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Le Vivier des noms

Extraits

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Théâtre

Le Vivier des noms

La nouvelle pièce de Valère Novarina, telle qu'elle sera représentée dans le cadre officiel du Festival d'Avignon 2015.

06/2015

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Roman d'amour, roman sentiment

Le vivier

Accablée par le désastre de son mariage, Brenda se réfugie dans les lieux de son enfance, sur la bordure d'une encoche découpée dans la côte du Finistère Nord. Là, la vie est simplifiée. Le paysage respire au rythme des marées. Les gens pratiquent le plus naturellement du monde des relations savoureuses. Un voilier rouge pose l'ancre dans le décor. Quelle histoire ramène-t-il à son bord ? Qui est Goulven le navigateur solitaire de ce navire ? Le passé et le présent de Brenda et Goulven teintent leur rencontre. Brenda qui travaille pour un cabinet comptable doit se pencher sur la gestion déconcertante du vivier où travaille Anielle, la femme de Goulven.

05/2023

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Critique littéraire

Les Enfances Vivien

Les Enfances Vivien sont une chanson de cycle de Guillaume d'Orange, qui se situe, dans le cycle, après la Prise d'Orange et précède la Chevalerie Vivien. Garin, le père de Vivien — âgé de sept ans — est emprisonné à Luiserne en Espagne par le païen Marados qui lui demande comme rançon son fils Vivien. Garin accepte les conditions du païen et Vivien lui est livré. Au moment où les païens s' apprêtent à torturer Vivien, une armée entre dans la ville et la brûle. Les païens fuient, Vivien est libéré et vendu à Mabile, femme du marchand Godefroi. Mabile propose à Vivien de faire croire à Godefroi, absent depuis sept ans, qu'il est leur fils. Godefroi revient de la foire enrichi et heureux d'avoir un héritier, il tente d'initier Vivien au négoce. Vivien fait un piètre marchand. Il ne sait pas compter et se fait berner dans l'exercice de la vente et de l'achat. Il ne rêve que de combattre les Sarrasins, et lève une armée de marchands. Au terme de nombreuses batailles, Vivien et les marchands — aidés par l' armée du roi Louis et par Guillaume — parviennent à conquérir Luiserne.

01/1997

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Divers

Le grand vivier. Journal, récolte 2020-2021

La multitude invisible sépare les êtres, restitue chacun à sa réclusion. Jean-Louis Giovannoni travaille depuis toujours sur cette notion de séparation et de réclusion, qui trouve dans ce journal, débuté au printemps 2020, un ancrage dans le réel. Comme si la réalité soudaine à laquelle le monde se trouvait confronté s'ajustait au monde littéraire de Giovannoni. Un journal, mais un journal fragmentaire, morcelé, d'abord tenu au cours des longues journées de confinement, puis continué pendant plus d'un an. Giovannoni depuis toujours essaie l'espace comme on essaie un vêtement. Est-il à la bonne mesure ? Est-on trop serré dedans ? Quelle est notre aisance, notre liberté de mouvement ? Il touche les murs, le plafond, arpente les couloirs en boucle, sort sur son balcon. Petit à petit naît le besoin de repousser l'espace, d'agrandir les murs, il regarde les photographies qui deviennent plus grandes que la réalité, les meubles immobiles, les fantômes qui peuplent les appartements : la vie se renverse, "je ne fais que déplacer de l'immobile en moi" dit-il. Il se met à parler aux objets devenus les seuls compagnons. Il parle même aux pierres, les écoute respirer. Il parle à ses vêtements, il s'installe dans sa penderie. Il parle aux portes qu'il n'ose pas toucher. Bruit de fond de la télévision, ou de pas dans l'immeuble, murmures, légers mouvements de rideaux : chaque son semble s'amplifier à l'oreille alerte, attentive, en attente. A l'écoute des voix du monde qui donnent des nouvelles du large et de la mer qui se déplace dans l'imagination. Il reste de longs moments devant le paysage statique de la rue, à attendre "la compagnie des oiseaux" . Il regarde ce qui change, ce qui se déplace, ce qui disparaît. Il compte les morts. Jour après jour, la ville s'efface à force de ne plus être visible, rue après rue, quartier après quartier. Tout disparaît dans notre dos. Le Grand vivier est le livre de l'air qui circule entre les hommes et les choses arrêtées, et Giovannoni dépeint une humanité prise dans la résine comme les insectes, alors que partout le printemps pousse sa germination. "Peut-être y a-t-il dans l'air des frontières à ne pas dépasser" , dans cette vie entourée de monstres invisibles qui nous dévorent et de fantômes qui nous habitent, brutalement confrontés à notre intériorité, à la porosité de notre corps aux infections, aux maladies qui pullulent et prolifèrent en nous : humanité consommable abandonnée à la voracité de l'invisible. Et quand à nouveau sortir devient possible, que l'on redécouvre la rue, que l'on repousse la limite des quartiers, que l'on retrouve la parole, on retrouve aussi un monde qui s'était habitué à notre absence. Qu'est-ce qui circule dans un monde débarrassé des hommes ? L'air, l'espace laissé vacant, mais l'espace sans hommes n'est pas vide pour autant. Dans l'intervalle on a diminué, on a perdu de soi, on ne sait pas bien quoi. On a beau retrouver l'extérieur, "si on sort, on ne sort pas de soi" . La pandémie est un monde giovannonesque, qui révèle et rassemble toutes les obsessions que l'auteur creuse depuis Les mots sont des vêtements endormis (1983) jusqu'à Sous le seuil (2016) - le rapport à l'espace, le virus incontrôlable des mots, les germinations, les vies exogènes qui grouillent en soi, l'impossibilité de sortir de ses pas. Le Grand vivier est un livre qui se referme comme un requiem, dans un éternel adieu aux morts qu'on ne finit jamais de quitter : "le monde est vide" sans les fantômes.

