La fragilité d'une révolution réside dans l'équilibre précaire entre une aspiration au changement et la nécessité de maintenir, au minimum, une cohésion sociale. Ce corps, qui intègre le multiple, se fracture toujours dans les périodes de guerre. Et que dire de la civilisation, cette dynamique de la complexité, délicate comme les gestes d'une ballerine, et exigeante comme la poigne d'un corset...