Évidemment, puisque je suis anonyme, de facto, vous ne me connaissez pas. D’autant moins que mes textes, qui errent depuis quelques années dans les couloirs de plusieurs éditeurs effrayés par mon obstination anonymiste, tardent à paraître. Tout au plus pourrez-vous, en cette rentrée littéraire 2019, découvrir le même épigraphe que celui qui trône aux avant-postes de l’un de mes manuscrits, en ouverture du nouveau roman de l’un de nos nobélisés préférés.