Littérature étrangère
03/2012
Littérature française
12/1986
Critique littéraire
01/1965
Mer
05/2018
Sciences politiques
03/2016
Littérature chinoise
04/2022
Cinéma
02/2019
France
04/2021
Thèmes photo
03/2023
Milieux naturels
10/2022
Europe
04/2023
Littérature anglo-saxonne
08/2023
Littérature anglo-saxonne
04/2024
Cinéastes, réalisateurs
04/2023
Santé, diététique, beauté
Littérature française
08/2022
Mer
06/2020
Histoire de l'art
05/2023
Critique littéraire
10/2019
Santé, diététique, beauté
05/2019
Romans historiques
05/2020
Littérature française
08/2013
Guides étrangers
04/2018
Littérature française
11/1976
Animaux, nature
06/2018
Littérature française
Un premier roman magistral qui raconte la dérive de l'histoire d'amour entre Erika et Vincent au Rwanda, 25 ans après le génocide des Tutsis. Kigali, 2018. Depuis sa rupture avec Vincent, Erika vit sur un fil. Elle décide alors de se faire hara-kiri par l'écriture, d'adresser à sa soeur des lettres pour " exorciser de son corps " un amour-dévastation qui l'habite encore. Elle raconte son histoire, mais également celles des êtres fragiles auxquels elle est attachée, qui eux aussi tentent de vivre. Avec James, frère second hand, Manzi, le séduisant karatéka, Mzee Idelphonse, Maman Colonel, Tonton Damas, les coeurs débordants comme la mousse des bières décapsulées au bar L'Église, ils reconstruisent une nouvelle famille qui illumine ce roman. Du pays aux mille collines florissantes, où après le génocide des Tutsis chacun a été forcé de tourner la page, Dominique Celis montre que derrière la rhétorique officielle d'unité nationale chacun a " incarcéré ses peines à perpète ". Des blessures sans cesse ravivées lorsque l'on peut croiser les bourreaux du passé au détour d'une station-service ou sur la rive calme du lac Kivu. . . Les deux amants sont hantés par le souvenir de leurs disparus des massacres de 1994 : ses tantes pour Erika, toute sa famille pour Vincent. Dans une langue vive et inventive, à la scansion fiévreuse, Erika partage la singulière histoire d'un amour qui tente de résister à cette fatalité tragique. Même lorsque Vincent se sépare d'elle, la passion charnelle qui les domine ne faiblit pas, et c'est une femme vibrante de regrets, encore taraudée par le désir, qui rédige ces lettres, puisque sur sa peau " rien ne veut s'effacer ".
Littérature française
08/2023
Critique littéraire
05/2003
Terrorisme
06/2021
Droit
04/2018