Les oiseaux de malheurs

Inutile de fracasser la touche de rafraîchissement pour que s’affiche la liste du jour... Nous sommes confus, mais ce vendredi, notre partenaire Sequencity s’est pris à son propre jeu, et nous a fait parvenir avec un peu de retard sa sélection des dernières BD à découvrir. Nous vous présentons toutes nos excuses pour le dérangement. Promis, ils seront châtiés. Et comme toujours, il vous suffit de cliquer sur les couvertures pour feuilleter librement l’intégralité de chaque BD, et en lire gratuitement les premières pages.

L’exposition « Ghosts of Birds Gone », que l’on pourrait traduire par « Les fantômes des oiseaux en allés », réunit de nombreux artistes, plasticiens, peintres, musiciens et écrivains dans l’engagement pour la protection des oiseaux.

Le livre, élément fondamental de notre culture peut servir à presque tout. Souvenez du deuxième acte de Cyrano de Bergerac, où Ragueneau se désespérait que sa femme utilise des feuilles comportant de superbes poèmes pour entourer les pâtisseries vendues aux clients…un recyclage qui ne plaisait pas trop à l’ami des poètes !

Voici une artiste talentueuse qui a décidé d’utiliser le livre comme matière première afin de réaliser des sculptures représentant des oiseaux…

Roland Topor fut écrivain, peintre, chansonnier, metteur en scène et scénariste : c'est pour ce dernier talent que Pierre Richard le recrute pour travailler sur le scénario des Malheurs d'Alfred, sorti en 1972. Ce n'est pas tout : on retrouve aussi au scénario du film l'écrivain de science-fiction André Ruellan ainsi que le cinéaste Yves Robert.

« Plus d’une fois, le film policier se croise avec le film d’espionnage et le film social. » À ce titre, les romans de Georges Simenon représentent une véritable manne pour le cinéma. En deux décennies, une vingtaine de ses ouvrages deviendront des longs-métrages. Voici donc l’occasion de redécouvrir l’œuvre, sous un autre œil.

Le film va faire un malheur de Georges Flipo : Action !

Tout le monde n'avait hier pas pris l'ampleur de ce que représentait Birds of America de John James Audubon, qui sera mis en vente par la maison Sotheby's en décembre prochain. Ce livre est plus qu'un manuscrit rare : une véritable merveille.

Pour ceux qui n'ont jamais fait de latin, cette phrase n'aura aucun sens, bien qu'elle soit tirée du chant Vi de l'Enéide (vers 268)

RentreeLitteraire23 - Un des plus grands romans de Joyce Maynard, très aimée en France. Une héroïne marquée par les tragédies de la vie, qui tente envers et contre tout de se reconstruire. 

A 29 ans, David Grémillet boucle, en 1997, un doctorat à l’Institute of Marine Research à l’Université de Kiel. C’est le point de départ d’une carrière d’océanographe dans différents postes au sein du CNRS qu’il réussit à intégrer à compter de 1999.

DOSSIER – Dans la sacro-sainte chaîne du livre, l’auteur occupe la place la plus enviable, et pourtant la plus inconfortable. Dans le cadre d’un dossier sur la profession d’agent littéraire, David Pathé-Camus revient sur les droits et devoirs qui incombent aux écrivains, indissociables les uns des autres. 

C'est fait. Les 435 illustrations du monstrueux livre de John James Audubon viennent de trouver leur futur propriétaire. Et en emportant la mise pour 7 millions £, ce dernier devient le propriétaire du livre le plus cher vendu aux enchères...

Dans la ville de Belmont, aux États-Unis, s'est ouverte une chose épatante : une bibliothèque publique, sans carte d'usager ni ouvrages papier ni même de service de prêt numérique. L'État de Virginie peut se vanter d'être le premier à avoir ouvert le champ culturel aux oiseaux, rejoignant Pierre Perret, qui chantait, « ouvrez, ouvrez la cage aux oiseaux... »

Au début, il n’y a rien d’autre que cette question : « Pourquoi ? ». Encore et encore, en boucle dans son esprit. Tandis qu’elle s’éveille et regarde autour d’elle, c’est un sentiment d'incompréhension, de doute, d’inquiétude qui l’enserre. Puis, soudain, cette étrange certitude : il est temps de partir. De se mettre en mouvement. « Maintenant, elle se souvient de ce pour quoi elle doit se lever, c’est comme cela, elle doit se lever, car c’est aujourd’hui qu’elle quitte la maison. »

Sous la présidence d'honneur de Frédéric Vitoux, de l'Académie française, le jury a attribué, au deuxième tour de scrutin à la majorité absolue, le Prix Jean Freustié 2023 à Maud Simonnot pour son roman L'Heure des oiseaux (éditions de l'Observatoire). 

