« Ce n’est pas un hasard si, durant toute sa vie, mon mari a perdu tant d’argent. Dès 2004, heureux de nous voir nous chamailler, ceux qui “l’encerclaient” n'avaient plus qu’une seule idée en tête : nous diviser, nous séparer, pour mieux nous déposséder », déplore Christine de Villiers. À la tête des éditions Gérard de Villiers, qui rééditent les romans SAS, elle sort d’une longue série de procédures judiciaires.