Pardon, j'avais laissé Henri Calet à la sortie de la station "Arche de la Défense" (voir Calet dans le métro). Depuis, je me demande comment parler de lui pour le faire aimer comme je l'aime. Plus je le lis et plus je l'aime. C'est rare et, entre parenthèse, la preuve évidente de la supériorité du livre sur l'être humain dont la trop grande connaissance finit toujours par décevoir. Pour écrire dans ce blog, j'ai ainsi relu Monsieur Paul, un délice. Il me faudra montrer pourquoi...