04/2023

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Lecture 6-9 ans

Vivien, drôle de chien !

#ScrineoEngagé – Il m'est arrivé quelque chose d'incroyable ! Vraiment incroyable ! Je veux bien vous le raconter, mais je me demande si vous n'allez pas me prendre pour un fou. Alors, voila... Accrochez-vous bien... Et si j'en entends un murmurer : "Non, il exagère, c'est impossible", j'arrête tout ! Allez, je commence... J'étais un garçon comme les autres. Jusqu'au jour où ma maîtresse a changé ma vie d'une façon inimaginable...

10/2019

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Littérature étrangère

Il nous faut des nouveaux noms

Chérie a dix ans et elle vit dans un bidonville du Zimbabwe ironiquement nommé Paradise. Dans sa langue spontanée et imagée, en une série d'épisodes à la fois bouleversants et débordants de vie, elle raconte une enfance heureuse malgré la misère et le cortège de souffrances qui l'accompagne. Pour échapper à cet endroit où tout le monde a faim et où tout s'effondre, avec ses copains Bâtard, Chipo, Dieusait, Sbho et Stina, elle devient, le temps d'un jeu, le Canada, l'Australie ou, mieux encore, les Etats-Unis. Chérie sait qu'un jour elle ira vraiment en Amérique, terre d'abondance et de rêve où l'attend sa tante Fostalina. A travers l'exil et le déracinement de Chérie, son désir farouche d'affirmer son identité, c'est aussi toute l'histoire de la diaspora zimbabwéenne qui est évoquée. Dans ce premier roman aux tonalités tour à tour picaresques, tragiques et même épiques, NoViolet Bulawayo donne voix aux milliers de personnes quittant leur terre natale pour aller vivre dans un nouveau pays qui ne deviendra jamais le leur.

03/2014

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Littérature étrangère

Tous nos noms

Evénement littéraire aux Etats-Unis, Tous nos noms est sans doute le livre le plus ambitieux de l'auteur des Belles choses que porte le ciel. Roman de la maturité, où l'évocation d'une amitié mise à mal par l'Histoire se confond avec le portrait d'un continent déchiré, il pousse plus loin encore l'exploration de l'exil et du déracinement. Isaac, un jeune Africain, est venu aux Etats-Unis dans le cadre d'un programme d'échange universitaire. Ni Helen, la jeune assistante sociale qui tombe amoureuse de lui, ni le lecteur ne connaissent son vrai nom : il l'a laissé derrière lui, en Ouganda, avec les promesses d'une révolution réprimée dans le sang par la future dictature, abandonnant aussi son ami le plus cher. Du chaos de l'Afrique à la solitude du Midwest, dans une Amérique déchirée entre la guerre du Vietnam et la lutte pour les droits civiques, l'écriture intimiste et mélancolique de Dinaw Mengestu, mêlant les voix d'Helen et d'Isaac, saisit les paradoxes de l'Histoire et de la nature humaine avec une force et une intelligence peu communes. " Un roman étincelant, profondément émouvant. " The New York Times

08/2015

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Psychologie, psychanalyse

Rendez-nous nos noms ! Quand les juifs revendiquent leur identité perdue

Rendez-nous nos noms ! Tel est le propos du manifeste coordonné par Céline Masson et Natalie Felzenszwalbe. Après la Seconde Guerre mondiale notamment, nombre de familles juives ont en effet changé leur nom pour échapper à la persécution antisémite et nazie en le francisant. Aujourd'hui, après des décennies de silence, de refoulement peut être, ces familles tentent de faire valoir leur droit auprès de la justice administrative. Combat des origines retrouvées, découverte douloureuse parfois de toute une histoire, secret des liens familiaux... Avec des témoignages, des réflexions inédites, les auteurs permettent à cette mémoire étouffée de retrouver la parole. Préfacé par Annette Wieviorka et postfacé par Daniel Sibony, ce document fort rejoint l'histoire du judaïsme contemporain et les traumatismes qui l'ont marqué.