Le Bonhomme et l'oiseauAlice Brière-Haquet

#Lectureetlittoral - Pendant un périple de 5000 km le long du littoral atlantique, le lecteur public Marc Roger parcourra 555 communes sur une durée d'un an, à travers 16 régions. À chaque étape, il lira des textes sélectionnés à voix haute. De plus, chaque jour, il collectera 3 kg de déchets pour contribuer à la protection de l'environnement et de l'écosystème.

Depuis la disparition de Steve Jobs, c'est à qui prédira le destin d'Apple privé de son charismatique patron. Dernière vision en date, celle du PDG de la société d'analystes Forrester Research qui, se basant sur les concepts du sociologue Max Weber annonce une prochaine chute de l'empire Apple.

Le Quidditch fait des émules depuis des lustres - quasiment à la sortie des livres, de fait - avec une cote de popularité qui se cesse de grandir, au point que l'on en reparle régulièrement...

André Maurois n'est pas à proprement parler "un ensablé". Il est dans un entre deux, mais il s'enfonce, aucun doute. On sait encore qu'il a écrit des biographies remarquables, notamment celle de Victor Hugo et, bien sûr de Marcel Proust auquel, d'une façon très particulière, il était lié par sa femme, Simone Maurois, née de Cavaillet, dont Proust a tiré partiellement le personnage de Mademoiselle de Saint-Loup, fille de Gilberte Swann et de Saint-Loup, ami du narrateur. Dans le film de Roger Stéphane, Madame André Maurois apparaît pour raconter avec quelle insistance Proust avait demandé à ses parents de la faire descendre, afin qu'il la vît, car il en avait besoin pour son œuvre. Mais qui se souvient de Maurois, romancier? Peu de monde.

Petit succès finalement, pour la vente de cet exemplaire des Birds of America, l'un des 200 exemplaires connus de l'oeuvre majeure de John James Audubon. Durant la vente aux enchères qui se déroulait à la maison Christie's le 20 janvier, l'immense livre aura été emporté pour 7,9 millions $.

Le Prix de bibliophilie Jean Lurçat 2019 a été décerné ce mercredi 6 novembre à l’ouvrage Le Cantique des Oiseaux, qui mêle des poèmes de Farîd ud-Dîn Attar et des eaux-fortes de Sylvie Abélanet. Le Prix Bernier et le Prix Paul Marmottan ont également été décernés au cours de cette même journée.

ROMAN ETRANGER - Selon la mythologie igbo, ethnie du sud-est du Nigéria, chaque humain reçoit à sa naissance un Chi, une entité spirituelle, entre le guide moral et l’ange gardien, qui l’accompagne tout au long de sa vie terrestre. Un de ces êtres multiséculaires conte ici l’histoire de l’homme qu’il habite, son hôte, comme il le nomme, sous forme d’une longue incantation adressée à Chukwu, la divinité suprême des Igbo.

À San Francisco, les livres sont des oiseaux qui illuminent la rue

Pourquoi la Chevêche d’Athéna porte-t-elle le nom de la célèbre déesse grecque ? La Bécassine sourde l’est-elle vraiment ? Comment le coq est-il devenu l’emblème de la France ? En ce début de rentrée littéraire, les Éditions Delachaux et Niestlé rééditent L'étymologie des noms d'oiseaux, un livre anciennement publié chez Belin, de Pierre Cabard,  ancien professeur de biologie et de paléontologie, passionné d'ornithologie.

Avec le temps, Trump se taille une solide réputation de sale type. Plus spécifiquement pour toute créature qui a un cœur et ne paie pas d’impôts. Ainsi, inutile de protéger la nature, les animaux ni rien de tout cela, totalement inutiles aux finances de l’Amérique. Heureusement, la Justice a encore quelques considérations pour le vivant…

Plus de 30 ans après sa parution, Les oiseaux se cachent pour mourir de Colleen McCullough reste un des livres australiens les plus vendus dans le monde. Ce best-seller international a été adapté dès 1983 dans une mini-série homonyme, devenue un véritable symbole culturel des années 1980.

Stéphane Servant signe ici un petit bijou de littérature et de poésie, où chaque mot empoigne le cœur et empêche de respirer, jusqu’à la dernière page. Le tout, rythmé par les illustrations délicieusement oniriques de Lisa Zordan, dont le coup de crayon illumine cette histoire dans laquelle ne résonne qu’un mot : l’amour.