un gazé agonise. Plus loin encore retentit l'horrible cri de ce soldat fou qu'ils imaginent perdu entre les deux lignes du front : "l'homme-cochon". A l'arrière, Jules, le permissionnaire, s'éloigne vers la vie normale, mais les voix des compagnons d'armes le poursuivent avec acharnement. Elles s'élèvent comme un chant, comme un mémorial de douleur et de tragique solidarité, prenant en charge collectivement une narration incantatoire, qui nous plonge, nous aussi, dans l'immédiate instantanéité des combats, avec une densité sonore et une véracité saisissantes.

11/2014

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Ils se nomment Marius, Boris, Ripoll, Rénier, Barboni ou M'Bossolo. Dans les tranchées où ils se terrent, dans les boyaux d'où ils s'élancent selon le flux et le reflux des assauts, ils partagent l'insoutenable fraternité de la guerre de 1914. Loin devant eux, un gazé agonise. Plus loin encore, retentit l'horrible cri de ce soldat fou qu'ils imaginent perdu entre les deux lignes du front, " l'homme-cochon ". A l'arrière, Jules, le permissionnaire, s'éloigne vers la vie normale, mais les voix de ses compagnons d'armes le poursuivent avec acharnement. Elles s'élèvent comme un chant, comme un mémorial de douleur et de tragique solidarité. Dans ce texte incantatoire, l'auteur de La Mort du roi Tsongor (prix Goncourt des lycéens 2002, prix des Libraires 2003) et du Soleil des Scorta (prix Goncourt 2004) nous plonge dans l'immédiate instantanéité des combats, avec une densité sonore et une véracité saisissantes.

10/2005

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Ils se nomment Marius, Boris, Ripoll, Rénier, Barboni ou M'Bossolo. Dans les tranchées où ils se terrent, dans les boyaux d'où ils s'élancent selon le flux et le reflux des assauts, ils partagent l'insoutenable fraternité de la guerre de 1914. Loin devant eux, un gazé agonise. Plus loin encore retentit l'horrible cri de ce soldat fou qu'ils imaginent perdu entre les deux lignes du front : "l'homme-cochon". A l'arrière, Jules, le permissionnaire, s'éloigne vers la vie normale, mais les voix des compagnons d'armes le poursuivent avec acharnement. Elles s'élèvent comme un chant, comme un mémorial de douleur et de tragique solidarité, prenant en charge collectivement une narration incantatoire, qui nous plonge, nous aussi, dans l'immédiate instantanéité des combats, avec une densité sonore et une véracité saisissantes.

12/2003

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Ils se nomment Marius, Boris, Ripoll, Renier, Barboni ou M'Bossolo. Dans les tranchées où ils se terrent, dans les boyaux d'où ils s'élancent selon le flux et le reflux des assauts, ils partagent l'insoutenable fraternité de la guerre de 1914. Loin devant eux, un gazé agonise. Plus loin encore retentit l'horrible cri de ce soldat fou qu'ils imaginent perdu entre les deux lignes du front : "l'homme-cochon". A l'arrière, Jules, le permissionnaire, s'éloigne vers la vie normale, mais les voix des compagnons d'armes le poursuivent avec acharnement. Elles s'élèvent comme un chant, comme un mémorial de douleur et de tragique solidarité, prenant en charge collectivement une narration incantatoire, qui nous plonge, nous aussi, dans l'immédiate instantanéité des combats, avec une densité sonore et une véracité saisissantes.

02/2001

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