Ce ne fut pas un parcours de santé, mais voici : Audrey Azoulay vient d'être élue à la tête de l'UNESCO, alors que l'institution vit des heures délicates. « À l’heure où nous voyons ressurgir dans le monde des tensions que l’on croyait apaisées, régresser des libertés fondamentales, des populations massivement contraintes de fuir la misère et la violence, à l ’heure où les revendications identitaires ou religieuses alimentent les discordes nationales et internationales, à l’heure où les risques environnementaux se matérialisent, la mission de l’ UNESCO apparaît plus cruciale que jamais », expliquait-elle en mars dernier, présentant sa candidature.
Désormais, place aux actes.