« Ajoutez deux lettres à Paris : c’est le Paradis », écrivait Jules Renard dans son Journal. Si votre quotidien dans la capitale française se résume plus à des trajets en métro (bondé, bien sûr !) qu’à un séjour au jardin d’Éden, la littérature est là pour nous prouver que les deux ne sont pas incompatibles. Le métro et la ville seraient si intimement liés que, selon les mots de Kafka dans son Journal, « Le métro fournit à l’étranger la meilleure occasion d’imaginer qu’il a compris, rapidement et correctement, l’essence de Paris. »