En mai 1968, Myriam Anissimov âgée de 25, décide de quitter Lyon : c'est Paris qu'elle veut. Famille, mari, elle laisse tout derrière elle pour découvrir la capitale. « Je couchais avec des gens sans amour », écrit-elle dans le livre, paru chez Seuil, Jours nocturnes. « J'ai toujours été plus sexe que drogues. Et puis, à 25 ans, on a des envies et des hormones », lançait-elle en riant, hier soir, invitée par la librairie Folies d'encre.