Le psychodrame britannique autour de la question des bibliothèques publiques, dont les fonds ont été largement amputés, connaît un nouvel épisode. Terry Deary, auteur de livres jeunesse, a lancé un (gros) pavé dans la mare en affirmant que défendre les bibliothèques relevait du sentimentalisme. Étonnant quand on sait que les livres de l'intéressé arrivent en septième position des livres les plus empruntés. Pendant ce temps, les autorités de Moray, en Ecosse, comme de Newcastle, annoncent de nouvelles fermetures.