Une retraite financée par Balzac, Flaubert et Molière (si, si, lui aussi), voilà un projet qui se poursuit. Marie Sellier, présidente de la Société des Gens de Lettres l'avait évoqué, et hier, à Montreuil, cette idée a été exposée, brièvement, lors d'une rencontre organisée par la Charte des auteurs et illustrateurs jeunesse. L'enjeu est de trouver de nouvelles sources de financements pour la retraite des auteurs, et, surtout, ne pas les surcharger, nous explique Marie Sellier.