11/2012

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Littérature française

Nom de noms. Roman de nouvelles

Au début (de ce roman), il y a Rien. Rien avec une majuscule, un nom propre mais pas commun, un nom difficile à porter. Il y a aussi Personne, mais elles sont deux, Aimée et Désirée, et s'entêtent à devenir quelqu'un d'autre. A la fin (de ce roman), il y a Lediable, Mme Lediable, une femme qui fait dans le détail, scrute les consciences et sait manigancer les âmes. Entre les deux se mêlent de curieuses histoires, lignes de vie de personnages touchés parla malédiction ou la grâce de porter un nom qui semble déterminer leur destin, bousculer leurs désirs et encourager leurs penchants. Certains subissent, d'autres résistent ou parfois en jouissent. Mensonges anodins, belles impostures, tentations vénales, envies de meurtre... Nom de noms c'est surtout l'histoire d'un crime parfait, inattendu, comme l'écriture seule ose en imaginer.

03/2021

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sociologie du genre

Renée Vivien : une poétique sous influence ?

N'est-il pas temps d'aborder la poésie des femmes avec le même sérieux que celle des hommes ? A travers l'étude de l'oeuvre de Renée Vivien, poétesse lesbienne du début du XXe siècle que l'on jugea longtemps comme une pâle copie de Baudelaire, Camille Islert répond à cette question par l'affirmative. L'oeuvre de Pauline Tarn (1877-1909), Renée Vivien de son nom d'autrice, a été écrite de 1901 à 1909, dans une tonalité résolument fin-de-siècle qui l'a immédiatement enfermée dans un statut d'imitatrice de ses prédécesseurs masculins, Baudelaire en tête. Son homosexualité assumée, son refus des mondanités et sa mort précoce en firent une incarnation de la " femme damnée ". Quasiment oubliée, elle fut redécouverte en France dans les années 1980, grâce à la parution d'une biographie et à la republication de ses recueils par Régine Deforges et est en passe de devenir une figure reconnue de la littérature française. Il est donc temps aujourd'hui d'abandonner cette double image d'une Renée Vivien imitatrice ou femme damnée. Cet ouvrage se propose ainsi d'étudier avec précision les phénomènes d'écriture qui font la singularité de son oeuvre poétique, en l'abordant dans sa globalité et en plaçant au centre de la réflexion une approche renouvelée de la notion d'imitation, libérée de ses applications misogynes.

04/2024

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BD tout public

Les guides en BD Tome 39 : Le guide des 18 ans. Vivie la majorité

18 ans, une frontière qui angoisse (à l'idée de ce qu'il y a au-delà....). Que faire pour éviter d'avoir 18 ans ? Avoir 18 ans, est-ce une malédiction divine ? Si oui, existe-t-il des tactiques d'évitement ? Des mantras ? Des formules magiques ? Peut-on s'en accommoder, et au bout de combien d'années ? De décennies ? (De siècles ?) Peut-on faire semblant de ne pas avoir 18 ans ? Pendant combien de temps sans que les autres se doutent de quelque chose ? Est-ce un âge où tout bascule vers un monde terrible ? Ou meilleur ? Bon, et qu'est-ce que ça change, d'abord ? Avoir hâte d'avoir plus de 18 ans, est-ce une perversion de l'esprit ? C'est à toutes ces questions et à bien d'autres, tout aussi éprouvantes et inattendues, que le Guide des 18 ans en bande dessinée se propose de vous répondre. Sur un sujet parfaitement maîtrisé par deux auteurs qui ont eu dix-huit ans tous les deux, et qui s'en souviennent encore (douloureusement), cet album vous aidera à avoir les réactions appropriées, quelles que soient les épreuves à venir.

05/2012

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Poésie

Donnez-nous le nom de ce que nous portons. Poèmes

Amanda Gorman, qui a marqué l'Amérique et le monde en récitant "La colline que nous gravissons" lors de la cérémonie d'investiture du président Joe Biden, livre un premier florilège lumineux dans lequel elle s'empare d'une époque naufragée pour la transformer en un chant d'espoir et de guérison. Dans Donnez-nous le nom de ce que nous portons, la poétesse explore l'histoire, le langage, l'identité et l'effacement. Inspirés par la souffrance collective qu'a engendrée la pandémie, ces poèmes, collages et calligrammes éclairent un moment de prise de conscience et révèlent une autrice messagère du passé et voix de l'avenir.

