Serge Pey, Jean-Luc Chapin

BONNES FEUILLES - Dans ce café d’un petit bourg où Jean-Luc et Jean-Claude ont la permission, tous les jeudis, de venir boire un verre (sans alcool), les choses prennent ce jeudi un tour inhabituel. 

RentreeLitteraire23 - Une semaine de folie dans la vie d’un homme presque ordinaire. Un roman tendre et plein d’humour, impossible à lâcher. 

BONNES FEUILLES - Entre la fin d’un amour et la naissance d’un autre, entre São Paulo, Berlin et Paris, les vagabondages d’un auteur en quête de souvenirs. 

AVANT-PARUTION – Dans son nouveau roman à paraître le 21 août aux éditions Stock, La part du fils, Jean-Luc Coatalem retrace la vie de son défunt grand-père incarcéré par la Gestapo, durant le régime de Vichy. Malgré les tabous et les non dits familiaux, à l’aide d’archives et de témoignages, l’auteur s’emploie à faire revivre sa mémoire au travers son récit. 

BONNES FEUILLES - Du massacre des siens à Wounded Knee aux tranchées de la Grande Guerre, en passant par l’Ouest canadien, l’épopée vengeresse d’un Indien Lakota. Un roman-fresque sur la folie des hommes. 

RentréeLittéraire23 - « C’est donc ça la réalité, cet instant où je dois faire face, affronter l’autre sans pouvoir différer ? Maintenant ? Oui, déjà ! »

RentreeLitteraire23 - Un portrait de femme moderne, active, rebelle, qui fait bouger les lignes, voilà ce que cherchent tous les éditeurs pour la prochaine rentrée littéraire. 

BONNES FEUILLES - Ce livre propose un portrait de Serge Gainsbourg – et non un commentaire de textes – à travers l’analyse de l’écriture de Lucien Ginsburg, son « inventeur ». 

BONNES FEUILLES - À qui réclame sa part de catastrophe, les dieux aiment donner satisfaction... Une jouissive comédie noire où l’art d’écrire n’est pas un vain mot. Pas de souci se déroule dans un univers utopique : le nôtre, mais sans pandémie. On y parle beaucoup mais toujours à côté de ce qui se joue, sans jamais voir ce qui se cache.

RentreeLitteraire23 - Connu pour son action au sein du P.P.F. de Jacques Doriot et ses écrits antisémites, Georges Despaux, emprisonnée à Buchenwald, se lie d'amitié avec un prisonnier juif. Lors de son procès pour collaboration, qui se tient en 1945, qui sera jugé : le collaborateur ou l'homme de coeur ?

Victoria Nash, à la fin des années 1940, gère d'une main de fer le domaine de son père à Iola, une petite ville entre les montagnes et les rivières du Colorado. Elle est la seule survivante féminine de sa famille et doit cohabiter avec un père colérique, un oncle acariâtre et un frère violent, tout en s'efforçant de protéger et de préserver le fruit de son amour interdit...

RentreeLitteraire2023 - Cette critique acerbe d’un certain milieu familial et social, aux frontières du roman noir, est aussi un traité exaltant de la perversion et des jeux de massacres en tous genres... Jérémy Fel frappe encore une fois un grand coup. 

BONNES FEUILLES – « Rien ne peut se mesurer à la photographie pour enregistrer ce qui part, part sans cesse, mais n’est pas encore parti », a écrit Wright Morris dans ses Fragments de temps. C’est à ce départ sans fin remis et aux contenus qu’il libère que le présent livre est consacré. Ce qui veut dire qu’il porte sur la photographie et le temps, sur la façon dont l’image arrêtée, qui interrompt le film incessant du devenir, ne le fait qu’en retenant des quantités de temps toujours différentes. 

BONNES FEUILLES — Qui a servi Da Silva ? Qui est responsable ? Coresponsable ? Il a tué, mais qui a tué avec lui ? Qui sont les véritables acteurs de ce drame ? Qui a pu, sans savoir ou en sachant, sans se soucier de son état, s'est fait le complice de ce « meurtre » ? Est-ce seulement le « destin » ? Le roman le plus simenonnien de l'auteur, fidèle à son univers des bistrots, lieux romanesques par essence. 

BONNES FEUILLES — « Il était une fois, quelque part dans une vallée entourée de montagnes, un petit garçon comme tous les autres... »

BONNES FEUILLES – Jean-Philippe Toussaint nous livre un texte profond sur la création littéraire : à travers le récit de son parcours d’écrivain, il mêle exploration psychologique et réflexions à portée universelle et nous offre sa vision de l’écriture, entre recherche, persévérance et jaillissements. Un livre d’une beauté stupéfiante, jalonné de documents personnels inédits.

