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Alexandre Clérisse, Thierry Smolderen

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BD tout public

L'été Diabolik

Un agent secret sorti de nulle part, un accident dramatique, une fille troublante et la disparition de son père, le tout en deux jours… Pour Antoine, 15 ans, l'été 1967 sera celui de toutes les découvertes. Après Souvenirs de l'empire de l'Atome, les auteurs proposent un nouveau cocktail détonant et jouissif : un scénario particulièrement haletant, entre espionnage et littérature, passé au mixeur graphique de Clérisse qui, cette fois, mélange les références des fumetti à David Hockney.

01/2016

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BD tout public

Souvenirs de l'empire de l'atome

Dans Souvenirs de l’empire de l’Atome, Paul raconte son histoire : en contact avec des représentants de l’empire, au 722e siècle de notre ère, il est, dans le présent, manipulé sous hypnose par un certain Zelbub, auquel il doit fournir des secrets scientifiques de cet empire ! Zelbub, un ancien publicitaire, travaille pour le Pentagone sur les armes du futur. Mais son vrai plan est de prendre le pouvoir sur la Terre grâce à l’hypnose et à une machine de son invention. Paul, scientifique de haut vol en lien avec le futur, est donc un des rouages essentiels du complot fomenté par Zelbub.

01/2013

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Littérature française

Thierry

"En écrivant ces deux textes et en les proposant dans un ordre de lecture aléatoire, j'ai cherché à illustrer ce qu'à mon sens le nom propre d'un autre comprend du nom commun du monde et inversement, ou encore, tenté de montrer que c'est sur un tel nom que s'épanouit en première instance et se referme en bout de course, sans pour autant qu'il le contienne cependant qu'il en esquisse chaque fois, dans son déploiement, une forme dynamique - selon laquelle il semblerait aller d'une origine à une fin -, ce que nous évoquons, consciemment ou non et à des degrés divers de clarté et de distinction, lorsque nous invoquons, en y prêtant plus ou moins d'attention, en paroles ou en pensée, le monde".

05/2006

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Romans de terroir

Clarisse

A l'automne 1918, François Bès regagne sa ferme du petit village du Vergnet, meurtri par quatre années de guerre insensée. Il n'a alors qu'une idée en tête : du bonheur pour sa famille et surtout pour sa fille, Clarisse. Il se révolte contre les projets que sa femme et ses beaux-parents ont préparés pour elle et lutte avec acharnement pour permettre à sa cadette de réaliser son rêve : devenir institutrice. Portée par l'amour de son métier et sa générosité, Clarisse combat à son tour pour défendre le progrès contre l'étroitesse d'esprit et les superstitions. Elle rencontre Philippe, un jeune ingénieur, il dirige la construction du barrage et des lignes qui introduisent l'électricité dans les campagnes isolées du centre de la France. Alors que le bonheur semble à sa portée, l'histoire se répète. Tandis que la politique lui enlève l'homme qu'elle aime, elle choisira le camp de l'honneur et d'un héroïsme tranquille.

10/2014

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Littérature française

Clarisse

"Je m'étais toujours promis d'écrire un livre sur Clarisse. Bien avant qu'elle ne meure. Un livre à sa mémoire. Sur sa mémoire aussi. Sa passion pour ma grand-mère. Ce qu'elle me racontait de son enfance, de ses souvenirs, de sa famille - jusqu'à son arrière grand-mère, épouse d'un armurier de la Grande Armée, qui avait survécu à la retraite de Russie. Je lui avais même fait part de ce projet. - Un livre sur moi ? Quelle idée ! Elle riait. Sa modestie ou, mieux, son humilité n'y trouvaient pas leur compte. Pourtant, ce que je lui disais ne lui déplaisait pas non plus. Du moment que cette idée restait une idée. La simple preuve de l'affection que j'éprouvais pour elle... " Mais si, un souvenir en appelant un autre, l'histoire d'une vie proche aidait à reconstituer une part secrète de la sienne propre ? Telle est la réussite magistrale de ce roman pudique et bouleversant : raconter une part de sa vie et de celle de sa famille à travers le prisme d'une femme à la fois familière et extérieure.

01/2008

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BD tout public

Naissances de la bande dessinée. De William Hogarth à Winsor McCay

Autour de 1900, apparaît dans la presse américaine une forme pétrie d'humour et d'action que nous reconnaissons sans problème comme de la bande dessinée : le comic strip, né en même temps que le cinéma et le phonographe. Dans ce livre riche en surprises, Thierry Smolderen montre pourtant que l'origine de cette forme est beaucoup plus ancienne, et liée à une autre naissance : celle du roman moderne, qui émerge en Angleterre au cours du XVIIIe siècle. L'oeuvre satirique du peintre et graveur William Hogarth a ouvert cette voie, menant à des échanges d'un genre nouveau entre l'image et les médias de l'âge moderne. Au XIXe siècle, le courant impulsé par Hogarth est resté l'affaire exclusive d'un groupe particulier de dessinateurs, les illustrateurs humoristiques, qui mettent leur immense culture de l'image au service de la parodie, en cultivant l'art de l'hybridation stylistique. Fascinés par le graffiti, le dessin d'enfant et les images marginales, ils sont les premiers à s'emparer des médias émergents, qu'ils schématisent et combinent dans une perspective ironique. Depuis Rodolphe Töpffer, ils prennent aussi un malin plaisir à interroger les idiomes séquentiels du monde industriel à partir du passé naïf des histoires en images populaires. La bande dessinée moderne s'est forgée dans ce creuset résolument polygraphique qui n'a manqué aucune des révolutions majeures menant à l'âge audiovisuel. Cet ouvrage - qui constitue aussi une véritable anthologie - éclaire donc de manière surprenante les pièces d'un puzzle que nous croyions pourtant si bien connaître : loin d'être orpheline, la bande dessinée y apparaît comme la principale héritière d'une culture de l'image lisible aussi ancienne que l'image imprimée. La bulle, la ligne claire, l'action progressive, la mise en abîme ironique et jusqu'à la physique délirante des toons l'inscrivent dans une généalogie beaucoup plus riche que ne le soupçonnent les auteurs eux-mêmes. Son dialogue initial avec le roman d'avant-garde du XVIIIe siècle et le livre romantique, sa longue cohabitation avec les rythmes de la presse illustrée, sa symbiose avec le cinéma en font même l'ouvroir potentiel de l'image contemporaine par excellence.

11/2009

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