11/2023

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Livres 3 ans et +

Nos petits noms d'amour

Une maman poule, un papa chat, une fille souris, quelle drôle de famille !

05/2020

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Cyclisme, VTT

Le Vélosophe. Paul de Vivie, dit Vélocio (1853-1930)

COMMANDEMENT N°7 "NE JAMAIS PEDALER PAR AMOUR-PROPRE" "La bicyclette sera le cheval des humbles ! " prophétise Vélocio en 1890. Derrière ce pseudonyme littéraire se cache l'une des plus extraordinaires figures du cyclisme : Paul de Vivie (1853-1930), le père du cyclotourisme. Fervent militant du vélo, ce précurseur est à l'avant-garde du mouvement cycliste. Inventeur du dérailleur, il a exploré à peu près tout ce que l'on pouvait faire avec une bicyclette et enseigné l'art de bien rouler. C'est aussi un entrepreneur visionnaire. Il a créé un service de livraison de colis à vélo et imaginé le vélo électrique dès la fin du XIXe siècle. Le magazine Le cycliste qu'il lance en 1888 sera publié jusqu'en 1973 ! Amoureux de la nature, ce végétarien au mode vie frugal est en phase avec notre époque soucieuse d'adopter un comportement plus responsable. Ses "sept commandements", véritable catéchisme du cyclotourisme, n'ont pas pris une ride. A l'heure où le cyclisme de loisir connaît en France une croissance exponentielle, Charles de Vivie, arrière-petit-neveu de Vélocio, vous invite à découvrir cet illustre inconnu, à suivre l'étonnante aventure de ce pionnier de la révolution vélocipédique, à vibrer aux différents combats qu'il a vaillamment menés, et à vous plonger dans les enseignements de ce philosophe du vélo, ce "vélosophe" qui cultivait son amour de la Provence et de la poésie.

06/2023

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Romans historiques

Le livre des noms oubliés

C'est un samedi matin, en plein service à la bibliothèque publique de Winter Park, que je le revois. Le livre sur lequel j'ai posé les yeux pour la dernière fois il y a plus de six décennies. Que je croyais disparu pour toujours. L'ouvrage qui représentait tout pour moi. Le monde s'arrête alors que j'attrape le journal, la main tremblante. Ce livre m'appartient - ainsi qu'à Rémy, un homme mort depuis longtemps et auquel je me suis efforcée, après la guerre, de ne plus penser. Floride, mai 2005. Eva Traube Abrams retrouve la trace de l'homme qu'elle pensait avoir perdu à tout jamais, et du livre qui a tant compté pour eux, plus de soixante ans auparavant... En 1942, Eva fuit Paris à la suite de l'arrestation de son père, Juif originaire de Pologne. Bouleversée, elle trouve refuge dans un village de montagne, en Zone libre, où elle rencontre Rémy, un séduisant faussaire. Avec son aide, elle produit de faux papiers pour aider des enfants juifs à passer la frontière suisse. Ne pouvant se résoudre à effacer leur identité, Eva consigne leurs véritables noms grâce à un code dont seuls Rémy et elle possèdent la clé. Ce Livre des noms oubliés devient encore plus vital lorsqu'ils sont trahis et que Rémy disparaît. Eva parviendra-t-elle à retrouver celui qu'elle aime, et à protéger les enfants de l'horreur du nazisme ? Inspiré d'une histoire vraie, ce roman évocateur, rappelant Le Réseau Alice de Kate Quinn ou Toutes les lueurs de Londres de Julia Kelly, est une ode à la résilience et à la force du courage face à la barbarie. " Depuis Le Chant du rossignol, je n'avais pas été aussi submergée par l'émotion à la lecture d'un livre. L'autrice s'est inspirée de l'histoire vraie de citoyens français ayant combattu avec courage et détermination pendant la Seconde Guerre mondiale. Elle met en lumière ceux dont les vies ont été détruites et les identités effacées, elle raconte un pays déchiré, l'héroïsme de ceux et celles qui, comme Eva, ont risqué leur vie dans des actes d'héroïsme épique. Emouvant et magnifique. " Fiona Davis " Kristin Harmel décrit avec brio la vie d'une jeune femme juive franco-polonaise, dans la tourmente de la Seconde Guerre mondiale. Elle illustre de façon émouvante le courage d'Eva qui risque sa propre vie pour les autres, et dépeint ses personnages avec une compassion réaliste. Cette oeuvre d'une grande justesse touchera les lecteurs avec son témoignage sur la force de l'espoir. " Publishers Weekly " L'autrice rend hommage à une histoire bouleversante, réelle mais oubliée, de la Seconde Guerre mondiale, à laquelle se mêle une belle histoire d'amour et un soupçon de suspense. A recommander aux fans de fiction historique romantique, notamment les romans de Beatriz Williams. " Booklist " Une histoire de survie et d'héroïsme à couper le souffle, centrée sur une faussaire qui risque sa vie pour aider des enfants juifs à quitter la France occupée par les Nazis. " People