RentréeLittéraire23 - Avant que les Européens ne débarquent, Montréal était un territoire mohawk, connu sous le nom de Tiohtià:ke en langue mohawk. Après avoir été emprisonné pendant dix ans pour avoir tué son père violent dans un moment de désespoir, Elie Mestenapeo, un jeune Innu de la Côte-Nord du Québec, est exclu de sa communauté. 

Rentreelitteraire23 - Nous connaissons tous les fables de La Fontaine. Nous en avons appris à l’école, de multiples ouvrages leur ont été consacrés, elles font partie de notre patrimoine. Mais que sait-on des autres textes de l’écrivain, lettres, contes, poésies ? De La Fontaine lui- même ? 

BONNES FEUILLES — Dès la sortie de son premier single en 1981, Suicidez-vous le peuple est mort, Jean-Louis Murat impose son style unique : une affinité pour les mots et les mélodies, associée à une prise de risque permanente. Ce nouveau venu se démarque dès lors des sentiers battus de la chanson française, empruntant un chemin singulier, à la fois escarpé comme les sentiers auvergnats qu'il célèbre dans ses chansons et buissonnier comme sa voix éraillée et envoûtante.

BONNES FEUILLES – Que dirait Jean de la Fontaine de la France d’Emmanuel Macron ? Dans son nouvel ouvrage, Dominique Folscheid se place en véritable chroniqueur de la vie politique, s’inspirant de l'illustre fabuliste Jean de la Fontaine. Avec style, et un peu de malice, il convoque, en vingt-deux actes, son éternel bestiaire pour peindre, comme jamais, l'époque que nous vivons. 

RentréeLittéraire23 - Dans Chaleur humaine, Serge Joncour nous présente une réflexion profonde et déstabilisante, comme si nous regardions dans un miroir vertigineux. Un roman qui tisse ensemble l'histoire mondiale et celle d'une lignée familiale, reflétant à la fois notre époque actuelle et les erreurs de notre passé. 

BONNES FEUILLES - Par une belle journée de juin, deux amis se promènent dans Paris. Ils parlent d’Édouard Roberti, député, marié, père de trois enfants, qui à cinquante ans s’est amouraché d’une jolie secrétaire de vingt-cinq ans, Solange Mignot. Cette liaison s’est terminée au bout de trois ans par un crime. Qu’est-ce que la passion amoureuse ? Jusqu’où peut-elle mener ?

BONNES FEUILLES - Jonas, un vieil atrabilaire, occupe un étrange manoir situé au sommet d’une falaise dunaire. C’est son refuge. Lorsque les pouvoirs publics tentent de l’expulser au profit d’un projet immobilier, les choses se corsent.

BONNES FEUILLES - Toulon, 1872. Les chaînes aux pieds, Clara embarque avec ses compagnes d’infortune sur la frégate qui doit l’amener en Guyane. Elle n’a pas vingt ans, et pourtant, c’est assez pour avoir vécu l’amour et la grande histoire. Durant la Commune de Paris, elle fut de toutes les barricades. 

BONNES FEUILLES – Au bord d’un lac, une maison. Dans cette maison, une famille et un vieux monsieur venu d’Algérie qui s’occupe du jardin. Une situation confortable que les écarts des uns et des autres ne semblent pas troubler. On ferme les yeux sur les trahisons, on soupire beaucoup, on parle peu. On vieillit ensemble, vaille que vaille, on consent au vaudeville jusqu’à la rencontre improbable entre l’épouse et la maîtresse. Tout change alors.

BONNES FEUILLES - « À votre avis, les gens écrivent des livres pour semer le chaos ou pour une autre raison ? » D’après sa mère, Khristen, bébé, a brièvement connu la mort. Ce qui l’investirait d’un destin d’oracle, sinon de prophète – qui tarde à se manifester.

HIVER2024 - Gus, récemment retraité, se trouve sur le quai d'une gare provinciale, attendant son train. Dans sa jeunesse, il a été profondément marqué par une femme. Et depuis, il vit seul. 

HIVER2024 - Si Octavia Butler a commencé à écrire dès 1971, des écrits sont restés cachés ou peu connus avant La Parabole du Semeur, publié en 1999. 

BONNES FEUILLES - Dans cette farce œdipienne rythmée comme un polar, avec un regard satirique hilarant qui fait merveille sur l’entreprise, l’économie de la rentabilité et les dérives capitalistes, Nicolas Rey change tout, tout en restant comme on l’aime : délicieusement immoral ! 

À cinquante ans, marié et père de deux enfants, Martin Faubert exerce la médecine générale avec une certaine désillusion, pratiquant des tarifs élevés pour ses patients aisés tout en offrant ses services aux plus démunis sans contrepartie. La routine de son quotidien est bouleversée par l'arrivée d'Aurore Rosier, une entrepreneuse confiante dont il tombe amoureux dès leur première rencontre.