Ah, la rentrée... Littéraire, n'est-il pas ? J'ai comme l'impression, vous me passerez l'expression, que certains vont la rater. Ou que trop empressés de la réussir, ils se mettront peut-être des bâtons dans les roues. En publiant une critique de livre avec plus d'un mois d'avance, par exemple.
Oh, ne riez pas : la presse fait ce qu'elle peut avec les restrictions que les maisons d'édition lui imposent. Ainsi, Flammarion qui a fait parvenir les épreuves du prochain bouquin de Houellebecq avait expressément interdit que l'on en publie la moindre phrase. Rien du tout, disait-on, mais alors vraiment rien de rien.
Évidemment, quelques-uns font de la résistance et on démasque l'ironie parfois où l'on ne s'attend guère à la trouver. Pour preuve ce tweet, découvert voilà quelques jours.