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Policiers

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Cameron McCabe travaille au montage d'un film à Londres, lorsque son producteur lui demande de couper toutes les scènes dans lesquelles intervient une jeune actrice, Estella Lamare. Elle joue pourtant un rôle de premier plan. McCabe a du mal à comprendre cette décision aussi surprenante que soudaine. Le lendemain, le corps d'Estella est retrouvé dans la salle de montage. McCabe décide alors de mener seul son enquête. Il nous raconte ses pérégrinations dans le monde du cinéma, l'incompétence de la police et compte les suspects, nombreux autour de lui. Tout à coup, son récit s'arrête. Et l'affaire prend une tournure tout à fait inattendue.

01/2018

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Romans noirs

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2019. Millicent Spark, 72 ans, était spécialiste des maquillages et des effets spéciaux dans les films d'horreur de série B. Elle vient de sortir de prison après avoir purgé une peine de 24 ans pour le meurtre présumé de son amant lorsqu'elle rencontre le jeune Jerry, 18 ans, étudiant en cinéma, fan de ces mêmes films gore et de black metal, par ailleurs délinquant à la petite semaine. Au moment du meurtre, Millicent n'a su convaincre personne de son innocence mais la découverte d'une photographie et sa rencontre avec Jerry vont éveiller en elle un irrépressible désir de rétablir la vérité. Qui était son amant ? Et pourquoi veut-on l'assassiner, elle ? Les deux improbables héros s'apprivoisent, se révèlent peu à peu et s'embarquent alors dans une sorte de road-movie à travers l'Europe, sur les traces de personnages louches avec lesquels Millicent frayait à l'époque du meurtre, alors qu'elle travaillait sur le tournage de Mancipium, film gore italien mythique qui ne verra jamais le jour, frappé d'une malédiction : producteur à la Harvey Weinstein, artistes maudits, starlettes, financiers douteux, magnats de la presse... Leurs questions ne vont pas tarder à importuner des gens haut placés, au péril de leur vie.

03/2022

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Poésie

Coupes sombres coupes claires

Changer en muances les nuances le troc lettre contre lettre sous le choc aimanter les contraires les coupes sombres en sous-bois contiennent le désastreCoupes sombres coupes claires, s'agirait-il de l'analyse fine des plans intimes de la matière jouant sur la vitesse et la précision de l'observation ? Ce n'est pas exactement cela que recherche Christian Cavaillé, mais le moment précis où l'ivresse des lettres les engage dans le rythme et la réversibilité du sens. Une mise en relief et en danger de la parole qui tantôt se déploie et lape la lumière et tantôt se replie dans les encoignures qui génèrent le souffle et de là les accords. Il y a dans cette écriture le désir de rompre le phrasé et regagner une sorte d'impulsion et d'intelligence du récit poétique. Faire sourdre un chant polyphonique qui a traversé les rugosités de l'esprit et ses éclats. Il faut être absolument moderne lançait Rimbaud comme une provocation à l'engourdissement. Christian Cavaillé rebondit sur cette quête qui n'a rien à voir avec les artifices de la modernité mercantile mais avec la vibration des mots qui tentent de se libérer de leur lanière. Michel Cassir

03/2023

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Littérature française

Couper cabèche

Quand je débarquai à l'aéroport international Mohamadou do Santo de Massomba, je ne doutais pas du succès de ma mission. N'en déplaise aux services spéciaux de Mozart, je ne ferais qu'une bouchée du Likembé, ce petit pays pétrolier rongé par la corruption, le népotisme et les conflits ethniques. J'allais réveiller tout un peuple endormi par les mensonges de ses dirigeants et livré pieds et poings liés à la convoitise des multinationales. J'avais un atout maître dans la manche : l'amitié de Macias Lebango, le grand écrivain likembais, unanimement respecté pour son talent et sa probité. Grâce à nous, on allait voir ce qu'on allait voir, des têtes allaient tomber. Des têtes sont tombées, en effet, mais à l'heure où je vous parle, je ne suis pas sûr que la mienne soit encore bien solidement attachée à mes épaules. Il me semble qu'elle flotte, ma tête, entre cauchemar et réalité, dans la touffeur d'une ville dévastée par d'improbables milices aux noms de piranhas et de gremlins et bercée chaque nuit par le chant des grenouilles jaunes. D'ailleurs, " likembé " n'est pas un nom de pays, mais celui d'un instrument de musique, au demeurant peu adapté à l'interprétation de Mozart.

04/1999

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Littérature étrangère

Coupes sombres

Lorsque son vieil ami Kevin, producteur de cinéma, l’appelle pour lui proposer d’assurer à Rome le montage d’un film mystérieux, Tracy accepte. Pour l’argent. Pour sortir de lui-même. Pour oublier son chien qu’il a dû faire piquer. Et surtout parce qu’il n’a jamais su résister à la fascination que Kevin exerce sur lui. En acceptant de renouer avec l’ami dangereux auquel le lie un lourd et obscur passé commun, Tracy, le monteur d’images, devient à son insu, entre Rome, Bruxelles et Londres, l’un des figurants d’un trafic de drogue international. Mensonges de l’amitié, perversion des amours, trahison des images, impossible vérité : Madison Smartt Bell met ici le thriller au service d’une exploration des territoires du mal en révélant les fractures de l’être où s’abolit toute illusion d’innocence.

11/1993

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Théâtre

Coupes sombres

Un auteur et une metteur en scène se disputent autour d'une réplique que l'un veut garder et que l'autre veut couper. La pièce en question pourrait durer plus de cinq heures, mais il faut amputer. En régie, un technicien témoin de la guerre, dérisoire et vitale, se décourage. En fond de scène, un bûcheron cite La Fontaine et Ronsard, il donne des leçons de coupes, explique la différence entre les "sombres" et les "claires". L'auteur se transforme en homard eczémateux et la metteur en scène se laisse prendre par l'émotion. A travers les coupes sombres, à faire ou à éviter, les questions se posent de la place de l'autre et du respect du prochain. La pièce est créée au Théâtre du Rond-Point à partir du 13 mars 2018 dans une mise en scène d'Anne Kessler avec Serge Bagdassarian, Anne Kessler et Pierre Hancisse.

04/2018

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