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Cette maladresse maternelle me fait t'aimer davantage. Lettres à sa mère

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Dossier

Le Livre à Metz 2024 : bas les masques pour cette 37e édition

La 37e édition du festival Le Livre à Metz - Littérature et Journalisme, prévue du 19 au 21 avril 2024, accueille 180 participants parmi lesquels figurent des écrivains, des journalistes, des créateurs de bandes dessinées et des illustrateurs pour enfants. Le tout autour d'une thématique, Gare aux apparences...

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Dossier

Philippe Curval, le touche-à-tout des lettres française

Philippe Curval est né à l'aube des années trente, a côtoyé les surréalistes, a fréquenté de nombreux écrivains comme Boris Vian ou Topor, participé à la naissance de la première librairie de science- fiction, de la première revue de science-fiction. 

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Dossier

La Société des Gens De Lettres (SGDL)

La Société des Gens De Lettres (SGDL)

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Dossier

Les Chroniques du Confiné : au temps du coronavirus, le critique se fait booktuber

Chaque jour apporte son lot de mauvaises nouvelles — ou de nouvelles qu’on préférerait meilleures. Il fallait bien que la rédaction tente d’offrir un moment de pause humoristique. Et même si les librairies sont fermées, et qu’il devient plus difficile de se procurer des nouveautés, pas question de renoncer à la découverte de livres, d’auteurs, de coups de coeur.

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Dossier

Andreï Kourkov, symbole de la résistance ukrainienne par les Lettres

En l'espace de quelques heures, toute l'Europe a pris peur : la Russie décidait d'envahir l'Ukraine, contre toute attente – ou plutôt, confirmant les craintes d'un grand nombre d'observateurs. Et depuis le 24 février, l'écrivain d'origine ukrainienne, Andreï Kourkov prend la parole dans les médias. Loin d'un couple “Je vous l'avais bien dit”, l'auteur apporte explications et commentaires, comme il l'a fait à travers ses livres.

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Dossier

Le Livre à Metz 2022 : journalisme et littérature, “même pas peur” ?

Et si on osait le dire : Même pas peur ! Après cette période de crise sanitaire qui a favorisé angoisses et repli sur soi, une envie anime tout organisateur de manifestation : revenir à des temps joyeux, audacieux, s’ouvrir à nouveau aux autres, au monde. Rendez-vous du 8 au 10 avril 2022 !

Extraits

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Correspondance

Cette maladresse maternelle me fait t'aimer davantage. Lettres à sa mère

"Je n'ai que ma plume et ma mère", écrit Baudelaire à son tuteur le 5 mars 1852. Les rapports de Baudelaire à sa condition d'homme et de créateur sont intimement liés à ceux, étranges et passionnels, qu'il entretint toute sa vie avec sa mère. Cette relation étroite est également due à sa condition financière : accumulant les dettes, toujours en manque d'argent, il se plaint en permanence. D'ailleurs, il ne parle pour ainsi dire jamais de poésie ou d'art avec elle. Tout y est affaire de choses matérielles et de soucis intimes. Ce qui donne à ces lettres attachantes la vision d'un Baudelaire se débattant en permanence avec les problèmes du quotidien. Mais par-delà cette apparente trivialité, les formules assassines sur l'humanité et l'ennui qui toujours assaille le poète, se révèle aussi une relation terrible et ambigüe. On y découvre un génie littéraire implorer sa mère de le reconnaître et de l'aimer, alors qu'elle est persuadée qu'il gâche son existence. Cette obsession de gagner l'amour de cette femme adorée et haïe à la fois rend cette correspondance troublante particulièrement singulière.

03/2021

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Littérature française (poches)

Lettres à sa mère

Tout écrivain, tout grand homme a entretenu des relations épistolaires avec sa famille. Mais Saint-Exupéry était lié à la sienne par une affection et une tendresse de chaque instant. La maison et le parc de l'enfance, des êtres chers trop tôt disparus, une mère hors du commun, ouverte à toutes les formes de l'art et de l'esprit, ayant surmonté tout au long de sa vie tant de chagrin et de difficultés, tout a contribué à rapprocher Antoine de Saint-Exupéry de celle à qui il écrivait en 1930 : " Dites-vous bien que de toutes les tendresses la vôtre est la plus précieuse et que l'on revient dans vos bras aux minutes lourdes. Et que l'on a besoin de vous, comme un petit enfant, souvent. Et que vous êtes un grand réservoir de paix et que votre image rassure... ".

