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Claudine Sagaert

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Sexualité

La Nymphoplastie. Une Chirurgie de l´intime

Les chirurgies de l'intime sont légions. Du lifting du clitoris à la nymphoplastie en passant par la vaginoplastie la chirurgie sexuelle "s'attaque désormais au plus secret" de l'anatomie des femmes. Il s'agit de "remodeler le mont de Vénus, redessiner les nymphes" , resserrer les muscles du vagin ou de "se refaire une virginité toute neuve" . Dès les années 1990, les chirurgiens américains, Gary Atler et David Matlock, pratiquent ce type d'intervention. Plus de 30 ans après, bien que la presse publie des articles sur la question, que les cliniques sur internet en vantent les atouts, que des chercheurs s'y intéressent, la nymphoplastie reste un sujet tabou et peu abordé.

11/2022

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Sociologie

Histoire de la laideur féminine

«Toute femme devrait être accablée de honte à la pensée qu’elle est femme.» (Clément d’Alexandrie). Déjà chez Aristote, et bien avant les Pères de l’Eglise, la femme est matière sans qualité aucune, la qualité restant à l’évidence le propre de l’homme. Tel est le paradoxe du «beau sexe» : source du péché, sa plaisante apparence ne peut que dissimuler un être répugnant. Plus tard, sa beauté enfin reconnue, la femme se voit sommée de s’épanouir dans le mariage et dans la maternité. Haro donc sur les célibataires, les bas-bleus, les féministes, les inverties et autres déviantes de la société, qui ne sont que disgrâce et souvent même monstruosité ! De nos jours, enfin, disposant d’un vaste attirail cosmétique, la voici inexorablement soumise à la tyrannie de la séduction permanente. Inexcusable, insupportable, véritable aberration sociale, la laideur féminine révèle crûment négligence, manque de volonté, pire, secrète pathologie. S’appuyant tout à la fois sur l’histoire, l’anthropologie, la littérature et la peinture, Claudine Sagaert, par cette contribution essentielle à l’histoire des genres, nous permet de mieux comprendre dans quel carcan le corps de la femme a été enfermé durant des siècles, carcan dont elle doit, aujourd’hui comme hier, toujours se libérer…

03/2015

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Littérature française

Les «Claudine». Claudine à l'école ; Claudine à Paris ; Claudine en ménage ; Claudine s'en va

Les voilà de nouveau, après trois quarts de siècle, ces Claudine qui "font l'enfant et la follette" — le mot est de Colette elle-même, qui ajoute : "La jeunesse, certes, y éclate. "La jeunesse, oui, et l'éclat : ainsi apparut Claudine, un jour de l'année 1900, dans son sarrau noir d'écolière, campée sur le seuil de la classe des grandes... Dès sa parution, Claudine à l'école est un succès, qui tourne au triomphe après la publication, l'année suivante, de Claudine à Paris, puis coup sur coup de Claudine en ménage et Claudine s'en va. On mesure mal aujourd'hui l'engouement que suscitèrent les Claudine durant ces premières années du siècle. Le théâtre s'en empare, l'opérette, le music-hall, la mode aussi... Engouement, parfum de scandale, battage publicitaire... Mais quelque chose de plus : un ton nouveau — le naturel. Et la naissance, comme le prédisait Catulle Mendès à Colette, d'un type littéraire. Et puis, cette Claudine, "personnage acide qui, vêtu en enfant, a licence de se comporter en femme ", ne faut-il pas la voir comme le premier état, la gracieuse et fraiche ébauche de tant d'héroïnes qui vont lui faire escorte dans l'oeuvre de Colette ? Julie de Carneilhan par exemple, cette Claudine parvenue à la maturité... Blessée, bafouée, elle n'abdique ni son intrépidité ni sa sincère imprudence. Comme Claudine, Julie s'en va... Comme s'éloignent Renée Néré, la Vagabonde, et la narratrice de La Naissance du jour... Quant à la valeur autobiographique des Claudine, elle n'est peut-être pas aussi mince qu'ont pu le penser certains. Des recoupements avec des ouvrages tels que Mes apprentissages, Le Pur et l'impur, feraient à coup sûr surgir similitudes, contradictions et.. prémonitions. Cependant voici Claudine : elle se suffit à elle seule. Colette l'a voulu ainsi : "Un jeune lecteur, une jeune lectrice n'ont pas besoin d'en savoir davantage sur un écrivain caché, casanier et sage, derrière son roman voluptueux. " GB.

06/2019

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Littérature française

Imagine Claudine

Le temps passe, le village change. La ville se rapproche et Claudine devient riche. En ville, être riche c'est aller au massage, se faire livrer à manger par de jeunes cyclistes, c'est faire les vitrines chaque jour, c'est porter une robe différente par semaine, c'est aller au restaurant quand ça vous chante, c'est arrêter un taxi d'un geste de la main. Au village, être riche consiste à cacher son argent et à s'arranger pour donner des imaginations, des envies et des jalousies sournoises à tout le monde. Entre les deux, Claudine hésite.

04/2024

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Littérature française (poches)

Claudine à Paris

Son original de père ayant brusquement décidé de s'installer à Paris, Claudine se retrouve rue Jacob dans un appartement sombre, entre deux cours. Refusant obstinément de sortir, errant d'une chambre à l'autre, la gorge rétrécie et l'appétit absent, elle finit par tomber gravement malade. Deux mois passent. Claudine, sans oublier Montigny et sa chère école, reprend petit à petit goût à la vie. Elle fait la connaissance de son ravissant neveu Marcel qui a dix-sept ans comme elle et ses confidences sont bien excitantes ! On la demande en mariage... et enfin elle découvre l'amour. Rempli de vie et de sensualité, Claudine à Paris est la suite de Claudine à l'école, premier roman de Colette.

09/2004

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Littérature française

Claudine en ménage

L'édition critique du troisième roman de Colette, établie par Paul d'Hollander, la première de l'une des œuvres de la femme de lettres la plus célébrée du précédent demi-siècle, parce que, les manuscrits des deux romans antérieurs — Claudine à l'école (1900) et Claudine à Paris (1901) — ayant disparu, celui de Claudine en ménage (1902) reste le plus proche des débuts de la romancière, celui qui peut fournir les indications les plus précises sur la formation de ce talent vanté à l'égal de peu d'autres. Mais ce talent ne s'épanouit ni spontanément ni librement : tout permet de penser que Colette n'aurait jamais écrit une ligne si, peu d'années après son mariage avec un journaliste alors célèbre, il ne l'avait instamment priée de consigner ses souvenirs d'écolière, puis ses expériences parisiennes et amoureuses. Si Willy (Henry Gauthier-Villars) signait, il participait à la rédaction. Cette collaboration a suscité maintes controverses et accrédité des attributions parfois contradictoires. Seule l'édition critique peut rendre à chacun des partenaires ce qui lui est dû et, plus que toute autre, celle de Claudine en ménage dont le manuscrit contient à la fois les ébauches les plus probantes et les traces de collaboration les plus nombreuses.

01/1975

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