07/2023

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Littérature étrangère

Des noms sur le sable

Danila, Carmen, Estrela : trois noms d'une femme contrainte comme tant d'autres à l'exil par la guerre civile espagnole. Réfugiée au Portugal, elle suit aveuglément un homme vers un avenir incertain jusqu'en Angola bientôt en lutte pour son indépendance. De Barcelone à Lisbonne en passant par Luanda, elle est le témoin pas toujours muet d'événements qui ont secoué le XXe siècle et survit avec ce détachement dont seuls peuvent faire preuve ceux qui ont connu la faim et la misère. Faut-il qualifier d'aventurière celle qui devra tout tenter pour se sortir des situations les plus désespérées ? Lluis-Anton Baulenas brosse le portrait saisissant d'une femme de passion dont la vie peut à tout moment être effacée comme un nom sur le sable par les rouages de l'histoire et les calculs des puissants de ce monde.

10/2008

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Savoie

Ces lieux qui nous parlent. L'origine des noms de Peisey-Nancroix en Savoie

Aujourd'hui on les nomme Le Pourri, les Lanches, le Ponturin, l'Arc, Rosuel, etc. Pourquoi ? L'auteur vous invite à la découverte du sens premier de plus de 600 noms de lieux à travers leur histoire dans la langue d'origine ; il nous livre ici le fruit de ses longues recherches. Ce livre est accompagné par les nombreuses et magnifiques photos panoramas de Fréderic Gaufillet, permettant de localiser et retrouver précisément chaque lieu. Les tranches de vie d'antan dessinées par Lise Richermoz rappellent un temps où l'on nommait les lieux selon les multiples usages d'alors. Cet ouvrage rassemble les éléments qui font revivre aujourd'hui ces lieux profondément inscrits dans cette belle vallée de Haute Tarentaise en Savoie.

07/2021

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Jardinage

Le jardin vivrier. Autosuffisance et non-travail du sol

Agir au quotidien selon ses convictions ? C'est le choix qu'a fait Marie-Thérèse Thévard (Marie-Thé, pour les intimes) il y a une trentaine d'années en développant avec succès son autosuffisance alimentaire en non-travail du sol au Saguenay, sa région d'adoption au Québec. Le jardin vivrier est le récit de ses pratiques, convictions et recherches pour incarner un mode de vie écologique fondé sur l'indépendance vis-à-vis des énergies fossiles, la résilience, l'alimentation saine, la permaculture, l'agroécologie et la vie en communauté. Elaboré de façon à suivre mois par mois toutes les étapes pour obtenir un potager biologique foisonnant, ce manuel détaille les principes et techniques pour cultiver des légumes, des fruits, des légumineuses et même des céréales. Un principe conducteur guide sa démarche : le non-travail du sol. Devant l'épuisement des sols qui est le lot de l'agriculture industrielle, Marie-Thé défend ale génie du sol", en évitant de le labourer tout en l'enrichissant de paillis. Tout cela en climat boréal, dans un contexte jugé difficile pour la culture maraîchère. Les nombreuses années d'expérience de Marie-Thé vous apprendront : les principes de la permaculture, de l'agroécologie et du non-travail du sol ; les associations de cultures pour créer un écosystème vivant et résilient ; les techniques de protection des cultures contre le froid ; les moyens biologiques de se débarrasser des principaux ravageurs ; une boîte à outils pour organiser votre jardin (entreposage, outils, calendriers de semis, de plantations et de récoltes) ; des méthodes de conservation des légumes et des recettes de saison ; l'essentiel à savoir concernant l'élevage de volailles. Rédigé par la fille de Marie-Thé, Le jardin vivrier est le manuel essentiel pour réussir son jardin vivrier en non-travail du sol et parvenir progressivement à l'autosuffisance alimentaire. Richement illustré de schémas et de photos, cet ouvrage est un incontournable du jardinage écologique.