09/2006

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Littérature française

J'aurais dû l'aimer davantage

Diana, au crépuscule de sa vie, exprime une dernière volonté à son fils Jean ; enquêter sur l'enfance de son défunt mari, Joseph, abandonné à la naissance dans les années 1930, en pays nantais. Diana, seule, connaît le secret qui se cache derrière cette mission. Jean hésite, mais doit continuer à jouer le rôle du bon fils. Il se lance avec appréhension dans une enquête à l'issue improbable, découvrant la destinée d'un pupille de l'état, ses souffrances, l'injustice réservée à ces enfants, une existence toute entière à rechercher l'illusoire mirage de l'amour maternel. Pour adoucir sa solitude, sa tristesse et ses pleurs, Joseph développe une passion pour les mots. A petit pas, Jean découvre un père qui ne lui avait pas tout dit. De remords en regrets, il ne peut qu'éprouver la culpabilité de ne pas avoir su l'aimer davantage.

02/2019

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Critique littéraire

Cette lettre au Père Noël

Cette lettre, sept fois recommencée témoigne de la persistance du beau et du sacré dans la magie de Noël. Dans la mémoire collective, cette nuit de Noël demeure celle de la naissance d'un tout petit enfant dans la fragilité et le mystère de la vie, cet enfant que nous avons été, que nous sommes restés, et qu'inévitablement, nous redeviendrons dans le crépuscule de nos jours.

12/2019

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Romans de terroir

Une mère à aimer

Abandonnée à l'âge de 3 ans, Jeanne vit depuis lors à l'orphelinat Notre-Dame, à Rodez. Jeune fille jolie et intelligente qui rêve d'être brodeuse, elle est placée en 1905 en apprentissage à Millau, se fait renvoyer par sa patronne et se retrouve bonne sur un domaine isolé du Lévezou. La voilà fille-mère à 18 ans. Va-t-elle reproduire son propre destin et devoir abandonner elle-aussi sa fille ?

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Midi-Pyrénées

Une mère à aimer

Abandonnée à l'âge de trois ans, Jeanne a passé toute son enfance et sa jeunesse à l'orphelinat Notre-Dame, à Rodez. Elle ne sait rien de ses origines. Cette jeune fille aurait été assez intelligente pour poursuivre ses études, mais elle ne rêve que d'une chose, devenir couturière ou brodeuse. Découvrir enfin la vraie vie, elle qui n'a connu qu'une atmosphère confinée, auprès des religieuses de l'orphelinat. En 1905, à l'âge de dix-sept ans, elle est acceptée comme apprentie aux Nouveautés Parisiennes, à Millau, le magasin le plus chic de la ville. Elle y apprend son métier, pour lequel elle est plutôt douée, mais renvoyée injustement par sa patronne, on la place cette fois-ci comme bonne sur un domaine agricole du Lévézou, un plateau isolé et froid de l'Aveyron... Jeanne va connaître bien des péripéties avant de trouver enfin chaleur et soutien auprès d'un jeune couple de notables d'Espalion, chez qui elle travaille comme nourrice. Car entre-temps, elle a donné naissance à une petite Angèle. Devenue mère à son tour, son bonheur serait complet si elle retrouvait la trace de celle qui lui a donné le jour et parvenait enfin à éclaircir le secret de ses origines... Une mère à aimer est un très beau roman sur le destin des femmes au début du xxe siècle. On y découvre la difficile condition des filles-mères, celle des orphelines soumises à leurs employeurs, souvent pour le pire. De Rodez à Espalion, en passant par Millau et le Lévézou, on arpente des paysages aveyronnais contrastés et des milieux très variés, que l'auteur décrit avec toujours autant de bonheur, pour le plaisir de ses lecteurs.

05/2023

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