Est-ce l’époque ? L’irrévérence du XXIe siècle ? A-t-on besoin de s’approprier – et tourner en ridicule – les formes de divinités ? Jonathan Munoz répond avec Godman, Au nom de moi. C’est l’histoire de Charles, « fainéant, libidineux, nonchalant, alcoolique, égocentrique ». Tout ça, oui. Mais Charles est aussi Dieu. Et c’est souvent pesant.