Mikaël Hirsch

Le jury du Prix du Roman de la Nuit, présenté comme la première récompense littéraire « en Europe qui célèbre une œuvre inspirée par la nuit », a choisi ses lauréats 2024 : Christophe Boltanski dans la catégorie Roman pour King Kasaï, paru aux éditions Stock, et Ervé, qui reçoit le prix Spécial du jury pour Morsures de nuit, édité chez Maurice Nadeau.

Créé en 2017, le Prix du Roman de la Nuit est la première distinction littéraire européenne dédiée aux romans inspirés par la nuit. Le lauréat de ce prix sera annoncé le 19 janvier, lors des Nuits de la Lecture.

Le jury du Prix du Roman de la Nuit, première récompense littéraire « en Europe qui célèbre une oeuvre inspirée par la nuit », a fait part de sa sélection. Les cinq finalistes seront révélés courant décembre et le lauréat révélé en Janvier, à l'occasion de la Nuit de la Lecture. Le lauréat recevra une lithographie de Roland Topor.

#PrixFrontieres23 – Le prix littéraire Frontières - Léonora Miano récompense une fois par an un roman qui aborde la thématique des frontières. 10 romans sont retenus pour la troisième édition de ce prix littéraire. La remise du prix se fera le samedi 15 avril 2023, au palais du Gouverneur de Metz dans le cadre du festival Le livre à Metz, littérature & journalisme. 

#PrixAutomne22 – Castel, club privé de Paris situé dans le 6e arrondissement, ouvre une nouvelle page de son histoire en lançant à l’automne 2022, son prix du roman. La récompense distinguera un roman écrit en langue française publié lors de la rentrée littéraire de septembre 2022.

Le Prix Castel du Roman de la Nuit, à l'occasion de sa sixième édition, a récompensé Mikaël Hirsch pour son roman L'assassinat de Joseph Kessel, publié par les éditions Serge Safran. La récompense salue un roman où la nuit joue un rôle essentiel dans le fil du récit, l’atmosphère, ou pour les personnages.

BONNES FEUILLES – Bizarrement, c’est moins le golem éponyme, le seul, l’unique, modelé à coups de pouce rageur, et dans une épaisse argile, par le rabbin pragois Judas Lœw Ben Bezalel, qu’évoque le formidable roman de Mikaël Hirsch, que la créature de Frankenstein, colosse couturé et titubant fait de bric charnel et de broc osseux. 

Le livre des commémorations nationales, que produit chaque année le ministère de la Culture, a fait parler de lui. Cette publication, fruit d’une sélection opérée par le Haut comité des commémorations nationales, contient différents anniversaires — et les célébrations qui s’ensuivent. Une centaine de personnalités choisies, pour « être célébrées au nom de la Nation ». Mais Charles Maurras, vraiment ?

Comme chaque année, ces dames du Fémina ont donc devancé le prix Virilo dans l'annonce des candidats retenus pour les listes de romans français et étrangers. Tout cela n'est pas bien étrange : ne porte pas la moustache qui veut. Pour cette cuvée 2013, on retrouve 15 romans français et 14 étrangers, qui suivent, sans plus de fioritures.

Rentrée littéraire: "Avec les hommes", un roman de Mikaël Hirsch, à ne pas manquer.

C'est troublant d'achever la dernière page d'un ouvrage et de se dire que l'on est passé à côté. Attention, non pas que l'auteur ait raté son coup, mais plutôt que la rencontre avec le texte ne s'est pas faite. Les successions, en dépit du sentiment qu'il m'a laissé, est un très beau texte. Et se l'avouer, c'est déjà reconnaître ses limites. Alors avouons : je suis très humblement passé à côté du livre.

Le romancier Louis-Ferdinand Céline fait les frais d'une commémoration inscrite dans les tablettes du calendrier officiel de cette année, qui lui attire de violentes critiques.

L'Académie Goncourt vient de dévoiler la liste des premiers romans qui sont en lice pour le Prix éponyme, dans son édition 2011. Une liste qui comporte six nouveaux auteurs de romans, qui sauront, en février prochain, si le titre leur revient.

Les membres de l'Académie évoquent une erreur : le livre de Mikael Hirsch, Le Réprouvé, n'est pas un premier roman, et de ce fait, ne peut pas figurer dans la liste des ouvrages retenus pour le Goncourt du Premier roman.

Ils sont sept. Et pour chacun, un point commun : c'est leur premier roman. L'an passé, c'est le livre de Laurent Binet, HHhH, paru chez Grasset qui avait été primé. Pour cette année, les paris sont lancés.

Toute bonne organisation démarre par un agenda solide et fiable. En littérature comme ailleurs. Et au cours des prochaines semaines, la farandole des prix littéraires va défiler avec son lot d'auteurs primés.

Non mais que diable allaient-ils faire dans cette galère ? Une galère germanopratine, du plus pur acabit. Les prix littéraires sont-ils tombés sur la tête ? Le Femina s'emmêle les pinceaux, clairement, et le Renaudot assène des renversements de situation délirants...

Après le Renaudot, ou avant, peu importe comment vous souhaitez le lire, le Femina a diffusé ses derniers commentaires et retenus pour l'édition 2010.

Le prix Femina a diffusé hier soir, juste avant l'heure de l'apéritif*, la seconde partie de son plan diabolique pour élire un auteur dans la catégorie Roman français et Roman étranger. Et bien sûr, Essai, sans quoi l'homme ne serait plus tout à fait ce qu'il est d'ordinaire.

Ah, le prix Femina, le plus gracile, le plus distingué, le plus aimablement courtois des prix de la rentrée automnale. L'avantage, comme on nous le faisait remarquer, c'est qu'il n'est pas utile de s'encarter au MLF pour l'obtenir...

Un après-midi à Meudon, chez Louis-Ferdinand Céline...

Chronique : Le réprouvé, Mikaël Hirsch

Le Réprouvé, de Mikaël Hirsch : un petit air célinien chez Gallimard