Les journalistes littéraires, victimes du désintérêt de la part des lectures, pour les nouveautés littéraires ? Voilà qui n'est pas banal. Surtout quand les rédactions desdits journaux décident de restreindre les budgets. Ainsi, au Canada, deux publications, le Toronto's Globe et le Mail, qui faisaient la part belle aux livres, et publiaient l'équivalent d'une liste des meilleures ventes du New York Times, ont décidé de prendre les mesures qui s'imposaient...