Gaëlle en a assez de cette vie étriquée avec Ludovic qui, alors qu’ils étaient, ensemble, partis pour « être libres, sillonner le pays […], rencontrer de gens […], faire une halte […] et repartir, un jour », s’était posé avec elle dans un squat minable, au fond d’une impasse et, « le jour de leur nouveau départ n’était jamais venu ». Mais surtout, « la passivité et la dépendance » avaient pris la place de « l’envie [… et de] l’insouciance choisie ».