Découvrir le bouddhisme

Le Zen n'est pas un concept, mais une pratique à la fois physique et mentale. Le projet : atteindre le niveau de conscience qui permit à Shâkyamuni, autrement nommé Le Bouddha, de percer le mystère de la réalité. Elle se résume principalement à une posture, le Zazen en japonais, « être assis en zen », devant rien. Kôdô Sawaki expliquait : « Zazen, c'est avorter de son ego. »

 Par des pratiques comme les kōans – énigmes apparemment sans sens – et cette méditation silencieuse du zazen, le zen confronte l'individu à l'absurdité apparente de la réalité. Un illogisme à pratiquer pour abandonner les attaches à l'ego et aux constructions mentales rigides.

Cet ébranlement est essentiel pour atteindre le satori, l'illumination du vide, où toute attache à l'ego et aux constructions mentales rigides est abandonnée. Ni Moi, ni Non-Moi, pas simple.

Le zen enseigne que la véritable compréhension et la paix intérieure ne viennent pas de la rationalité, mais de l'acceptation de l'absurde, permettant ainsi de transcender l'ego et de vivre en harmonie avec l'instant présent. Dans le bouddhisme Zen, l'incongruité se manifeste par des réponses imprévues et impertinentes, dont Roland Barthes voyait l'humour des Marx Brothers comme une des meilleures expressions. Des réponses asociales et en apparence à côté du sujet.

Folio réédite Le goût du zen. Recueil de propos et d'anecdotes, paru initialement en 1993 dans une traduction de Janine Coursin.

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Le zen trouve ses racines en Inde où il est connu sous le nom de dyana. Introduit en Chine au Ve siècle par le maître indien Bodhidharma, prenant alors le nom de Ch'an. Au XIe siècle, Eisai découvrit cette pratique lors d'un voyage d'études en Chine et la transplanta au Japon, où elle devint le zen.

Ce n'est que sous cette appellation qu'elle fut révélée à l'Occident au XXe siècle, notamment grâce aux écrits du Japonais D.T. Suzuki et, en France, par l'action du maître zen Deshi-maru en 1968. L'Occident conserva le terme japonais, n'ayant pas de mot adéquat pour traduire cette expérience à la fois physique et spirituelle, qui ne se résume ni à la « méditation », ni à la « connaissance », ni à la « concentration ». À peine peut-on vaguement décrire cet état comme une harmonie paisible et unifiée du corps et de l'esprit.

Le fondateur de cette tradition, Siddhârtha Gautama, plus tard surnommé Shâkyamuni, « le sage silencieux de la race des Shâkya », est né au VIe siècle avant J.-C. dans une famille aristocratique. À vingt-neuf ans, après avoir pris conscience de la souffrance inhérente à la condition humaine, il décida de quitter sa vie de privilèges. Plus que les dieux, c'était l'esprit humain et l'origine de son tourment qui l'intéressaient. Sa mission devint alors de vaincre cette souffrance. Pendant des années, il mena une vie d'ascète, cherchant la vérité sur la condition humaine et la voie pour transcender ses douleurs.

À trente-cinq ans, après des années de quête spirituelle sans réussir à percer le mystère de la souffrance humaine, Siddhârtha Gautama se promit de rester en méditation jusqu'à trouver la solution. Après quarante-neuf jours sous l'arbre Bodhi, il atteignit un éclaircissement total. « Nous sommes malheureux », expliqua-t-il, « parce que nous sommes esclaves de nos désirs et de nos illusions. Si l'on pouvait enseigner aux hommes que le monde physique qu'ils perçoivent est illusion, ils se délivreraient de leur asservissement auto-destructif ».

À LIRE - Oeuvres, d'Eugène Ionesco

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Et en bonus, un court texte d'Henry David Thoreau : en 1839, quelques années avant de s’établir près de l’étang de Walden, avec son frère, il construit une barque en bois et entreprend la descente de deux cours d’eau vifs. Ce voyage, mené au gré du courant, offre une opportunité précieuse pour une contemplation minutieuse de la nature, des poissons et de la flore qui peuplent les remous de ces rivières et leurs rives.

Ce livre fait le vrai constat de la Crise mondiale, ses pauvretés, ses folies religieuses et terroristes, crimes écologiques, naufragés de ceux qui  fuient l’Afrique en guerre, tout cela est le mélange explosif de la fin d’un monde agité et pervers.

Le responsable , marionnettiste de politiciens dépendants pour piller les peuples du Sud, affamés, corrompre leurs dictateurs et éliminer sous menace de mort le seul homme apte à mettre fin au gâchis : D. Strauss-Khan. Même s’il n’est pas sympathique.

Un Etat  de bandits fous créé par des sectes hostiles se prétendant d’un Islam  qu’ils usurpent, utilisent la pauvreté des peuples pillés pour les convertir par ruse et entraînent les enfants de tous pays dans un terrorisme d’épouvante. Sont complices les marchands d’armes américains, russes, allemands…Israéliens et français, se disant chrétiens ou israélites.

