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Aveux

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Littérature française

Aveux

Zoé Petrov, fille unique, est une adolescente joviale, suédoise et russe... du moins, c'est ce qu'elle croit. A ses 11 ans, elle perçoit la curieuse attitude de sa mère, Liv Malm. Tout au long de son parcours, elle croise la route d'un homme mystérieux qui l'aborde plusieurs fois, ces approches instantanées attisent la curiosité de Zoé. Alors que son père, Vadim Pétrov, disparaît soudainement en lui laissant une simple lettre d'adieu, elle découvre une mère de plus en plus froide. Des secrets enfouis vont émerger mais est-elle prête pour ces révélations ?

11/2022

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Poésie

Aveux tactiles

Elles sont aujourd'hui les seules capables de lire ce que les astres disent ou ne disent pas En ces temps de repli sur l'étroitesse du souffle, protégés de l'atteinte externe, ces " aveux tactiles " ouvrent la voie à un nouveau visage de la subversion, avec l'humour que cela implique. Abdelouahhab Errami, en se régalant d'étranges mixtures de rêves, de perceptions et de mystique, déroge sans le savoir, ces textes ayant été écrits avant, à toute norme célébrée par nos pouvoirs. Distance, froide résignation et religion du pied de la lettre. Le poète lui s'amuse de tout et élargit ses désirs par l'effet levier de l'imaginaire. Mourir, ressusciter, aimer, être aimé, même sans trop y croire. Il évoque, avec la même tendresse ou ironie, fleurs, prophètes ou amoureuses.

01/2021

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Thrillers

Les aveux

" Vous êtes ici pour avouer le meurtre de votre femme. - C'est ça. - Il va falloir me convaincre. " Après Une Confession le nouveau face à face de John Wainwright Années 1980. Notable respecté d'une petite ville d'Angleterre où il exerce comme pharmacien, Herbert Grantley se présente un beau jour au commissariat. Il a une déclaration à faire. A l'inspecteur Lyle qui le reçoit, il avoue avoir tué sa femme, Norah, morte un an plus tôt de causes réputées naturelles. Comme s'y est-il pris ? En l'empoisonnant au cyanure. Une version de l'histoire qui semble parfaite. Sauf que l'inspecteur Lyle n'est pas du tout convaincu. Mais si Grantley n'est pas coupable, pourquoi vient-il avouer ainsi ? C'est le début d'un long face-à-face entre les deux hommes. Un inspecteur et un suspect dans un bureau : John Wainwright reprend ici le dispositif qu'il avait adopté dans son roman dont Claude Miller a tiré Garde à vue, en l'inversant. C'est cette fois au suspect de prouver à l'inspecteur dubitatif qu'il est coupable. PRESSE : " Un roman simenonien à souhait... Wainwright a énormément écrit. " Le Figaro Littéraire " Une psychologie unique... ce roman signé par un maître anglais... " La Marseillaise " Un roman noir d'une très grande intelligence... vous en sortirez emballés... . L'immence Simenon estimait que c'est un roman inoubliable. Il avait bien raison. " Radio Classique

11/2021

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Philosophie

Aveux et anathèmes

Dans tout livre où le Fragment est roi, les vérités et les lubies se côtoient d'un bout à l'autre. Comment les dissocier, comment savoir ce qui est conviction et ce qui est caprice ? Tel propos, fruit de l'instant, précède ou suit tel autre qui, compagnon de toute une vie, s'élève à la dignité d'une obsession. C'est au lecteur de faire le départ, puisque aussi bien, dans plus d'un cas, l'auteur lui-même hésite à se prononcer. Aveux et Anathèmes étant une suite de perplexités, on y trouvera des interrogations mais aucune réponse. Du reste, quelle réponse ? S'il y en avait une, on la connaîtrait, au grand dam du fervent de la stupeur.

01/1987

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Littérature française

Aveux non avenus

Avancer vers la découverte de soi, énoncer les dispositions secrètes du moi, mettre à nu les mécanismes sentimentaux, expérimenter les ambiguïtés de la différence sexuelle, se débattre avec la tentation de l’absolu, voilà l’entreprise dans laquelle se lance Claude Cahun (1894-1954), dès 1919. Pour se mettre à l’épreuve et donner forme à son « aventure invisible », la nièce du romancier Marcel Schwob braque sur elle les deux instruments qui capteront les images et permettront leur savant montage : l’écriture et l’appareil photographique.D’emblée, elle sait que l’introspection sous le régime de la confession est une stérile illusion, que la prise directe est impuissante à restituer la singularité de l'expérience. C’est au jeu des incarnations et des métamorphoses que le moi se dévoile et s’invente sans fin : « Sous ce masque, un autre masque. Je n’en finirai pas de soulever tous ces visages », écrit-elle.Dans Aveux non avenus, livre achevé en 1928, l’artiste se met elle-même en scène, distribue ses propres rôles, provocants ou ironiques, idéalisés ou détestés, personnages mythiques, masculins et féminins, neutres ou inclassables. Cette œuvre totale mêle aux photomontages, réalisés en collaboration avec sa compagne Suzanne Malherbe (dite Moore), des fragments de journaux intimes et de lettres, des poèmes, de la prose polémique, des considérations spéculatives.Si Claude Cahun fascine tant depuis que son œuvre a été redécouverte par François Leperlier au milieu des années 1980, c’est que l’on voit en elle un précurseur. Individualiste et rebelle, elle explore avec une audace inouïe et sans concession l’insaisissable identité et subvertit tous les genres.Aveux non avenus, son livre majeur et méconnu, dit l’étrangeté radicale et l'irrépressible liberté d’être.

04/2011

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Littérature française

Passage des aveux

Bertrand a cinquante ans, l'âge d'y voir clair en soi et, par-dessus tout, de régler ses comptes avec son ami Alex Renard, brillant journaliste dont il a découvert finalement qu'il est depuis toujours la victime : malgré sa lucidité, Bertrand est resté soumis en se laissant investir, fasciner, dégrader peu à peu tant sur le plan professionnel que sentimental. L'ascension d'Alex a eu pour contrepoint la destruction de Bertrand. Et maintenant, réfugié dans un petit port de Grèce, Bertrand écrit à son mauvais ami une longue lettre, pour régler ses comptes. A Kaboul, lors de l'invasion soviétique, Bertrand a follement aimé Mathilde, l'épouse d'un diplomate. Ce qu'il résume dans une sorte d'incantation : "J'ai sauté la baronne dans Kaboul occupée." Mais il se demande si Alex, lui, a ou n'a pas couché avec elle. Son père était un héros abattu peu avant la Libération par la Gestapo, mais Alex démolit sa légende en l'accusant d'avoir travaillé pour les Allemands. Il aimait sa mère, Daisy l'Américaine, dévotieusement attachée au souvenir de son mari, mais elle mourra de chagrin en lisant ce témoignage pervers. Cette double histoire d'une fascination par un être malfaisant et d'un amour plus rêvé que vécu témoigne d'une nouvelle forme de romantisme et de romanesque.

12/1987

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