Écrire une pièce de théâtre sur les dernières heures d’un terroriste, se plonger dans ses dernières paroles, pensées, émotions, et peut-être y déceler une humanité... voici le pari très risqué que Mohamed Kacimi a décidé de relever en écrivant Moi, la mort, je l’aime, comme vous aimez la vie, citant Mohamed Merah. Et qui dit risque, dit controverse : la ministre de la Culture israélienne elle-même a demandé l’interdiction de la pièce, qui selon elle fait l’apologie du terrorisme.