Le célébrissime Wolfgang n’a que 32 ans quand il compose la Symphonie n° 40 en sol mineur, dite très élégamment K. 550. Nous sommes à l’été 1788, et cette pièce devient l’un des Grands Œuvres du compositeur autrichien, adopté par l’Europe. On reconnaît à cette pièce des tonalités tragiques, mélancoliques, des traits angoissés et pourtant une splendide exécution. Entre tourment — Mozart vient de perdre sa fille — et superbe, la 40e devint rugissante.