De soie et de sang

#AVeloEntreLesLignes – Partir à la découverte du plus grand nombre de librairies possible, entre Paris et Oulan-Bator, le défi est de taille. À vélo, c'est confirmé : c'est de la folie douce. C’est pourtant l’aventure que Zoé David-Rigot et Jaroslav Kocourek ont démarrée en août 2022. ActuaLitté les accompagne, en publiant leur récit de ce périple, À vélo, entre les lignes.

Carnetdebord – Pour la rentrée littéraire 2024, les éditions du Tripode publieront le nouveau roman d'Audrée Wilhelmy. Pour accompagner cette parution, la romancière a trouvé dans nos colonnes une place à part : un Carnet de Bord pour raconter cette aventure, jusqu'aux librairies.

À l’issue de plusieurs mois de lecture et d’échanges, les clubs de lecture des résidences Domitys, sous la présidence de la romancière et lauréate de l’édition précédente Gaëlle Nohant, ont décerné le 11e Prix Littéraire Domitys à Theresa Révay pour La Nuit du Premier Jour (Albin Michel) lors des délibérations nationales.

La Centrale Canine a dévoilé les lauréats de son prix littéraire, ce lundi 29 novembre 2021, dans les salons de l'Hôtel de Guénégaud. Depuis 2006, ce Prix récompense les meilleures œuvres francophones de l'année mettant en exergue les relations entre l'Homme et le chien. Les Prix 2020 n'ayant pu être attribués en raison de la pandémie, ce ne sont pas trois, mais six prix qui viennent d'être remis dans les catégories Roman, Ouvrage documentaire et technique, et Jeunesse.

L’auteure de la saga Harry Potter, J.K. Rowling, s’apprête à publier un nouveau livre sous son pseudonyme Robert Galbraith. Son éditeur anglais ainsi que l’autrice elle-même ont en effet confirmé la sortie du prochain tome de la série des Enquêtes de Cormoran Strike pour septembre prochain.

Le Prix Canut est décerné par la « République des Lettres et des Canuts » à Pascal Grand pour L’Envers de la Charité, Pavillon noir (Éditions Corsaire). Cette association du quartier de la Croix-Rousse récompense ainsi chaque année un livre consacré à Lyon, aux Lyonnais... et pour cause.

Comme chaque année, la Société des gens lettres remet au mois de décembre les Prix Révélation, destinés à encourager de nouveaux talents littéraires. Le Jury, composé des auteurs membres du Comité de la Société des gens de lettres et de traducteurs (pour le prix de traduction), a dévoilé sa première sélection.

Les huit saisons de l’incontournable série Game of Thrones ont été brodées sur une tapisserie par 30 volontaires. Exposée au musée d’Ulster, à Belfast, cette œuvre de près de 90 mètres de long retrace les moments forts de cette série principalement tournée en Irlande du Nord.

En 2009, Finitude a réédité "Misère du matin" d'un auteur totalement oublié, André Vers (prononcer Versse). Il portait une belle moustache comme Fallet et Brassens, et il affectionnait les vieux cafés comme Hardellet : tout naturellement, il fut l'ami de ces trois hommes-là. De sacrés types qui aimaient l'amitié, les femmes et la bonne chère. Mais attention, ces quatre-là étaient des mélancoliques, cachant comme Trenet, derrière le rire, le sentiment angoissant de la finitude des choses de la vie. De celles-ci, ils en connaissaient donc le prix, et leur gaîté, leur amitié, ce plaisir qu'ils avaient à être ensemble, c'était sans doute une tentative désespérée de les faire durer, de les retenir...

Soucieux de faire circuler au mieux les livres d’un lecteur à l’autre, l’application Booxup a décidé d’une grosse mise à jour. En proposant la vente entre particuliers de livres d’occasion, elle propose de partir à la découverte des bibliothèques de chacun. Et pour ce faire, encourage à retrouver les classiques de la littérature. Aujourd’hui L’œuvre, d’Émile Zola.

En 2009, Finitude a réédité "Misère du matin" d'un auteur totalement oublié, André Vers (prononcer Versse). Il portait une belle moustache comme Fallet et Brassens, et il affectionnait les vieux cafés comme Hardellet : tout naturellement, il fut l'ami de ces trois hommes-là. De sacrés types qui aimaient l'amitié, les femmes et la bonne chère. Mais attention, ces quatre-là étaient des mélancoliques, cachant comme Trenet, derrière le rire, le sentiment angoissant de la finitude des choses de la vie. De celles-ci, ils en connaissaient donc le prix, et leur gaîté, leur amitié, ce plaisir qu'ils avaient à être ensemble, c'était sans doute une tentative désespérée de les faire durer, de les retenir...

Les caricaturistes nous dépeignent volontiers un Edgar Poe écrivant dans un bureau obscur, entouré d'éléments allégoriques de la vanité humaine, éventuellement en compagnie de chats noirs et autres oiseaux de malheur. En réalité, le poète avait sa conception toute particulière de l'aménagement intérieur, qu'il partagea avec les lecteurs de The Philosophy of Furniture, paru en 1840 dans les pages du Burton's Gentlemen's Magazine. Un essai jugé excentrique, dans lequel le Sudiste confiait son aversion pour la décoration « yankee ».

Les contes ont fait cogiter un bien grand nombre de folkloristes depuis le milieu du XIXe siècle (car avant, on les qualifiait de « fictions extravagantes, nocives et obscurantistes »). Cette époque de rationalisme est aussi celle de la naissance d'une des plus amusantes controverses littéraires depuis 150 ans : la composition des pantoufles de Cendrillon. En effet, il s'agit de savoir si elles sont de verre, ou de vair (en menu vair, c'est à dire fourrure d'écureuil gris). C'est parti pour un débat pas piqué des vers !

Nous sommes en été 1973 : trois êtres esseulés séjournent à Tanger. La Spia, brun ténébreux entre deux âges, petit mais élégant, est un « espion ordinaire », « une petite main » (p. 21) dit-on dans le milieu. Il loge à l'hôtel Continental et effectue quelques missions pour le Consul, aussi occasionnelles qu'opaques, y compris pour lui-même. Divorcé, La Spia a laissé ses deux grands enfants dans les Pouilles, en Italie. Aux yeux de tous, il travaille pour une entreprise d'import-export, sa couverture.

Le poster est le fruit d'une collaboration entre un auteur anonyme et un graphiste. Après un an de répression sanglante dans son pays, la première dame de Syrie est la cible de nombreuses critiques, mettant en cause son silence et son soutien indéfectible à son mari... malgré les victimes de la répression.