L’herbe, toujours plus verte de l’autre côté, la vie plus douce, les gens plus simples : cet ailleurs idéalisé, Violaine Bérot le porte au paroxysme avec C’est plus beau là-bas. Un texte aux accents poétiques qui prennent de court, autant que son écriture incisive, articulée autour d’un « tu » comme une apostrophe au lecteur. Un « tu » qui, de la sorte, prend vie, mais reste longuement muet — un « tu, tu ».