À peine sortie, mais pas totalement remise, du scandale révélé par le mouvement #MeToo, l'Académie suédoise fait face, depuis l'annonce du Prix Nobel de littérature 2019, à une autre polémique, déclenchée par son choix de l'auteur Peter Handke. Ce dernier s'était fait remarquer à plusieurs reprises pour son soutien affiché à Slobodan Milošević, président yougoslave jugé pour crimes contre l'humanité et génocide.