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Angelo Rinaldi

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Dossier

Livres, actualités : tout sur Toni Morrison

Née Chloe Anthony Wofford le 18 février 1931 à Lorain, dans l'Ohio, au sein d'une famille d'ouvriers, Toni Morrison étudie la littérature américaine, pour laquelle elle se passionne très tôt : elle soutient un mémoire sur le thème du suicide chez William Faulkner et Virginia Woolf à la fin de ses études, avant d'embrasser une carrière dans l'édition.

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Dossier

Extraits : découvrir les romans de la rentrée d’hiver 2022

Le froid arrive et avec lui les petits plaisirs d'hiver : chocolat chaud, chausettes duveteuses et feu de cheminée (parfois juste métaphorique). Et quoi de mieux pour l'accompagner qu'un livre (bon ou mauvais, chacun décidera) ? Ils arrivent par centaines pour honorer le début de cette nouvelle année. La rentrée littéraire 2022 arrive à toute berzingue ! 

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Dossier

Profession : agent littéraire, un métier mal connu

L’agent littéraire est une personne chargée de représenter les écrivains et leurs œuvres écrites auprès des éditeurs, des producteurs de théâtre et des producteurs audiovisuels. Il accompagne ses auteurs sur un plan juridique, financier et artistique, et veille sur leurs intérêts.  

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Dossier

Roman, BD, documentaires, albums : la littérature jeunesse parcourt l'Europe

Qu’est-ce qui témoigne de la vitalité d’une littérature ? Dans ce cas-ci, celle de la littérature jeunesse au Québec. Est-ce le nombre d’éditeurs ? On en compte plus d’une soixantaine. Le nombre d’ouvrages publiés par année ? Il y en a plus de 400. Les prix dédiés à ses créateurs ? On en compte une bonne douzaine. Ou alors l’attrait de ses créateurs pour des éditeurs étrangers ?

Extraits

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Littérature française (poches)

La confession dans les collines

Le temps d'une Semaine Sainte, deux pèlerinages profanes replongent, sans ménagement, le narrateur dans son passé. A Paris, devant un terrain vague où se dressait un hôtel, près des Buttes-Chaumont, ce solitaire retrouve " les réveils dans l'alcôve du Lardennois, les fous rires de Maleterre, les chansons de Teddy, les gloussements d'Eliane de Lassonne, une chatte endormie, un prunus au soleil et la toison d'un sexe de femme comme un objet en peluche sous la main ". Le hasard veut qu'il rencontre Alice, autrefois femme de chambre du Lardennois, promue maquerelle et cireuse de chaussures dans une station de métro des beaux quartiers. Puis, il lit un roman inspiré de la vie des habitants de l'hôtel disparu, y compris la sienne. Le second pèlerinage, le plus dangereux, et sûrement coupable, le ramène dans son pays natal. Dans ses bagages, une mallette au contenu mystérieux. Ce mauvais garçon se rachètera là-bas, pourtant. Non comme il en avait eu un instant l'intention, en portant la croix du Christ à la procession du Vendredi Saint, mais en procurant une pécheresse à son ancien camarade de régiment, Restitude, qui garde les chèvres dans le maquis, au bout du monde. Le renouvellement du mystère de la Passion, l'entrelacs des destins, une peur sans visage, les syncopes et les surprises de la mémoire, par la vertu de l'écriture, jamais ne cesseront de surprendre.

11/1992

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Littérature française (poches)

LES DAMES DE FRANCE

Obsédé par le souvenir de Léna, la jeune sour de sa mère, avec qui il a été élevé dans la boutique des «Dames de France», et qui s'est suicidée, Antoine retrouve tout un passé. C'est celui d'une ville provinciale, en Corse, avec ses originaux dont le caractère a résisté au climat pourrissant des îles. On rencontrera ainsi les tenancières d'un vieux cinéma, une femme-ténor, une naine modiste, un notable et son amant clandestin, et la grand-mère qui est, à elle seule, toutes les mères...Le regard aigu, la précision de l'auteur n'enlèvent rien à la puissance émotionnelle, à la nostalgie de ce roman.

