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Erratum : Contacté par la société Bookeen, nous avons appris que ces informations étaient en partie incorrectes. Le communiqué officiel est accessible à cette adresse.

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Alors que la société française qui fournit des ebooks s'apprête à lancer son Opus pour la fin du mois de juin, premier de ses lecteurs avec un écran 5 pouces et surtout le support de l'ePub, une annonce intéressante pour leur devenir est relatée dans les colonnes de LivresHebdo.

En effet, la société d'investissement Turenne Capital aurait pris une participation à la hauteur de 34 % du capital de la firme française, annonçant donc une arrivée d'argent pour la suite des événements.

Selon les chiffres, Bookeen aurait réalisé 1,87 million € de chiffre d'affaires avec 500.000 € de bénéfice pour son activité 2008. Son capital social se monte à 200.000 €.

Les Guides MAF, qui évoquent l'article de LH, parlent également d'un taux d'exportation de 4 exemplaires sur 5 à destination des États-Unis, le dernier se partageant entre les marchés français et asiatique. Pour l'année 2009, Bookeen prévoirait la vente de 50.000 pièces. Reste que l'Opus, s'il présente de nouvelles qualités restera encore un produit qui devra faire ses preuves, notamment pour la lecture de l'ePub, extrêmement attendue.

Nous contacterons demain la société pour en apprendre plus concernant cette prise de participation et les projets de développements futurs qu'elle permettra.

Demain, Christine sera à Rennes, tandis que nous serons bien présents. Et non, petits facétieux, ce n'est pas du tout pour le Chouchenn que la ministre rendra visite à la Bretagne libre... Trois après des péripéties nomades, le TNB, ou Théâtre national de Bretagne a retrouvé des locaux salubres et sains, que l'on inaugure demain. À 18 h précisément.

En compagnie de François Pillouer, le directeur, d'Edmond Hervé, maire de Rennes, de Jean-Yves Le Drian, président du conseil régional de Bretagne et de Jean-Louis Tourenne, président du conseil général d'Ille et Vinlaine, le belle Christine sera bien encadrée.

Le bâtiment, réalisé par Antoine Stinco, accueillera les spectateurs avec un bar-restaurant de 200 couverts, une librairie et offre deux salles de spectacle de 264 et 950 places. Avec de plus, et pour le même prix, une salle polyvalente de 120 places, deux salles de ciné, et des locaux dans lesquels l'École supérieure d'Arts dramatiques se réfugiera.

On lira alors La Douleur de Marguerite Duras, et il y aura peut-être un pot pour ceux qui ne se seront pas suicidés durant l'intervalle. Créé en 1949, le Centre dramatique de l'Ouest occupe la quatrième place au rang des centres dramatiques.

Avec l'appartement de Victor, qui est plus une tragédie, d'ailleurs...