Comme nous le rappelle Jean-Yves Mollier, historien français, spécialiste de l’édition, du livre et de la lecture, souvenons-nous que ces outils de prescription littéraire dématérialisés dont l’influence s’est vue accrue ces derniers mois, « s’ils sont nouveaux dans leurs formes, ne le sont nullement dans leur rôle ». C’est donc bien plus le changement dans le mode de prescription littéraire que la prescription elle-même que nous devons interroger.