Ce n'est pas la première fois que les Ensablés abordent ici l'oeuvre d'André Thérive (ici), linguiste (auteur d'un ouvrage au titre prémonitoire: Le Français, langue morte?), romancier, critique littéraire renommé ("Chroniqueur majeur de son temps", selon Jérôme Mizoz*) et créateur, avec Lemonnier du "Prix populiste" (ici) que reçut le cher Eugène Dabit pour son Hôtel du Nord. Voici un nouveau roman de Thérive Le plus grand péché paru chez Grasset en 1924, et qui fut honoré par le Prix Balzac de la même année, dans la fameuse collection "Les Cahiers verts".