La pandémie du coronavirus avait pris le monde entier de court, poussant à une vague de confinements et de restrictions des libertés sans précédent. Dans le secteur littéraire, de nombreux événements, dans le monde et en France, se trouvaient annulés sans autre forme de procès. Et, pour des auteurs déjà économiquement fragiles, disparaissait tout aussi brusquement une source de revenus non négligeable. L'association La Charte des auteurs et illustrateurs jeunesse ajoute à son modèle de conventionnement une clause d'annulation, pour éviter ces conséquences négatives.