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Arnaud Guigue

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Truffaut & Godard

Leurs deux noms résonnent comme ceux des figures tutélaires du cinéma français d'auteur. Ces pères fondateurs de la Nouvelle Vague, critiques de la "qualité française", ressemblent-ils à leur image : l'un, créateur de formes cinématographiques, bénéficiant d'une aura extraordinaire auprès des milieux intellectuels, non commercial, et l'autre, aimé, populaire, sachant raconter des histoires et mettre en scène sans avoir révolutionné le cinéma ? C'est à une brillante analyse que nous invite cet ouvrage à travers toute la cinématographie des deux célèbres réalisateurs. Jouant adroitement de la chronologie de leurs films respectifs, Arnaud Guigue met en évidence leur différence dès le départ. Qu'ont de commun ces films noirs détournés, Tirez sur le pianiste et A bout de souffle ; ou ces films de science-fiction Fahrenheit 451 et Alphaville ? L'analyse des scénarios, de la direction d'acteurs, de thèmes spécifiques tel celui de l'éducation, et surtout des images approfondit cette confrontation de deux pratiques et de deux visions du monde tout en ajoutant au plaisir de la lecture du cinéphile et de l'amateur. A contre-courant des images toutes faites, un essai revigorant qui est aussi une traversée et une relecture non conformiste de l'histoire du cinéma français.

09/2014

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Truffaut & Godard

Truffaut & Godard La querelle des images Ces pères fondateurs de la Nouvelle Vague, figures tutélaires du cinéma français d'auteur, ressemblent-ils à leur image : l'un, créateur de formes cinématographiques, bénéficiant d'une aura extraordinaire auprès des milieux intellectuels, non commercial, et l'autre, aimé, populaire, sachant raconter des histoires et mettre en scène sans pourtant avoir révolutionné le cinéma ? C'est à l'analyse de toute la cinématographie des deux célèbres réalisateurs que nous invite cet ouvrage. Jouant adroitement de la chronologie de leurs films respectifs, Arnaud Guigue met en évidence leur différence dès le départ. Qu'ont de commun ces films noirs détournés, Tirez sur le pianiste et A bout de souffle ; ou ces films de science-fiction Fahrenheit 451 et Alphaville ? L'analyse des scénarios, de la direction d'acteurs, de thèmes spécifiques tel celui de l'éducation, et surtout des images approfondit cette confrontation de deux pratiques et de deux visions du monde. A contre-courant des images toutes faites, un essai revigorant qui est aussi une traversée et une relecture non conformiste de l'histoire du cinéma français.

05/2023

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L'ordinaire au cinéma

Escamoté, travesti, réduit à un simple fond ou fidèlement restitué, l'ordinaire n'est jamais absent du cinéma. Gestes et lieux les plus communs servent de support aux actions des personnages. Qu'il s'agisse d'une scène de repas, d'une dispute familiale, de la montée d'un escalier, ils s'intègrent dans le développement d'une action, ils contribuent à la connaissance des personnages... Téléphoner, conduire, travailler au bureau : Arnaud Guigue a choisi des moments quotidiens clés, en montrant comment les réalisateurs les plus divers jusqu'à nos jours les ont saisis et en les déclinant chaque fois à l'aide d'exemples. Cette matière extrêmement riche, de la majestueuse descente en chantant de Marilyn Monroe dans Les hommes préfèrent les blondes, à l'étonnante découverte de métiers improbables comme celui du croque-mort de Departures pratiquant les rites anciens japonais, est ici travaillée selon une approche particulière. La démarche ne se réduit pas à un simple inventaire, les scènes des moments choisis se voient caractérisées et articulées selon une typologie prenant en compte le mode de plan, le dialogue, leur rapport. Une entrée dans l'histoire du cinéma qui vous donnera envie de revoir des films.

01/2021

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Littérature française

Je suis celle que vous cherchez

Tokyo, 1936. La ville est en émoi : le corps nu d'un homme vient d'être retrouvé dans une chambre d'hôtel. Son sexe a été tranché. Sur sa cuisse, une déclaration d'amour écrite en lettres de sang : "Sada, Kichi, ensemble pour toujours". Très vite, une femme est arrêtée et avoue son crime. Elle s'appelle Abe Sada. Son procès déchaîne les passions. Dans un Japon impérial aux moeurs contrôlées, sa légende ne fait que commencer.

08/2024

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Correspondance avec Clotilde de Vaux

Eminent philosophe du XIXe siècle et fondateur du positivisme, Auguste Comte (1798-1857) aima passionnément Clotilde de Vaux (1815-1846) pendant une "année sans pareille" , entre avril 1845 et avril 1846. Séparé de sa femme, il a quarante-sept ans, Clotilde de Vaux en a trente et un. Flattée de son affection, de l'encouragement qu'il lui dispense dans ses projets d'écriture, elle l'admire mais ne lui offre que son amitié. De son côté, le philosophe l'idolâtre, et se résout à cet amour platonique. Lorsque Clotilde de Vaux meurt le 5 avril 1846 de la tuberculose, elle devient l'objet d'un culte quotidien par Auguste Comte, culte entretenu et développé jusqu'à la fin de sa vie en 1857. Entre Auguste Comte et Clotilde de Vaux, ce sont donc cent quatre-vingt-trois lettres échangées. Cette correspondance apporte un regard neuf et inattendu sur un penseur souvent jugé austère. Elle prépare et contient aussi en germe la seconde philosophie de Comte sur la religion de l'Humanité. Elle constitue enfin un document littéraire remarquable par le contraste qu'elle offre entre les déclarations enflammées d'Auguste Comte, rédigées dans le ton de ses ouvrages philosophiques, et les réponses de Clotilde de Vaux écrites dans une belle langue classique.

05/2021

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