En dépit du soutien reçu par la communauté internationale, le romancier Ahmed Naji a vu sa demande rejetée par le tribunal du Caire. Il réclamait en effet une suspension de la peine de deux années d’emprisonnement, mais la cour a choisi de le débouter. Depuis février, ce dernier est mis en accusation pour avoir fait paraître dans un magazine littéraire égyptien un texte « sexuellement explicite ». Chose qui, selon la plainte, « détruit les valeurs sociales », c’est bien connu...