L’erreur commune assimile la Renaissance italienne aux peintures et sculptures : ces vestiges visuels marquent l’esprit, autant que l’essor architectural. Mais l’image qui s’établit alors, façonnée de fresques et de couleurs, devient aussi incomplète que tronquée. Car dans l’ombre de Michel-Ange, de Raphaël ou même de Machiavel, la ville de Florence abritait un certain Vespasien. Et son influence, à l’époque, a tout autant de répercussions que celle de ses illustres contemporains.