06/2021

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Esotérisme

Ces noms mythiques qui nous connectent à l'univers

Miraïl, la Caraïbéenne, douée de pouvoir de voyance, transcende le temps-espace pour nous rapporter des révélations d'un avenir incertain de notre planète, la Terre. Elle use aussi du mot mythique Adam pour décrire les différentes périodes traversées par celle-ci. Elle nous transmet ainsi la véritable signification de la croix perdue au fil des siècles.

05/2023

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Développement personnel

Chairissons-nous ! Nos corps nous parlent

Chairissons-nous ! est une incitation à refaire corps. Le verbe "chairir" partage les valeurs essentielles de son homophone "chérir" : l'attention, le respect, la bienveillance. S'il est écrit avec l'"ai" de la "chair", c'est pour rendre sa place au corps dans les liens que tissent et cultivent ces aspirations. Le corps est un capital, matériel et symbolique. Le corps est aussi l'oeuvre évolutive du frottement de la vie contre nos peaux. "Se chairir", c'est prendre conscience de la liberté que nous offre ce mouvement. C'est nous alléger de fausses évidences qui brusquent nos vulnérabilités et nous brident. C'est colorier de joie et d'audace nos espaces-corps. Questionnant autant l'image de soi, les liens corps-environnement, l'activisme féministe et le tatouage que l'anorexie ou le body positivisme, Chairissons-nous ! est une invitation à parler créativement nos corps.

05/2019

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Loisirs et jeux

Le carnet de Vivien - Lignes, 96p, A5 - Jacquard Bleu Gris Taupe

Plus qu'un simple carnet, My Notebook est l'accessoire tendance qu'il vous faut ! Design et pratique, il sera le parfait compagnon de vos prises de notes et de vos créations à la maison, au bureau ou en voyage. Unique, My Notebook est personnalisable : choisissez votre prénom ou celui de vos proches dans une liste de plusieurs centaines de prénoms disponibles et optez pour le graphisme et les couleurs qui vous ressemblent parmi une large sélection de couvertures. De format nomade (A5 : 148x210 mm ; 48 ou 96 pages), il se glissera facilement dans votre sac. Alliant confort d'écriture, avec son élégant papier couleur crème, et maniabilité, avec sa couverture souple au toucher velouté, il s'adaptera à tous vos besoins et à toutes vos envies, que vous préfériez les pages blanches, les petits ou grands carreaux (quadrillage Séyès), les portées musicales ou les lignes simples ! Pour vous-même ou pour offrir, My Notebook est le "it-carnet" à votre image. Compagnon indispensable de vos activités, léger et multi-usage, il ne vous quittera plus. Avec plus de 20 000 possibilités de personnalisation et ses gammes enfants et adultes, My Notebook est la nouvelle référence du cahier personnalisé. Vous êtes unique, My Notebook aussi !

03/2015

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Sociologie

Des noms et des gens

Qui n'a jamais eu la curiosité de savoir d'où provenait le nom de sa commune, son nom de famille ? Didier Trouvat s'est penché sur son village d'adoption, il offre les clés pour comprendre son étymologie, celle des lieux-dits, des parcelles mais aussi des noms de familles, présentes, pour certaines, depuis le 16e siècle. Il s'attarde ensuite sur le destin de plusieurs habitants de Sens-sur-Seille, entre le 17e et le 19e siècle. Enfin, au gré des délibérations du conseil municipal, depuis 1790, il souligne la volonté des équipes municipales d'ancrer la commune dans son temps pour lui faire bénéficier des bienfaits de la modernité. Il note autant d'évènements qui ont durablement ou non marqué la vie de ses concitoyens et aussi quelques rendez-vous manqués. Amusants, tristes, sordides quelquefois, c'est l'histoire des Anciens !

12/2022

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Sciences politiques

Sauvons-nous de nos sauveurs

Si Margaret Thatcher n'est plus, sa sentence éculée, There is no alternative ("il n'y a pas d'autre choix"), connaît une postérité singulière dans toute l'Europe en crise. Ainsi que l'observent Slavoj Zizek et Srecko Horvat, tous deux originaires de pays des Balkans récemment promus Etats membres, la promesse de paix, de démocratie et de prospérité que portait l'Europe s'est essoufflée dans la succession des prétendus "plans de sauvetage" imposés par les instances communautaires et internationales, au mépris de la volonté populaire. Forts des enseignements de leur histoire récente et instruits du "naufrage" social et économique de la Grèce, ils affirment tous deux qu'il est possible et nécessaire de construire une autre Europe, véritablement soucieuse du devenir de sa population. Cette Europe, qui se lève aujourd'hui au sud, devra renouer avec la politique d'émancipation radicale et universelle qui fonde sa culture: ainsi seulement pourra-t-elle se sauver de ses sauveurs.

