ROMAN FRANCOPHONE – Avant, quand la production éditoriale ne nous inondait pas encore de « témoignages nécessaires » (= sordides) ou de « vibrants hommages » (= chiants) à je ne sais quel énième père résistant ou quelle mère courage ou ta grand-mère sur la commode aux tiroirs de couleur, goudronnés bien sûr d’une « écriture sublime » (= pauvre comme un étudiant sous Covid), il y avait la littérature, et Jean Rolin, avec son délicat et poétique Pont de Bezons (POL, 2020), se promène tranquillement, à part, sur ses berges.