Or, la Science a prouvé depuis 150 ans que les religions établies ressortent de légendes.

OR  les acteurs du mal, dits chrétiens, musulmans ou israélites ne se privent pas de mettre le Monde à feu et à sang en trahissant l’esprit de leurs fondateurs… il y a 1.300 ans et plus.

Ce Livre, interactif,  dénonce les liens intimes entre les fauteurs de ce drame planétaire sous le voile de médias dont ils sont propriétaires. Leur imposture conduit la planète à l’abime, en masquant les apparences. Ce livre apporte les solutions, toutes ou presque, sauf l’égoïsme et le mensonge, y compris spirituelles pour notre survie en 2100.Ces solutions se déduisent des règles des cosmogonies découvertes par les travaux de Darwin, Lamarck, Einstein, Lemaître Sagan, Reeves & Co. Elles changent les modèles de pensée et de vie. Cet ouvrage lance la Bible du IIIe millénaire. Elle a comme modèle commun, la structure particulaire de l’atome et celle de l’Univers. Pour sa survie, l’Humanité doit mettre fin d’urgence au désordre de toutes les écologies naturelles, sociales et spirituelles contre la Nature, les humains partout dans le monde, en remplaçant le rapport de force par le rapport écologique d’harmonie.

Ainsi rendre riches les gens  du Sud artificiellement pauvres en industriels, fournisseurs et clients du Nord. Et cela, avec une volonté de bien peut se faire très vite Ne pas accepter cette révolution douce se comparable à la censure du pape Paul V contre Galilée en 1616 au nom de fausses vérités. Je cite Dan BROWN « Si on ne le fait pas, on ne respecte pas la vie. Ce serait comme si les hommes des cavernes se laissaient mourir de froid par peur de créer un feu ». André MALRAUX aurait dit : le XXIe Siècle sera spirituel, ou ne sera pas.

C’est une grande réalité, après 2 siècles de positivisme face à des religions abusivement politisées et aujourd’hui obsolètes. L’humain à besoin de savoir ce qui le dépasse. Ce livre y propose des réponses crédibles et porteuses d’espoir. L’auteur, citoyen du monde, européen de racines, intime des 3 cultes et français de nationalité, n’a rien inventé, mais perçu l’air du temps. Espérons que le lecteur accepte qu’EINSTEIN, DARWIN, et leurs successeurs soient les prophètes, (parler en avance) du 21e siècle, et d’ après. Ils ont mis à jour l’architecture cosmique merveilleusement pensée de nos univers intimes et galactiques. Ils se refusent, par déontologie de parler de l’Architecte.  Mais cela ne trompe personne.

C’est une vraie révolution, non utopique, mais impérative, posant recherche d’harmonie universelle comme seule arme pour demain. Comme GANDHI il y a 70 ans et Karol Józef WOJTYLA, connu comme Jean-Paul II de 1978 à 2005. Né au début de la guerre 39-45 en exil gaulliste au Maroc, l’auteur a été bercé dans 6 religions: catholicisme strict, parrain musulman descendant des califes de Grenade, cousins protestant une grand-mère théosophe bouddhiste, un grand-père militaire royaliste, un autre « juif du pape »contadin provençal, maçon athée déiste éditeur et ami de Paul Langevin, Sacha Guitry et d’Einstein. Troublé, il en a vite fait son miel. Entre la Science et la Tradition.

40 ans, avocat international, par besoin de vivre le terrain, mais philosophe spiritualiste par vocation, l’auteur  est taraudé dès 18 ans par le besoin de livrer le message de ces lignes. Il a quitté sa « robe » pour mettre en pratique les convictions dictées par ce texte, qui est la suite moderne de la Bible, la Thora et le Coran. Il y livre ses savoirs et expériences de terrien, fils des étoiles, conscient de notre statut d’éternels funambules du Cosmos, dans un nouveau stade d’évolution Il a créé, pour agir et communiquer, hors de toute machine politique, juriste professionnel international, un organe de rencontre et d’action du nom de GRANADA, en référence à la civilisation qui faisait vivre en harmonie juifs, chrétiens et musulmans et provoqua la Renaissance européenne puis nous fit découvrir la planète et l’Univers.

Si vous pensez résolument que tout est immobile, que Dieu-Yahvé-Allah, a créé l’univers et l’homme en 7 jours de 24 heures, que la Terre est plate, etc.  Si enfin, tout va bien ainsi pour vous, dans le plus borné des mondes, ne lisez pas ces lignes qui valurent à l’auteur chantre de la liberté et de la différence bien des persécutions. Mais je vous promets des réveils douloureux...

L’auteur n’est pas un sage sur la montagne, mais un homme conscient et  responsable. C’est la première fois qu’une doctrine de vie dictée par la Science et ses nouvelles règles souhaite l’interactivité pour vivre et évoluer.