09/2013

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Linguistique

Ces noms propres devenus noms communs

Des inconnus célèbres ! Quels points communs entre Eugène Poubelle, le comte de Sandwich, le dieu Atlas et les soeurs Tatin ? Tous les jours, ou presque, nous utilisons leurs noms. A l'instar de Monsieur et Madame Pipelet, Louis Braille ou Alfred Nobel, ces noms propres nous sont devenus communs. Il existe même un mot un peu savant pour désigner cette figure de style : l'antonomase. Ce petit guide invite les enfants à découvrir des noms propres entrés dans notre vie quotidienne et remonter le chemin de leur origine. Un voyage croustillant et instructif qui nous promène à travers les sciences, l'histoire, la littérature, la géographie, la mythologie. Un livre facile d'accès, drôle, très illustré pour explorer ces noms propres devenus communs et malgré tout un peu... hors du commun.

09/2023

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CD K7 Littérature

Robert des noms propres

Pour un écrivain, il n'est pas de plus grande tentation que d'écrire la biographie de son assassin. Robert des noms propres : un titre de dictionnaire pour évoquer tous les noms qu'aura dits ma meurtrière avant de prononcer ma sentence. C'est la vie de celle qui me donne la mort.

06/2004

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Sociologie

Nos apocalypses. Ce qui nous lie quand le mal nous frappe

Il a beaucoup été dit combien les catastrophes mettent à jour les inégalités et les maux de nos sociétés. Cependant, envisager le soudain déferlement du mal comme le reflet de profonds dysfonctionnements a des racines anciennes. Et c'est la signification même du mot apocalypse : une révélation. L'une des plus fameuses illustrations de ce dévoilement du monde corrompu est le livre de l'Apocalypse de Jean où l'un des quatre cavaliers de la fin des temps figure la peste et la mort. Mais l'épidémie meurtrière accompagnée de guerre annonce une ère où triompheront vérité et justice. Ce motif ambigu de destruction et de création apparaît dans les textes fondateurs religieux et dans les oeuvres littéraires qui interrogent leur impact. De la Bible à Odipe Roi, des Evangiles au Talmud, de l'Islam au Bouddhisme tibétain, mais aussi dans le Décameron ou Faust, chez Ben Johnson, Pouchkine, Zweig, Camus, Saramago, Butler, on lit les ravages des fléaux, le désarroi des hommes devant un Dieu qui s'absente, la quête de réponse face à des maux qui nous dépassent, la tentation de la haine et les persécutions, mais aussi l'urgence de l'espoir. Si la solution humaine pour donner sens à ces ruptures dans nos vies est d'en faire le récit, relire les textes sacrés qui racontent la catastrophe nous y aide précisément. Ils lient les existences singulières au collectif, les individus aux mythes, le passé au futur, et peut-être même à ce que certains appellent l'éternité. Emerge alors une vision des écrits religieux non pas comme des normes ou des prescriptions mais comme des miroirs tendus, presque comme des romans. A leur suite, des livres qui sont devenus des pierres angulaires de notre littérature racontent comment la proximité entre ce qui tue et ce qui sauve nous constitue, nourrissant instinct de survie et besoin d'espérance. Le double regard qu'elle pose sur la religion et sur l'histoire littéraire donne naissance à cet essai lumineux sur une notion à la fois atemporelle et terriblement actuelle. De la Bible à Octavia Butler, Clémence Boulouque transmet ici des réponses salutaires à des enjeux existentiels.

09/2022

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Faits de société

Nos enfants nous haïront

Des retraites à payer, une nation paresseuse, une planète abîmée... Un jour, nos enfants auront 20 ans, 30 ans, 40 ans. Alors, pleins d'espoir et affamés d'avenir, ils comprendront que nous, les baby-boomers, leur avons laissé une société usée et mitée. Ce jour-là, ils nous haïront. Et ils auront raison. Nous avons eu tous les atouts en main, nous avons grandi dans une société en pleine croissance. Pourtant, nous sommes la première génération qui laissera moins à la suivante que ce qu'elle a reçu de la précédente. Et c'est le pire qu'on puisse faire à ses enfants leur léguer des dettes. Il ne s'agit pas de peindre le futur en noir. Mais de jeter un regard lucide sur ce que nous avons fait et de lancer les chantiers de l'avenir. Avant qu'il ne soit trop tard.

