Ce coup-ci, on ne peut contester la qualité d’"ensablé" de Pierre Herbart, ni que nous aurions pu le connaître si nous nous étions intéressé aux parutions littéraires au début des années soixante-dix, temps où l’approche irrésistible ( tu parles…) de la révolution confisquait les énergies des gens de notre génération. En général, nous n’avons pas beaucoup de sympathie pour qui adhéra de près ou de loin à l’idéologie communiste dont le temps apprit à tous les esprits ou presque quelle était sa véritable nature ; mais, après tout, même Breton à qui on ne la faisait pas, en fut un moment…