04/1980

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Littérature française (poches)

La Dernière fête de l'Empire

De retour dans son île, le narrateur retrouve pour la dernière fois le " Café de l'Empire " que sa mère vient de vendre. C'est alors que naît un flot de souvenirs, d'images. La journée qui est celle de la fermeture de " l'Empire " contient plusieurs destins. Le passé et le présent alternent, donnant à voir une humanité sans grandeur, mais non sans folie. Et surtout il y a la mère, dans sa vieillesse solitaire, de qui le fils prend congé sans soupçonner qu'avec ceux que l'on aime, le banal au revoir, c'est parfois un adieu.

09/1984

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Littérature française

Les jardins du consulat

"Pour ce dîner dont vous étiez la seule à savoir qu'il serait le dernier ; pour cette phrase de Jünger que vous m'aviez donnée en passant : "La mort est notre premier souvenir" ; pour le portrait de la dame à la collerette qui, au mur, regardait les invités depuis le temps des Valois, ici ou ailleurs ; pour la chatte Caroline dont vous avez attendu la fin avant de partir vous-même ; pour ceux qui vous précédèrent et ceux qui vous rejoindront ; pour le pays d'où je viens, où les plus belles maisons sont des tombeaux ; pour la manière française et pour le rire des femmes. ". .

03/1984

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Beaux arts

Tout ce que je sais de marie

Alors, j'ai raconté tout ce que je sais de Marie et des siens, tout ce qui est exact, et ne me concerne pas. Pour quelle raison m'aurait-elle menti ? Elle n'avait confiance qu'en deux catégories d'hommes : les alcooliques et les vieillards. Le premier état me demeure familier ; petit à petit, je glisse vers le second, que j'atteindrai si le premier l'autorise, à moins que ne se produise un coup d'accélérateur. En d'autres temps, j'eusse sans doute aimé Marie, quoi qu'il en soit de mes penchants, et là je ne parle plus de la boisson. Ce serait une autre histoire, qui fut d'ailleurs esquissée, et ne s'est pas accomplie...

11/2000

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Littérature française

Les souvenirs sont au comptoir

Les souvenirs sont au comptoir continuent l’autopsie d’une société qui n’a plus de hauteur que celle de ses étages, de ses liasses, de ses talons ou de ses prétentions, se repaissant de son propre spectacle quand, en contrechamp de ce théâtre, de ses poncifs et de ses trompe-l’œil, la remémoration d’une enfance humble autour d’un bistrot-lupanar de province jette les éclats d’une nostalgie relevée d’humour et de tendresse. Conti, qui fut cet enfant, est le célibataire vieillissant qui, entre les jardins du Palais Royal, l’entrée du théâtre, la terrasse d’un café, embrasse d’un ample maelström mémoriel un tourbillon de scènes trouvant son axe autour d’une cérémonie d’anniversaire donnée naguère dans un restaurant chic du quartier pour les quarante ans de son ami anglomane et homosexuel. Le fameux dîner est comme ces scènes d’opéra où, en prévision du baisser de rideau et du salut qui l’accompagne, l’auteur a fait se rassembler acteurs principaux, seconds rôles et figurants. La férocité rinaldienne s’en donne à cœur joie pour camper des types imaginaires aux traits, pour certains, assez reconnaissables, mais avec, en contrepoint, cousins parigots des figurants de province, le petit peuple des grooms, larbins, gigolos et filles du trottoir, pigistes à la manque et poètes sans œuvre. Rinaldi reste un des rares à entretenir la flamme d’une littérature digne de ce nom, celle qui ne paraphrase pas le monde, mais le pare, avec des mots frottés comme des silex, d’un éclat qu’il n’avait pas ou que notre œil casanier ne voyait plus. Angelo Rinaldi, romancier et critique littéraire, est membre de l’Académie française. Il a reçu pour l’ensemble de son œuvre le prix Prince-Pierre-de-Monaco. Son dernier ouvrage, Résidence des étoiles, a été publié aux éditions Fayard en 2008.

02/2012

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