Votre fidèle amie ailée vous prie humblement d’accepter ses plus plates excuses, car j’ai tardé à vous livrer cette nouvelle chronique. Alors oui, j’aime la rentrée littéraire : les festivals baignés par le soleil de l’été qui touche à sa fin, Amélie qui délaisse son chapeau, les « surprenantes » sélections des jurys Goncourt, Renaudot, Landerneau, nos chers écrivains qui sortent de leur antre de solitude pour s’asseoir tout sourire sur le (nouveau) canapé de François B., les critiques, tantôt véhémentes, tantôt élogieuses étalées dans tous les suppléments livres des grands journaux.