09/2006

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Littérature française

Nos muscles nous tuent

Après la découverte de l'électricité, des ondes radio, de la fission nucléaire, de la radioactivité, des rayons X, de la théorie de la relativité, ou encore après l'invention de la turbine à vapeur, du moteur à combustion interne, de la télévision, de l'ordinateur, d'internet, Alexandre Devalois, jeune étudiant, débutant une formation en ingénierie, était persuadé que tous les plus grands secrets de ce monde avaient déjà été dévoilés et qu'il était totalement impossible en 2014, pour un jeune de 26 ans, de faire une nouvelle découverte révolutionnaire. Mais il avait tort...

04/2018

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Photographie

Nos feux nous appartiennent

Nos feux nous appartiennent réunit différentes séries qui se font écho depuis 2006. Ce montage explore le thème du clan, et dans son prolongement, l'idée d'appartenance, par les récits qui le façonnent, les imaginaires lointains auxquels les légendes familiales nous renvoient.Que signifie alors sortir du clan — dans le même mouvement se réconcilier, afin d'approcher un troisième lieu ? Le clan, mot d'origine gaélique, évoque la famille. Il est également en relation avec la plante, et nous parle ainsi de rameau, de racine, de ramifications, fragments qui reviennent de manière obsessionnelle. Je viens d'une famille de jardiniers, paysagistes, pépiniéristes, horticulteurs, fleuristes. Depuis cinq générations, les hommes de ce clan organisent l'espace, cherchent à le maintenir, à le discipliner. Ils taillent les arbres, charrient les déchets, les brûlent, surveillent les feux, transportent les racines à l'arrière des remorques, ratissent les feuilles de cours pleines de graviers, plantent des haies vives, livrent des fleurs, habillent les enterrements, les baptêmes, les anniversaires, les mariages, participent à tous les rituels qui donnent forme à une vie. L'odeur de l'eau des fleurs est une chose qui saisit la famille. un parfum qui nous sidère. c'est un écho de fleurs fanées, de mousses vertes, de tiges coupées au sécateur, de sève entière qui se répand. Le feu, pivot de cette construction — élément catalyseur à forte charge symbolique, doit être entendu ici comme figure de ralliement. Les paysages d'Arménie sont de grands déserts calcinés de chaleur. des points de vue militaires dépeuplés de l'événement guerrier. des lieux de tirs et de guet. des endroits d'où l'on fait feu. il y a le visage de mon frère recouvert de suie. La main d'un vigneron blessée, carbonisée par le frottement de la matière sur sa peau, réceptacle du dehors; le déroulement d'un brasier de sa naissance à son extinction, les serres familiales envahies par une végétation luxuriante originaire de l'hémisphère sud, sèche, brûlée sur des hectares évoquant la fuite des boat people depuis le Vietnam. Quelque chose nous happe — une fulgurance jaillit sur nos visages, une ombre recouvre nos peaux. La chaleur nous retient au bord du cercle. Le feu nous enveloppe de son odeur âcre, forte, charnelle, définitive. Le brasier est un aimant, lumineux, brillant, aux facettes qui se tordent dans le brouillard autour. on se tient en silence, hypnotisés par la hauteur des flammes. au- delà des joies, des drames, du temps qui passe, des récits antiques, des mots qui s'arrachent eux-mêmes à la vie. tout se déroule dans l'immédiateté de l'élément. Nous savons qu'il n'est plus nécessaire d'appeler, de vouloir habiter l'absence de paroles, de crier dans l'obscurité. Nous imaginons la beauté de ce qui est indicible, l'étrangeté de l'innommable, les espaces ouverts de ce qui est impensable, les lointains tragiques de ce qui échappe, fuit, circulent à travers nous.

11/2016

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Protestantisme

Lucien Vivier. Tome 1, Témoin d'un siècle de Pentecôtisme en France et dans le monde

"La vie de Lucien Vivier nous enseigne à bien des égards. L'amplitude de son ministère et les saisons qu'il a traversées soulignent en rouge la maturité d'une persévérance remarquable. Malgré la fracture suscitée pendant la Seconde Guerre mondiale, il fut bien souvent fédérateur, contribuant à la constitution de nouveaux départements des Assemblées de Dieu d'envergure nationale et internationale (Département médias Christ Vous Appelle, CVA désormais EVANDIS , Action Evangélique de Pentecôte pour l'Eglise persécutée, Ecole biblique, désormais Institut de Théologie Biblique, ITB).
M. Vivier a vécu aux premières loges l'éclosion d'un pentecôtisme autochtone "à la française et pour les Français". Le compagnonnage a été son modèle de formation et c'est la mémoire qu'il laisse : un compagnon du Seigneur et de la Pentecôte pour tous ceux qui l'ont approché de près pendant ces dernières huit décennies. Retour sur un siècle de vie : un témoin majeur du mouvement évangélique des Assemblées de Dieu en France, en Europe de l'Est, en Afrique du Nord et dans le monde.
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10/2021