Pour George RR Martin, elle imagine « de la fantasy, telle qu’elle devrait toujours être écrite ». Écrivain majeur, Robin Hobb a démontré la richesse de son univers, de ses personnages et, surtout, a révolutionné un genre ronronnant depuis Tolkien. Suffisait-il de se débarrasser des elfes et autres trolls ?
Avec sa saga L’Assassin royal (trad. Arnaud Mousnier-Lompré) Robin Hobb a su toucher des lecteurs d’horizons divers comme le prouvent ses quatre millions de fidèles francophones. Son héros Fitz Chevalerie est à la fantasy ce que Harry Potter est au fantastique. Car, dans un monde où la magie est meurtrière, l’amitié peut vous sauver.
« À l’exception de certaines fables, comme celles d’Ésope, je n’ai jamais apprécié les histoires dont le but est de sermonner. Les livres pédants ou teintés de moralité politique me ruinent complètement le plaisir de la lecture », explique la romancière.
« Je ne cherche pas dans un roman que l’on m’indique comment penser. Lorsque je désire apprendre quelque chose, je me tourne vers les documents pour trouver des faits concrets et me forger ainsi une opinion sur le sujet. »
Et les sagas qu’elle aura ainsi imaginées ne manquent pas. Les éditions J’ai lu, qui proposent ces romans en poche, ont décidé d’une réédition complète de la saga L’Assasin royal — pas moins de 13 tomes — à redécouvrir dans ce dossier, en avant-première.
L'occasion de découvrir, redécouvrir ou, plus encore, faire découvrir, l’autrice que des millions de lecteurs aiment depuis vingt ans.
(Crédits photo Robin Hobb © Astrid Di Crollalanza / Flammarion)
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