Sibylla Schwartz est une jeune poète allemande dont les sonnets vont marquer la période Baroque. Malgré son décès précoce en 1638 (elle n’a alors que 17 ans), elle a laissé derrière elle une grande quantité de poèmes qui tombèrent malheureusement dans l’oubli à partir du 18 e siècle malgré la puissance lyrique qui les habite. A l’occasion de ses 400 ans, Max Baitinger, sous les encouragements de l’association Les amis de Sibylla Schwartz, décide de raconter sa vie, de rendre compte de sa modernité tout en la confrontant à ses propres doutes créatifs. Aux éditions L’employé du Moi.